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Le quotidien | Sénégal | 16/03/2015 | Lire l'article original
La journée mondiale du rein est célébrée samedi dernier au centre de dialyse Abc Hémodialyse de Sacré cœur, occasion pour le corps médical, les chefs religieux, et les partenaires d’animer une conférence, sur l’insuffisance rénale et le don de sang, afin de sensibiliser les victimes et de les aider à propos de l’évolution de leur traitement.
L’insuffisance rénale demeure un vrai problème de santé publique au Sénégal, qui a célébré la journée mondiale du rein samedi dernier. Une occasion pour le centre Abc Hémodialyse de Sacré cœur d’animer une conférence sur l’insuffisance rénale et le don de sang, dans le but d’accompagner les malades et de réduire le nombre de nouveaux cas. Car protéger ses reins est une manière de sauvegarder la santé, d’autant plus que les frais médicaux coûtent chers. D’où l’importance de ce thème qui aidera à mieux faciliter les séances de dialyses aux malades.
A propos de l’anémie, qui constitue de nos jours un facteur de risque chez toutes les générations, des campagnes de don de sang sont préconisées dans les hôpitaux et centres médicaux, de manière à aider à prévenir certaines maladies.
Des médecins qui sont intervenus au cours de cette conférence ont sensibilisé les malades et d’autres venus y assister, pour une bonne hygiène de vie, c’est à dire une alimentation équilibrée, une pratique régulière du sport. Aussi, ont-ils souhaité une aide financière de l’Etat, car le problème est dans la prise en charge des cas d’insuffisance rénale.
Pour améliorer justement le traitement de l’insuffisance rénale, Alioune Badara Cissé, Directeur de l’institut Abc Hémodialyse préconise : « Ce que j’attends de l’Etat, c’est un accompagnement et un permis d’ouvrir d’autres centres dans les régions et des produits exonérés de Tva et de Douanes, car si les malades sont bien dialysés, ils vivent très longtemps, par contre, ils sont à la charge de l’Etat pendant toute leur vie. »
Marthe DIOUF
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