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Adiac Congo | Congo-Brazzaville | 18/03/2024 | Lire l'article original
Le lancement officiel de la Société congolaise de radiologie et imagerie médicale (Socorim), le 16 mars à Brazzaville, a été ponctuée par des exposés de plusieurs panelistes parmi lesquels, le Pr Régis Moyikoua, et le directeur général, prestataire externe de ADS-Radiologie médicale, Dzongbe Senny Abdel Aziz.
Organisée par la Socorim, la première matinée scientifique des radiologues du Congo a été placée sur le thème « Imagerie des urgences cranio encéphaliques non traumatiques ». Elle a regroupé d’éminents radiologues venus d’horizons divers, en présence du directeur général du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Brazzaville, le Pr Alexis Thierry Raoul Gombet, et a été un moment d’échanges pointus avec pour but de promouvoir et de développer les connaissances en imagerie médicale diagnostique et interventionnelle.
Comme l’indique la thématique, le Pr Régis Moyikoua a retracé dans son exposé les différents repères sur l’imagerie de toutes les urgences, en rapport à un traumatisme. Il a séparé cet itinéraire en plusieurs grandes phases. La première peut amener le patient à un accident vasculaire cérébral ou à une infection aigüe.
La deuxième phase, la thrombolyse, est quant à elle une technique qui permet d’aller casser le caillot. C’est un traitement particulier qu’on utilise en cas d’accident cérébral lorsqu’il y a une artère dans la tête qui est bouchée. C’est le patient qui va arriver à l’hôpital avec une partie du corps bloqué depuis trente à quarante minutes…
Pour le Pr Régis Moyikoua, c’était surtout pour dire qu’il y a deux modalités pour pouvoir explorer les urgences, c’est le scanner d’une part, et l’IRM (imagerie par résonance magnétique) d’autre part. « Le scanner est plus rapide. On peut faire examen de scanner dans un temps record de cinq à dix minutes. Cependant, l’IRM a une meilleure définition, mais ce sont des examens qui sont beaucoup plus longs et il y a beaucoup de monde sur la liste d’attente », a-t-il souligné.
Intervenant à son tour, le directeur général, prestataire externe de ADS-Radiologie médicale, Dzongbe Senny Abdel Aziz, a présenté l’aspect technologique, le Système RIS, un mini réseau informatique, couplé à un mécanisme de conservation d’images, c’est-à-dire d’archivage, appelé Medix-PACS qui a été installé au CHU.
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