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L'essor | Mali | 25/04/2016 | Lire l'article original
Live without IST (VIH Hépatites) and Palu (Vivre sans IST, VIH, hépatites et palu) est le nom d’un projet dont le lancement a eu lieu jeudi à la Faculté des sciences et techniques (FAST) de Bamako. C’était en présence du vice-doyen de la FAST, Bernard Sodjo. L’on enregistrait aussi la présence du directeur du projet, Souleymane Dembélé, et celle de la présidente de la Jeune chambre internationale Bamako Espoir, Assetou Coulibaly.
Live without IST (VIH Hépatites) and Palu est un projet de sensibilisation de formation et d’information sur les infections sexuellement transmissibles, les hépatites, le VIH et le paludisme. Il existe depuis 2012 à la Jeune chambre internationale Bamako Espoir. Ses initiateurs entendent ainsi contribuer à la lutte contre ces maladies dans l’espace universitaire et scolaire. fléaux.de e sont des maladies méconnues lestés pour communiquer sur ces fléaux.....,
La FAST a eu l’honneur d’abriter les premières séances d’information sur ces maladies auxquelles la JCI Bamako Espoir a déclaré la guerre dans les écoles et les universités. Le combat se mène par des séances de communication et de sensibilisation sur les IST, les hépatites et le paludisme. Souleymane Dembélé, le directeur du projet, explique que « dans le cadre de la lutte contre ces maladies, un accent particulier sera mis sur la Faculté des sciences et techniques, la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FSEG), l’ex Faculté des Langues Arts et Sciences Humaines (FLASH), le complexe sportif Ben Oumar Sy de Kabala ». Mais, tempère-t-il, « le problème est que nous sommes toujours en quête de financement ». « Nous venons de lancer sur fonds propres la 3è édition de ce projet, et nous cherchons encore des partenariats pour sa réussite. Nous n’avons pas de financement c’est pourquoi nous cherchons des partenaires qui pourraient nous apporter leur aide », a précisé le directeur du projet.
Accueillir à la FAST le lancement d’un projet d’une telle importance pour les étudiants est un événement auquel le vice-doyen n’est pas resté indifférent. Bernard Sodjou a ainsi salué une initiative qui « va permettre de réduire les risques chez les élèves et étudiants d’attraper ces fléaux ». Il s’est dit heureux que cette édition soit lancée dans l’enceinte de son université.
Le lancement a été marqué par des dépistages de certaines maladies listées, des communications sur les IST en général, le VIH, les hépatites ainsi que des animations et jeux.
Les activités se déplaceront dans 2 semaines à l’ex-Flash où les responsables du projet vont mener des activités d’information et de sensibilisation en direction d’un maximum d’étudiants. Des animations sont prévues dans toutes facultés, pour sensibiliser et informer les étudiants sur les risques liés à ces maladies et les méthodes de prévention. Contre le paludisme, des moustiquaires imprégnées seront distribuées. « Préserver la santé de la jeunesse est un investissement utile pour lequel on ne doit ménager aucun effort. C’est pour cette raison que nous allons donner le maximum en faisant le tour de toutes les universités pour communiquer sur ces fléaux. Les espaces universitaires et scolaires sont les lieux les plus fréquentés des jeunes qui sont d’ailleurs les plus touchés par ces maladies », a explicité le directeur du projet.
K. DIAKITE
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