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Cameroon tribune | Cameroun | 06/04/2010 | Lire l'article original
Jean-Paul N. est drépanocytaire et employé dans une structure de la place. « Lorsque j’ai été recruté par cette société, je n’ai pas jugé utile de dire à mon patron, encore moins à mes collègues que je suis un « hématié ». La raison est simple, j’avais peur d’être stigmatisé, pris pour un faible. Les premières crises ont été prises pour un paludisme mal soigné. Quelques années plus tard, j’ai dit la vérité à mon patron qui commençait à ne plus accepter mes nombreuses absences. Après une discussion franche avec lui, tout est rentré dans l’ordre. Je travaille deux fois plus quand je me porte bien », confie Jean Paul N.. Cependant, le jeune homme explique que ce n’est pas le cas des autres malades dans la même situation. « Aujourd’hui, nous sommes engagés à faire connaître cette pathologie au grand public et à faire accepter par des structures privées que le problèmes se posent véritablement. »
Dans un autre cadre, le Lions Club Douala (branches Wouri, Orchidée et Camaroes) a pris l’engagement comme c’est le cas déjà à Yaoundé, de construire un centre de prise en charge intégrée au sein de l’hôpital Laquintinie. Ce bâtiment d’une superficie de 418m2 sera composé d’une salle d’accueil, d’un laboratoire, d’une pharmacie, de trois salles d’hospitalisation de jour et de salles de soins.
M.O. MEBENGA
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