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Mutations | Cameroun | 25/11/2010 | Lire l'article original
Selon le coordinateur du projet Atar, ce projet pilote a pour cadre l’hôpital de district de Nylon à Douala. Il a été lancé en mars dernier. Il profite à 375 patients. «Ce sont d’une part les patients qui ont change de protocole, mais il y a également tous les patients qui sont nouvellement éligibles à un traitement par antirétroviraux (Arv)».
Le projet Atar vise aussi à rendre possible la gratuité de l’examen permettant de déterminer la charge virale. Il est question, à en croire le coordinateur du projet, que chaque patient puisse y avoir droit au moins une fois par an.
Le projet Atar se heurte cependant à une difficulté. La commission de l’Union européenne encourage des politiques offensives qui réduiraient grandement les capacités des compagnies produisant des médicaments génériques. Ces accords qui vont considérablement restreindre l’accès aux médicaments abordables pour les patients des pays en voie de développement. En réaction à cela, Médecins sans frontière a fait signer une pétition que cet organisme compte faire parvenir à l’Union Européenne. D’après le Dr Anoma, «il faut, pour remédier à ce problème, que la demande et les besoins de production se fassent plus grandes. Cela va permettre de réduire les coûts de production, entraînant ainsi que les prix deviennent plus abordables», préconise-t-il.
Alfred Epacka (stagiaire)
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