← retour Santé tropicale
Accès aux sites pays BENIN BURKINA FASO CAMEROUN CENTRAFRIQUE CONGO COTE D'IVOIRE GABON
GUINEE MADAGASCAR MALI R.D. CONGO SENEGAL TOGO
Cameroon tribune | Cameroun | 14/01/2010 | Lire l'article original
Compte tenu de ce que beaucoup de malades préfèrent cacher leur mal les cas détectés ne sont que la partie visible d’un immense iceberg. C’est dire si le ministère de la Santé publique doit agir vite, pour protéger ou soigner les populations. On s’achemine donc selon le coordonnateur de l’onchocercose à l’Est vers une distribution à grande échelle de l’Ivermectine (mectizan) et de l’Abendazole dans toute la région. Tout le monde est exposé disent les techniciens de la santé d’autant plus que la filariose a le même vecteur de transmission que le paludisme : l’anophèle ! Comme pour l’onchocecose il faudra associer les communautés dans la lutte contre la filarios lymphatique. Mais l’esprit communautaire , l’auto-promotion, la prise ne charge des problèmes de développement en général par les populations elles-mêmes ne sont pas des concepts les mieux assimilés à l’Est comme le reconnaissent tous ceux qui oeuvrent pour le bien-être des camerounais d’ici.
Jusque-là, le Pnlo à l’Est s’était concentré dans les districts de Santé de Bertoua, Lomié, Bétaré Oya, et surtout Messamena touchés par l’onchocercose dont le vecteur, le simulis (moumout) aime les cours d’eau au débit rapide qui traverse ces différents districts. Pour un objectif de 80% de personnes qui devaient recevoir le traitement en 2009, objectif fixés par l’OMS, le coordonnateur et ses collaborateurs disent avoir atteint 80,43% de sujets.
René FOMEN (CAMNEWS)
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux