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Bon usage du médicament : 200 encadreurs formés

Cameroon tribune | Cameroun | 27/02/2017 | Lire l'article original

Le programme numérique d’éducation leur a été transmis vendredi dernier au lycée bilingue de Yaoundé, grâce à l’ONG Synergies africaines. C’est pour mettre des jeunes hors-circuit du faux médicament que Synergies africaines, l’ONG panafricaine créée par Mme Chantal Biya, est entrée dans la phase pratique du programme numérique d’éducation bilingue spécialisé.

Ainsi, 200 encadreurs d’élèves issus de 100 établissements secondaires publics et privés de la ville de Yaoundé ont suivi une formation relative à l’usage du bon médicament (Bum) vendredi dernier au lycée bilingue. Venus des lycées, collèges et instituts publics et privés, les enseignants et autre personnels d’appui ont reçu des notions sur les généralités des médicaments, la présentation de l’architecture et des contenus de la version numérique du programme Bum.

A travers ce programme, l’épouse du chef de l’Etat insiste sur l’éducation intégrale de l’enfant. Ceci dans la mesure où les problèmes de santé, constituent de grandes difficultés pour la vie et la survie de l’enfant.

Pour amener les éducateurs à transmettre les connaissances acquises, le Dr Marlyse Loudang, inspecteur général des services pharmaceutiques et des laboratoires au ministère de la Santé publique (Minsanté) leur a demandé d’inculquer aux élèves les risques liés à la consommation des faux médicaments. Question pour eux de développer des réflexes leur permettant de sortir de ce mauvais circuit pour sauver leur vie. « Dites aux enfants qu’il n’y a pas de risque à prendre en ce qui concerne leur santé. Il faut les sensibiliser sur le circuit autorisé du médicament. Nous avons relevé l’aspect nocif du médicament qui impose que l’on garantisse et s’assure non seulement de sa sécurité, mais aussi de sa qualité », a-t-elle expliqué. Il s’agit à travers ce programme de la première dame de faire comprendre aux élèves que le médicament est un bien précieux. « Ceux-ci doivent les prendre en observant un minimum de précautions, tant au niveau du mode d’utilisation que du respect des doses. Il est important que chacun soit une sentinelle pour veiller au minimum sur les informations portées sur la boîte de médicament, pour se rassurer que celui-ci remplit les conditions requises », a conclu l’experte.

Grâce à ces échanges, les encadreurs vont utiliser à bon escient le livret à eux destiné dans le cadre du Bum. Le livret du formateur réparti en trois chapitres et subdivisé en sept thèmes, est accompagné de celui de l’élève : « Mon passeport pour la santé » et la bande dessinée « Remi est malade », des versions numériques contenues dans des clés USB, utilisables sans connexion Internet. La lutte est donc lancée pour mettre K.O les médicaments de la rue, et les inscrire à l’école.

Abdel Chouwat : « Nous disons merci à la première dame »

Encadreur du collège de la Paix

« C’est une bonne initiative parce que cette formation nous cultive et nous apporte beaucoup de connaissances sur les médicaments de la rue dont on a tendance à négliger les effets néfastes. Ces médicaments sont vendus au vu et au su de tout le monde, sans répression. C’est pourquoi, au niveau de mon établissement, nous allons procéder à la sensibilisation et voir comment établir un chronogramme à ce sujet. Ceci permettra de répercuter l’information à la maison et partout où cela est nécessaire. Nous disons merci à la première dame pour cette contribution ».

Ruth Mykann: « C’est un programme à pérenniser »

Encadreur institut Blaise Pascal

« Cette formation est bénéfique pour nous et arrive à point nommé, parce que le médicament de la rue constitue un véritable problème de santé au Cameroun. En ce que, les enfants dans l’ignorance et aidés par leurs parents, consomment ces médicaments. Nous allons relayer l’information sur l’importance du bon médicament et sensibiliser au maximum pour que les médicaments de la rue soient bannis à jamais. Nous avons trouvé des tribunes, les mercredis avec le club santé pour parler des enjeux de ces médicaments. C’est un programme à pérenniser ».

David Batoum : « Nous allons sensibiliser les élèves »

Encadreur collège privé laïc Les sapins

« Le programme Bum vient une fois de plus donner la possibilité d’accès aux médicaments autorisés. Il nous revient d’initier et de permettre aux élèves qui constituent la cible, l’utilité du bon produit en matière de santé. Et pour cela, il faudrait qu’ils soient bien conservés pour mieux les utiliser en préservant leur principe actif sur une maladie présente dans l’organisme. Nous avons une infirmerie, nous allons procéder à une sensibilisation accrue, en demandant aux élèves de se rendre dans les pharmacies agréées lorsqu’une prescription leur est faite par un médecin ».

Sorèle GUEBEDIANG

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