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Cameroon tribune | Cameroun | 26/10/2009 | Lire l'article original
Une lutte efficace contre la propagation du vibrion cholérique doit passer par des actions prophylactiques. Il est donc clair qu’une une synergie d’actions entre toutes les administrations interpellées par ces facteurs favorisant l’épidémie est nécessaire. Même si le relief des monts mandaras rend difficile la connexion des zones actuellement infectées à l’eau courante, la multiplication des forages dans ces localités et dans d’autres, est plus qu’urgente. Parce que le choléra est une maladie du péril fécal, les services d’hygiène et d’assainissement des différentes municipalités locales doivent réactiver leurs plans d’actions pour exhorter voire contraindre les populations à creuser des latrines où elles doivent exclusivement déféquer. C’est aussi un travail dévolu aux élus qui sont intéressés par les suffrages de ces populations le moment venu. Ce ne sont pas les morts ou les malades qui votent, eh bien ! Les personnes en santé. Ce n’est que de cette façon qu’on pourra diminuer la menace de cette maladie.
G.D
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