← retour Santé tropicale
Accès aux sites pays
BENIN
BURKINA FASO
CAMEROUN
CENTRAFRIQUE
CONGO
COTE D'IVOIRE
GABON
GUINEE
MADAGASCAR
MALI
R.D. CONGO
SENEGAL
TOGO
Le potentiel | Congo-Kinshasa | 12/04/2006 | Lire l'article original
Selon la source, les tests effectués en laboratoire attestent que les éponges sont capables, à faibles doses, d’inhiber le développement des dernières formes du parasite, celles qui résistent souvent au traitement à la chloroquine. Les tests de confirmation sont en cours sur les rongeurs, affirme l’article ajoutant que les organismes marins constituent un réservoir des substances actives contre les différents types de virus qui s’attaquent à l’homme ou aux animaux. Il existe, dit-on, 145.000 substances naturelles actives dans la composition des médicaments anticancéreux, antiviraux et antiparasitaires.
Solange Bozanzo
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions
Montrez cette courte vidéo à vos patients afin que l'efficacité soit maximale.
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux