← retour Santé tropicale
Accès aux sites pays BENIN BURKINA FASO CAMEROUN CENTRAFRIQUE CONGO COTE D'IVOIRE GABON
GUINEE MADAGASCAR MALI R.D. CONGO SENEGAL TOGO
Walfadjri | Sénégal | 10/01/2012 | Lire l'article original
‘Il est imminent de travailler avec les institutions, moins avec des personnes (…), la société sénégalaise a convié tous les ministères, les médias, les usagers et l’ensemble des acteurs qui s’intéressent à la chose traumatique à une réflexion autour d’un groupe’, informe le Pr Sy. Il s’agira, selon lui, de voir comment améliorer les soins, comment former les hommes et les femmes qui vont s’occuper de ces victimes de traumatisme. Mais aussi comment renforcer en capacité et en compétence le personnel de santé, comment assurer le devenir des victimes de traumatisme après leurs soins. Bref, ce comité national devrait réfléchir sur l’accessibilité et l’effectivité des moyens qui sont mis à la disposition des victimes de traumatisme.
A côté, il sera également question d’articuler autour de missions précises toutes les campagnes nationales de prévention qui sont faites. ‘Je suis désolé de le dire, toutes les campagnes que nous faisons ne remplissent pas les objectifs qu’on s’est assignés. Il faut dépasser le stade de la sensation et du sensationnel. Il faut travailler dans la durée’, préconise le Pr Sy. Il indique, pour s’en réjouir, que le ministre de la Santé, Modou Diagne Fada, a été sensible à l’idée, en désignant un conseiller technique qui est déjà entré en contact avec la société sénégalaise de chirurgie orthopédique et traumatologique qui regroupe l’ensemble des spécialistes du domaine. Ceci, pour travailler sur les institutions qui existent dans le pays de sorte que la chose traumatique soit contrôlée.
A. SIDY
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux