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Le soleil | Sénégal | 15/12/2010 | Lire l'article original
Ethique et sécurité
Dans notre plan stratégique, nous voulons nous assurer que 100 % des dons de sang effectués au Sénégal soient testés pour ces agents infectieux», indique le Pr. Diop. Cette exigence de sécurité doit être aussi de vigueur dans les régions de l’intérieur. Le Sénégal travaille à atteindre d’ici 2015, dix de donneurs pour 1000 habitants. De plus, la définition du cadre juridique est inscrite comme une priorité dans le nouveau plan quinquennal. «Une réglementation permet d’abord de conserver l’éthique, et la sécurité. Il faut donc qu’une loi claire soit définie pour définir l’organisation de la transfusion sanguine avec une coordination nationale, ceci pour déterminer les droits et les devoirs et les règles, des donneurs et des praticiens», explique le Pr. Diop. Ce service est indispensable à l’exécution des actes chirurgicaux, la prise en charge des hémorragies consécutives aux accidents ou celles contractées lors des accouchements comme l’a indiqué le directeur de Cabinet du ministre de la Santé et de la Prévention, Abdou Khoudoss Niang. «Avec un bon système transfusionnel, nous parviendrons à réduire la mortalité maternelle et infantile, mais aussi à prévenir les infections par le Vih, les hépatites et le paludisme», dit-il, affirmant que «le gouvernement ne ménagera aucun effort pour la bonne exécution de ce plan stratégique».
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