Les chercheurs ont indiqué que de nouvelles techniques reposant sur la mesure in vitro du niveau d’interféron produit par les lymphocytes T en présence d’antigènes spécifiques du bacille de la tuberculose ont été aussi développées dans ce cadre.

Les études menées principalement en zone de faibles endémies tuberculeuses ont montré une sensibilité et une spécificité accrue de ces tests par rapport au Tt. L’étude vise à comparer la validité d’un de ces tests, utilisant la méthode Elispot2 avec celle du Tt chez des patients infectés par le VIH/Sida. D’après les premiers résultats obtenus, il semblerait que l’Elispot est plus sensible que le test cutané pour le diagnostic de l’infection tuberculeuse, ce qui permet un meilleur dépistage chez les patients infectés par le VIH/Sida.

Les auteurs de ce nouveau test de dépistage de la tuberculose pour les victimes du VIH/Sida ont aussi révélé qu’une personne infectée par le VIH/Sida et qui est aussi contaminée par le bacille de Koch a un risque accru de développer la tuberculose par rapport à une personne non-infectée.

E. KALY

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