La révélation a été faite hier, par le directeur de Cabinet de ce département, Boubacar Traoré lors d’un atelier sur la réalisation de la formule.
Le modèle sera mis en œuvre grâce à l’appui du Conseil national de lutte contre le Sida. « Les problèmes de santé en Afrique et au Sénégal constituent une préoccupation de premier plan que les ministères en chargé de la Santé ne peuvent résoudre seuls », a souligné M. Traoré.
L’atelier a vu la participation d’acteurs de la Société civile, des représentants des Organisations communautaires de base, des acteurs de la lutte contre le Sida, etc. Hormis le VIH/Sida, ce programme a, dans sa ligne de mire, d’autres axes prioritaires, selon le directeur de Cabinet.

Il s’agit de la mortalité et la morbidité maternelle, la mortalité néonatale, la santé reproductive des adolescents et les questions de Genre liées à la santé.
L’objectif principal est « d’appuyer et consolider les actions du ministère de la Santé ». Selon le directeur de Cabinet, en plus des actions sur la prévention sexuelle et l’appui à la prévention de la transmission mère-enfant, « le ministère, se basant sur l’analyse de la situation des orphelins et enfants vulnérables et des Personnes vivant avec le virus du Sida, mettra l’accent sur ces cibles, en raison de leur vulnérabilité ».

Le plan prendra également en compte les travailleurs du sexe et les handicapés, a dit le directeur de Cabinet.
Le Coordonnateur du Cnls a salué la création de ce plan stratégique. « Nous avons travaillé en particulier avec les organisations de la Société civile, mais il était temps qu’on essaie de rentrer dans un cadre plus formel pour essayer de pérenniser les actions entreprises », a déclaré le Dr Ibra Ndoye. Selon lui, la pérennisation des actions est d’autant plus importante qu’il n’y a pas encore de vaccin contre le Sida. « Nous allons vivre encore au minimum une dizaine d’années avec cette épidémie comme une priorité de santé publique », souligne-t-il.

Calmez-vous, prenez une récré...

Il paraît loin le temps des jeux et des pauses entre les cours et pourtant... Les bienfaits d’une petite récréation dans la journée ne sont plus à prouver. Faites comme nos voisins anglais, une pause à 16h 00. Il ne s’agit pas de s’arrêter pendant une demi-heure mais 10 minutes de pause ont parfois un bienfait surprenant.
Ce petit entre-deux vous permet d’évacuer votre stress et de mieux entamer le reste de la journée. Profitez-en pour grignoter un petit quelque chose qui empêchera les accès d’hypoglycémie. Ils ne sont pas exceptionnels, en cas de longues journées.

Babacar DIONE

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