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Le soleil | Sénégal | 08/12/2008 | Lire l'article original
La thérapie antirétrovirale a amélioré de façon indéniable la vie des Personnes vivant avec le VIH/Sida. Elle a permis d’allonger la durée de vie des patients. Elle a en outre favorisé la réduction des infections liées aux infections opportunistes.
Mais aujourd’hui, il y a une résistance à ce mode de traitement un peu partout dans le monde et au Sénégal. En guise d’exemple, sur 156 patients mis sous Arv au Centre de traitement ambulatoire (Cta), durant une période de 70 mois, 18 ont répondu « aux critères d’inclusion », soit un taux d’échec de 11,5 %. La moyenne d’âge de ces malades tourne autour de 42 ans avec un sexe ratio de 1,25 en faveur des femmes. L’étude a couvert une période allant 1998 à 2001 et concerne les patients infectés par le VIH/1.
En cas de résistance, les praticiens prodiguent un traitement de seconde ligne et une assistance psychologique aux patients. « En cas de résistance aux Arv, il y a un traitement de seconde ligne que nous donnons. Nous essayons d’expliquer cette résistance aux malades », souligne le docteur Ndèye Fatou Ngom, membre du groupe qui a fait l’étude. Les docteurs Kiné Ndiaye Touré, Ndèye Coumba Touré Kane, Cheikh Tidiane Ndour, sont les autres professionnels de l’équipe de recherche. L’étude a été conduite dans le but de déterminer les prévalences d’une part et d’autre part fournir des recommandations. Rappelons que la résistance aux Arv a fait l’objet de sessions et de débats lors la 15e Icasa qui se déroule présentement à Dakar.
Idrissa SANE
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