← retour Santé tropicale
Accès aux sites pays
BENIN
BURKINA FASO
CAMEROUN
CENTRAFRIQUE
CONGO
COTE D'IVOIRE
GABON
GUINEE
MADAGASCAR
MALI
R.D. CONGO
SENEGAL
TOGO
Le soleil | Sénégal | 12/12/2008 | Lire l'article original
Le Dr Kevin de Cock du département VIH/Sida de l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) à Genève a fait savoir que les groupes vulnérables font partie de leurs axes prioritaires d’intervention.
C’était à l’occasion de la 15e Conférence internationale sur le Sida et les Infections sexuellement transmissibles (Icasa) tenue à Dakar du 3 au 7 décembre. De plus, les responsables de ce volet estiment qu’il est aussi possible de réduire la transmission du VIH/Sida de la mère à l’enfant. Du moins, si l’on exploite toutes les opportunités. « C’est possible de réduire la transmission de la mère à l’enfant si l’on exploite toutes les opportunités », a soutenu le Dr Rui Gama Vaz de l’Oms. Selon ce dernier tous les efforts doivent être basés sur la prévention.
L’Oms priorise le dépistage du VIH et conseille des patients, la diffusion de l’information utile, la prévention de la transmission, le renforcement du système de Santé, entre autre. Ces axes visent à optimiser l’impact des interventions de l’organisation qui a publié le guide des interventions prioritaires.
Le représentant de l’Oms au Sénégal, le Dr Philipé Junior a rappelé que l’octroi du financement dépend de l’implication de la Société civile dans la lutte contre la pandémie, de l’engagement des autorités politiques, magnifiant l’efficacité des programmes sénégalais de lutte contre Sida.
Idrissa SANE et E. KALY
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la revue de presse de Santé tropicale. Inscriptions
Montrez cette courte vidéo à vos patients afin que l'efficacité soit maximale.
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux