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Le quotidien | Sénégal | 01/02/2014 | Lire l'article original
«La rencontre va permettre de discuter sur la phase d’extension du programme, car nous envisageons d’inclure les régions de Ziguinchor, Tambacounda, Kédougou et Sédhiou. Nous avons discuté de la programmation et de la manière de s’y prendre pour assurer le succès dans ces régions», a déclaré M. Mbaye.
L’objectif du Fbr dans le secteur de la Santé est, selon le Docteur Ndèye Codou Lakh, coordonnatrice de ce programme, d’améliorer la performance des districts sanitaires dans les domaines de la santé de la mère et de l’enfant, mais aussi, dans le domaine de la lutte contre la maladie. Elle ajoute que le Fbr vise aussi à améliorer la qualité des services.
Les bénéficiaires de ce projet dans sa phase-pilote, ont été les structures de santé, les équipes-cadres de région et de district, mais aussi des Etablissements publics de santé (Eps). Le Fbr a démarré en 2012, dans les districts de Kaffrine et de Kolda. Il a été étendu en 2013 à tous les districts de ces deux régions. Ainsi, 7 équipes-cadres de districts (Ecd), 6 centres de santé et 102 postes de santé sont bénéficiaires du Fbr.
La Revue nationale, qui a été l’objet de la rencontre, est une étape importante dans le processus de mise en œuvre du Fbr. Elle permet de réunir les différents acteurs impliqués dans la mise en œuvre du Fbr pour partager les résultats mais aussi identifier les difficultés rencontrées, afin de proposer des solutions pour la résolution des problèmes, dans le but d’améliorer les résultats dans la mise en œuvre du programme. «L’objectif de la Revue est de partager l’état de mise en œuvre de la recommandation de la dernière revue, partager l’état d’avancement de la mise en œuvre du projet, identifier les difficultés rencontrées et proposer des mesures pertinentes pour améliorer sa mise en œuvre», dira encore Dr Ndèye Codou Lakh.
A propos des difficultés soulevées ça et là, relativement au déroulement du projet, le Sg du Msas, Moussa Mbaye, a relevé la faiblesse dans la mise en œuvre des mesures d’accompagnement. «En même temps que nous avons apporté des ressources supplémentaires, nous avons discuté avec les partenaires financiers et techniques et les collectivités locales, et il a été fortement recommandé que les structures prestataires soient mises dans des conditions qui les permettent d’être suffisamment opérationnelles et cela consiste à renforcer le personnel de santé, la logistique et l’approfondissement en médicaments», a dit Moussa Mbaye.
Écrit par Khady SONKO
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