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Cameroon tribune | Cameroun | 23/09/2010 | Lire l'article original
Comme elle, de nombreux parents de drépanocytaires se retrouvent au moins une fois par mois à la « Maison indienne ». Selon plusieurs témoignages, l’administration des traitements prodigués porte des fruits au bout de quelques semaines. La maladie n’est certes pas éradiquée, mais l’augmentation du niveau de sang et la diminution du taux de la composante « SS », réduisent le nombre de crises et leurs douleurs.
Vijah Kumar, maître de Yoga et promoteur de la Maison indienne, explique que l’activité ne remet nullement en cause les traitements de la médecine moderne, toujours utilisés par beaucoup contre la drépanocytose. « Nous avons fait des recherches sur la drépanocytose et après de nombreuses expériences, nous avons constaté qu’avec le traitement à base de plantes médicinales, les crises diminuaient », indique-t-il. L’implantation au Cameroun s’est faite avec l’aval des autorités en charge de la santé, ainsi que le confirme une source à la Direction de la Pharmacie et du Médicament au Minsanté. « Les agréments reçus sont reconduits régulièrement. Mais maintenant qu’ils soignent des patients, il leur faut un agrément définitif », indique-t-on au ministère. Dans ce sens, les produits prescrits doivent être réévalués en permanence comme pour tout médicament, question d’en garantir la qualité à chaque approvisionnement. Mais au-delà de l’efficacité des produits, les spécialistes insistent sur l’hygiène de vie des drépanocytaires qui reste le meilleur gage de longévité éventuelle..
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