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Sud Quotidien | Sénégal | 02/11/2009 | Lire l'article original
L’organisation du cours de paludologie qui a duré trois semaines est, de son avis, « une opportunité de faire un aperçu dans la lutte contre le paludisme ». A l’en croire, la démarche entre dans la dynamique d’accompagnement de la nouvelle politique de santé. Une avancée notable est enregistrée dans la lutte contre le paludisme.
Le taux de prévalence se trouve ainsi à moins de 6%. Le ministre trouve la démarche engagée et actualisée dans un contexte international pour l’éradication, voire l’élimination du paludisme. Coumba Thérèse Diouf a salué en outre la collaboration entre l’Institut de santé et de développement et l’université Cheikh Anta Diop. Cela a favorisé la participation d’experts nationaux et internationaux dans le déroulement du cours sur la paludologie. Elle a remercié par ailleurs l’Organisation mondiale pour la santé pour son appui ainsi que l’ensemble des partenaires investis dans ce programme.
Madame la ministre de la santé s’est prononcée de même sur la situation du centre de santé de Mbour. Selon elle, le relèvement du plateau technique va se faire dans l’optique de l’érection du centre en établissement hospitalier. Pour autant, elle a attiré l’attention sur le relèvement du budget, une option qui entre aussi dans la dynamique de recruter prochainement 800 agents de santé. Pour finir, le ministre a fait part de l’engagement de l’Etat pour diligenter des procédures et pallier au retard de la subvention du Conseil régional de Kaolack, ce qui est préjudiciable à l’hôpital de cette capitale régionale.
par Samba Niébé BA
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