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30/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Les capacités de l’hôpital de district d’Akonolinga
renforcées grâce à un bâtiment inauguré vendredi
par le Minsanté. Ambiance toute spéciale vendredi dernier à
l’hôpital de district d’Akonolinga. Ce jour était celui
de l’inauguration d’un nouveau bâtiment pour le " Pavillon
Buruli ", fruit de la coopération médicale et sanitaire entre
le Cameroun et Médecins sans frontières Suisse (Msf Suisse). L’ouvrage,
dont la réalisation a coûté 48 millions de francs Cfa et
qui couvre quelque 400 mètres carrés — selon l’entrepreneur
approché par CT —, vient accroître les capacités de
l’hôpital, où, depuis 2002, Msf Suisse a développé
le pavillon susmentionné. Il est censé améliorer la qualité
des soins et augmenter la capacité d’hospitalisation, et offre
notamment des salles pour les pansements, la physiothérapie, la consultation
et une pharmacie.
Mots clés : ulcère de Buruli
30/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Le personnel médical travaillant dans les maternités de
Maroua a suivi une formation sur la question à l’hôpital
provincial jeudi dernier. Le témoignage du Dr Tebeu Pierre Marie, gynécologue
et obstétricien, qui travaille au quotidien avec les femmes à
l’hôpital provincial de Maroua est poignant. Le médecin responsable
du service de gynécologie explique que beaucoup de femmes meurent en
obstétrique à Maroua, au moment de la délivrance, ou mieux
de l’accouchement, par saignement abondant. Selon les statistiques, une
femme sur cinq à Maroua meurt des suites de " l’hémorragie
pendant et ou après l’accouchement ". Dans les détails,
le Dr Tebeu révèle avec chiffre à l’appui que "
l’infection se produit souvent comme complication d’une hémorragie
postpartum compliquée par une révision utérine.
Mots clés : accouchement
26/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Le Mincom et le Minsanté veulent donner aux informations sur
la santé dans les médias, une dimension de premier plan. En donnant
le quitus en mi-juin dernier à la création d’un Réseau
des journalistes du secteur de la santé (Rejoss), à l’issue
d’un atelier de formation, le ministre de la Santé publique Urbain
Olanguena et le ministre de la Communication représenté par le
ministre délégué Gervais Mendo Ze donnaient le coup d’envoi
d’un plaidoyer auprès des médias. Il s’agit-là,
selon un communiqué conjoint Mincom-Minsanté signé le 16
juillet dernier, des dispositions entrant " dans le cadre de la politique
du chef de l’Etat en matière de santé, en application des
prescriptions du PM sur la mise en œuvre de la stratégie sectorielle
de santé ".c
Mots clés : communication, santé
19/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
En quatre jours, le bilan des opérations des médecins
saoudiens en séjour dans le chef — lieu de la province de l’Extrême
— Nord la semaine dernière est de 233 patients consultés
et 114 malades opérés. Il s’agissait d’une équipe
de 10 personnes dont neuf médecins et un administrateur, Abdoul Djabar,
par ailleurs chef de cette mission. Cette visite de travail rentre en droite
ligne de la coopération bilatérale Cameroun- Arabie Saoudite.
Les populations de l’Extrême — Nord ont encore eu ce privilège
de recevoir gracieusement des soins de ces médecins membres de la WAMY,
cette association internationale basée en Arabie Saoudite. La WAMY, faut
— il le noter, n’intervient pas exclusivement dans le domaine de
la santé. Cela n’enlève rien au fait que le Cameroun figure
sur la liste des pays qui entretiennent une collaboration soudée avec
cette association sur le plan de la santé.
Mots clés : spécialiste
16/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
La vue c’est la vie. Le célèbre slogan a encore
pu se vérifier chez Henri B. Son histoire relève tout simplement
du miracle. Depuis 29 ans, ce jeune homme de 35 ans avait perdu tout espoir
de recouvrer la vue. Il vivait dans le noir le plus total. Pire, marié
depuis cinq ans, avec Micheline, il n’avait jamais pu apprécier
le visage de sa tendre épouse. Il a fallu que la science lui sourie à
travers cette équipe médicale d’ophtalmologues tunisiens,
arrivés au Cameroun la semaine dernière pour la campagne de lutte
contre les cécités curables, organisée par l’Hôpital
central de Yaoundé (HCY), avec l’appui financier de la Banque islamique
de développement (BID) et l’ambassade de Tunisie au Cameroun. Vendredi
dernier, comme Henri B, de nombreux patients ont tenu à exprimer leur
joie à cette équipe médicale, au cours de la cérémonie
de clôture de la campagne. Un bilan a été dressé.
Au total, 269 patients ont été opérés et ont recouvré
la vue. " Un record en une semaine. Cette campagne a participé à
rehausser l’image de notre institution. Nous tenons à remercier
nos confrères tunisiens qui ont tenu à faire profiter leurs talents
à nos patients ", a lancé le directeur de l’HCY, le
Pr. Magloire Biwolé SIDA, au cours de son allocution.
Mots clés : ophtalmologue
16/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
L’éclairage du Dr Mohamed Hechmi Hendili, chef de l’équipe
des ophtalmologues tunisiens. Pouvez-vous faire un bilan de votre campagne ?
Jusqu’à vendredi dernier, nous avons opéré 269 malades.
En arrivant ici, on pensait opérer environ 350 et 400 malades. Jeudi
par exemple, nous avons opéré 81 malades. Si on avait pu le faire
chaque jour, pendant les cinq jours, on aurait atteint facilement le nombre
400. On en a opéré moins parce qu’il n’y avait pas
assez de malades à opérer. Je ne peux pas vous dire pour quelles
raisons il n’y en avait pas assez. A priori, cette campagne a satisfait
beaucoup de monde, que ce soit les autorités sanitaires, que ce soit
nos collègues et le personnel médical du service d’ophtalmologie
de l’hôpital central de Yaoundé. Nous repartons sachant que
les malades aussi sont satisfaits et très contents. Ce qui veut dire
qu’il y aura probablement d’autres campagnes ici au Cameroun, et
si elles sont préparées longtemps à l’avance, c’est
sûr que nous allons opérer beaucoup plus de malades que cette fois.
Mots clés : ophtalmologue, chirurgie
13/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Suite à la promesse faite au ministre de la Santé publique
mercredi dernier, le travail a bel et bien repris hier. Les patients ont renoué
hier avec l’ambiance habituelle des hôpitaux. A l’Hôpital
central de Yaoundé (HCY), les rangs étaient visibles dès
les premières heures de la matinée devant les caisses et même
à la pharmacie. Au bloc des urgences, vitrine de l’institution,
tout est rentré dans l’ordre. Le nombre impressionnant de gardes
malades installés à l’entrée de ce service prouve
que le rythme effréné de réception des malades a repris.
Et à l’intérieur, les gangs, seringues et autres stéthoscopes
ont repris leur place entre les mains des personnels médico-sanitaires.
Dans la cour, les allées et venues des hommes et femmes en blanc sont
incessantes. Les uns orientent les malades alors que les autres discutent tout
simplement.
Mots clés : hôpital
11/07/2007 | La nouvelle expression | Cameroun
Les Gic (Groupement d’intérêt commun) santé,
d’après les médecins, représentent une véritable
gangrène pour la pratique légale de la médecine. La plupart
de ces Gics emploient un personnel non qualifié et pratiquant tout, sauf
la médecine. La loi n°90/36 du 10 août 1990, relative à
l’exercice et à l’organisation de la profession de médecin,
dispose dans son article 2 que “nul ne peut exercer la profession de médecin
au Cameroun s’il n’est inscrit au tableau de l’Ordre”.
Or, selon le constat amer fait par cette corporation, le Cameroun regorge quelque
4500 médecins, 2000 sont inscrits à l’ordre. Conséquence,
les autres exercent dans l’illégalité. A côté
de ces professionnels, nombreux sont ceux qui se proclament ‘Docteur sans
aucune référence en la matière. Ils inondent les grandes
métropoles des Gics de santé et autres cabinets médicaux
non autorisés. Selon le nouveau représentant de l’Ordre,
“ces charlatans font du tort à nous, mais aussi à la population”.
Autant les actes médicaux posés par des mains non professionnelles
causent des dégâts dans la population.
Mots clés : ordre des médecins, Gic Santé
03/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Le sujet paraît revêche pour les non-initiés : "
Profil de toxicité et effets des extraits de Laportea Ovalifolia sur
la glycémie et profil lipidique des rats diabétiques ". C’est
l’intitulé d’une thèse de doctorat de 3ème
cycle soutenue en mars 2005 par une jeune étudiante au département
de biochimie de la faculté de Sciences de l’Université de
Yaoundé I. Un sujet vraiment abscons pour les néophytes. Edwige
Claudia Momo Noumessing qui l’a soutenue explique qu’il était
question de démontrer que la Laportea Ovalifolia, une plante camerounaise,
utilisée par les tradipraticiens pour soigner le diabète a effectivement
des propriétés anti-diabétiques. Elle a donc établi
que la consommation de l’extrait de cette plante à dose précise
contribue à baisser le taux de sucre et de lipide dans le sang.
Mots clés : diabète
02/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Existe-t-il un programme de prévention pour les zones à
forte concentration comme le Carrefour Fédéral ? Il n’existe
pas de programme spécial en faveur des travailleurs de sexe. Puisque
la prostitution est réprimandée par la loi camerounaise. Mais
nous savons d’après l’enquête EDS3 de 2004 que les
femmes sont plus exposées au VIH/SIDA que les hommes. Nous savons aussi
que la tranche d’âge qui va de 19 ans à 35 ans est la plus
touchée, et ces filles de joie se recrutent généralement
dans cette tranche d’âge. Mais nous avons un programme général
qui est plus accentué vers cette tranche d’âge. Malheureusement,
il existe même des enfants qui se retrouvent dans ce carrefour et à
notre niveau, nous appelons au changement de comportement. C’est ce que
nous sommes en train de vouloir faire, nous le faisons même déjà
en allant dans ces milieux en proposant à ces personnes de se faire dépister
afin que chacun sache son statut sérologique. Et cela permet à
ceux qui fréquentent ce genre de lieux de savoir se comporter.
Mots clés : dépistage, VIH/SIDA
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