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Le soleil | Sénégal | 14/10/2010 | Lire l'article original
Ce plan suspend le recrutement dans certains établissements publics de santé et veille à l’organisation régulière des réunions de prises de décisions et de gestion, explique le ministre de la Santé, M. Modou Diagne Fada.
Grâce à ces mesures, certains hôpitaux sont en train de souffler financièrement, en faisant des bénéfices, ajoute le ministre, selon qui ils doivent tous arriver à stabiliser leurs finances. Parmi les établissements publics de santé (Eps) qui ont réalisé des performances, il y a les hôpitaux de Fann, Albert Royer, Principal à Dakar et l’hôpital régional de Louga, explique le directeur des Etablissements publics de santé, le Dr Balla Mboup. « Tous ces hôpitaux ont connu des excédents budgétaires parce qu’ils ont appliqué les mesures du plan de redressement », ajoute le Pr. Balla Mboup.
Il a rappelé qu’en 2007, les hôpitaux sénégalais peinaient à faire des recettes de 25 milliards de francs Cfa. Mais avec la mise en œuvre du plan de redressement, ils recouvrent jusqu’à 34 milliards de francs Cfa sous forme de ressources propres.
Le président de l’Intersyndicale de la Santé, Mballo Dia Thiam, a plaidé pour une évaluation sérieuse de la réforme hospitaliè-re. « Jusqu’ici, il n’y a eu que des évaluations parallèles et parcellaires qui n’ont rien apporté au système de santé. Nous pensons que la réforme est viable. Seulement, il faut que les textes qui l’accompagnent soient revisités », a proposé le syndicaliste.
Eugène KALY
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