← retour Santé tropicale
Accès aux sites pays
BENIN
BURKINA FASO
CAMEROUN
CENTRAFRIQUE
CONGO
COTE D'IVOIRE
GABON
GUINEE
MADAGASCAR
MALI
R.D. CONGO
SENEGAL
TOGO
Le quotidien | Sénégal | 12/07/2008 | Lire l'article original
Pour lui, ces pools de compétences que sont : Nabil Choucair, l’Institut d’hygiène
sociale, le centre de santé Youssou Mbargane de Rufisque et le centre de santé
Roi Baudouin de Guédiawaye ont joué un rôle non négligeable dans la lutte contre
la mortalité maternelle au Sénégal. En effet, indique-t-il : «Il y a un an ou
deux, sur 100 000 naissances, on comptait 501 décédées dont la première cause
était l’hémorragie de la délivrance et les hémorragies dans sa totalité.»
Aujourd’hui, se félicite-t-il : «Quand on a créé des pools de compétences, ce
taux a connu une nette avancée.
Car sur 100 000 naissances, on a que 400 décédées.» Suffisant, selon lui,
pour que ces structures d’appoint soient maintenues, car ayant à leur tête des
professeurs agrégés avec leur équipe.
Egalement interrogé sur une éventuelle délocalisation de l’hôpital Aristide
Le Dantec, Abdou Dièye affirme n’avoir aucune information à ce sujet. Avant
de souligner qu’ils ne cracheraient pas sur une délocalisation. Seulement, rappelle-t-il
: «Quand le président de la République avait parlé de délocalisation, nous,
nous avions posé la question de savoir : comment ?» Toujours est-il que, pour
eux, l’important, c’est de sauver l’outil de travail et le personnel de l’hôpital
Aristide Le Dantec, dont le nombre est de 1 000 agents.
Par A. FALL
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions
Montrez cette courte vidéo à vos patients afin que l'efficacité soit maximale.
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux