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Walfadjri | Sénégal | 01/10/2008 | Lire l'article original
Il en a fait la révélation au cours d’une journée de sensibilisation sur les maladies handicapantes en partenariat avec l’ONG allemande Dahw. Laquelle journée a été organisée hier, lundi, au quartier Bongré par l’Association des encadreurs des collectivités éducatives du Sénégal (Aeces) de la cellule de Kaolack. Ceci au profit des enfants de la capitale du Saloum.
Cette recrudescence de la lèpre, le responsable régional du Pntl l’explique par le surpeuplement, la promiscuité et l’insalubrité au niveau de certains quartiers comme Médina Baye, Sarra Ndiougary et les Abattoires. Des facteurs qui favorisent la propagation de la maladie au niveau de la région et plus particulièrement dans la commune, et qui font que ces quartiers enregistrent, à en croire notre interlocuteur, le plus grand nombre de cas.
Interpellé sur ce qu’il convient de faire pour circonscrire la maladie, Ousseynou Ndour pense que cela a déjà démarré avec cette journée de sensibilisation axée notamment sur les maladies handicapantes telles que la lèpre, la poliomyélite et la tuberculose. Et d’indiquer que la lèpre est une maladie peu connue de la communauté. Et c’est pourquoi la maladie persiste. C’est pourquoi, poursuit Ousseynou Ndour, il faudra organiser beaucoup de journées de sensibilisation, l’objectif étant d’expliquer ce qu’est cette maladie et en quoi consiste son traitement, en leur faisant savoir que le traitement de la lèpre est possible et partout gratuit. Et il se fait sur une durée d’un mois, pas plus.
ELH. Thiendella FALL
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