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Le soleil | Sénégal | 08/12/2008 | Lire l'article original
Avec la mise à l’échelle de ces genres de structures d’intervention destinées à la lutte contre le paludisme, il est nécessaire que les capacités de cadres du niveau opérationnel soient renforcées pour une mise en œuvre optimale des politiques de prévention.
Ces informations sont données par le directeur de Cabinet du ministre de la Santé et de la Prévention, Cheikh Issa Sall. C’était à l’occasion de la clôture du cours national de paludologie qui s’est déroulé du 17 novembre et au 06 décembre à l’Institut de santé et de développement de Mbour et qui a permis aux responsables du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp) et ses partenaires de former 22 médecins, chefs des différents districts sanitaires du pays sur l’épidémiologie, de la planification de la lutte antipaludique, de la prévention, de la communication ainsi que la recherche opérationnelle.
A l’issue de ce cours, les médecins se sont engagés à mettre en œuvre des actions efficaces et efficientes de lutte contre le paludisme, qualifié de maladie endémique et constituant un fardeau pour les pays africains. Cet engagement est salué par le Dr Papa Moussa Thior, coordonnateur de Pnlp satisfait du bon niveau des formés. Et d’ajouter que « l’objectif est atteint », annonçant la formation de tous les médecins chefs de district sanitaire du pays. D’autant que le financement pour former la moitié de ces médecins est « déjà disponible ».
Eugène KALY
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