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 Santé mentale / Classement des articles « Santé mentale »

Les mieux notés - Les plus commentés

Top 10 des articles les plus lus

Classé N° 1 sur 24 articles

Evaluation de la qualité de vie des personnes vivant avec le virus de l’immunodéficience humaine à Antananarivo

Rakotoarivelo RA, Ramanalimanana P, Andrianasolo R, Razafimahefa SH, Randria MJD - Madagascar
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5802 - Février 2011 - pages 100-104

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Les Personnes Vivant avec le Virus Immunodéficience Humaine (PVVIH), ne sont pas confrontées seulement à des problèmes médicaux mais aussi à des problèmes sociaux et psychologiques liés à leur maladie et au traitement antirétroviral qui pourraient interférer avec leur Qualité de Vie (QdV). Une étude transversale a été menée auprès des PVVIH sous traitement Antirétroviral (ARV) et suivis à Antananarivo. Nous avons utilisé l’instrument générique, Medical outcome study short from-12 item health survey (MOS SF-12). Notre objectif était d’évaluer le retentissement de l’infection VIH/SIDA et du traitement antirétroviral sur la QdV des PVVIH. Trente et un patients ont participé à cette étude, l’âge moyen était de 39,09 ans et le sex-ratio de 1,21. Le score moyen avait montré une composante physique (PCS) plus altérée que la composante psychique (MCS), avec des scores respectifs de 44,1 et 50,2. Aucune corrélation n’était constatée entre la QdV et l’activité sexuelle. Les 16,1% des PVVIH qui avaient besoin d’aide permanente avaient aussi la QdV la plus altérée (PCS à 39,75 et MCS à 43,50). Les antirétroviraux étaient bien supportés dans 93,5% des cas. Ils avaient amélioré la QdV de 93,5% des PVVIH.

Mots clés : VIH/SIDA, antirétroviraux, qualité de vie, Antananarivo,

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Classé N° 2 sur 24 articles

Intérêt de l’apport de pidolate de magnésium dans le sevrage alcoolique

J.M. Yeo-Tenena, N.D. N’Guessan, M.S.P. Konan, T.A. Salami, M. Ovoundard, E. Konan - Côte d'Ivoire
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6006 - Juin 2013 - pages 251-255

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Introduction : Les auteurs rapportent leur expérience de l'utilisation du pidolate de magnésium par voie orale (MAG 2® ampoule buvable sans sucre) dans le sevrage alcoolique.
Patients et méthode : il s'agit d'une étude prospective descriptive portant sur 38 patients alcooliques qui ont reçu pendant 10 mois du Mag2® ampoule buvable sans sucre associé au traitement classique (le diazépam et la thiamine pour le sevrage alcoolique et l'acamprosate comme médicament d'aide au maintien de l'abstinence). Le critère de jugement a été la baisse de l'intensité du syndrome de sevrage et la présence ou non de rechute.
Résultats : Notre étude a concerné 38 patients alcooliques connus et régulièrement suivis répartis en 32 hommes (84.21 %) et 6 femmes (15.79%) avec un sex-ratio de 5.33. L'âge moyen de patients était de 28.6 ans avec des extrêmes de 16 ans et 46 ans. 86,4% de nos patients ont fait l'objet d'un sevrage ambulatoire.
Conclusion : Le pidolate de magnésium (Mag2® ampoule buvable sans sucre) nous a donné satisfaction dans la prise en charge du sevrage alcoolique.

Mots clés : alcoolisme, sevrage, Mag2®,

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Classé N° 3 sur 24 articles

Violences au travail observées dans le service de psychiatrie du CHU de Brazzaville Congo

Mouanga A, Comlan P, Bandzouzi-Ndamba B, Ve D, Taboa, Mambouj B, Kone D, Delafosse RCJ - Congo-Brazzaville
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5807 - Juillet 2011 - pages 353-362

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La violence sur les lieux du travail a été observée dans les services de psychiatrie depuis de nombreuses années. L’objectif de cette étude était de décrire les situations de violence sur les lieux du travail, le vécu des victimes et les pratiques de prise en charge chez les travailleurs du service de psychiatrie du Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville (CHUB) au Congo.
Nous avons utilisé un auto-questionnaire standardisé de type semi-directif. Nous avons interrogé 21 travailleurs sur 27 (77,8% de l’effectif) qui ont subi en 2007, une situation de violence physique, verbale et/ou sexuelle occasionnée par les patients hospitalisés en psychiatrie ou leurs accompagnants.
Les résultats mettent en évidence le fait que vingt travailleurs (95,2%) interrogés ont vécu, durant leur travail en psychiatrie, des événements de violences au travail, un des six travailleurs (30%) n’a pas pu obtenir de l’aide au moment de l’agression, seule une victime (5%) a bénéficié d’une prise en charge psychologique après l’événement violent. Les violences sont survenues fréquemment durant les visites de routine surtout lorsque les agents de santé se retrouvaient isolés durant les permanences ou les gardes. Le déficit en personnel a facilité les actes de violences au travail qui étaient répartis en violences verbales (13 fois), violences physiques (12 fois) et violences sexuelles (2 fois). Les lésions psychologiques les plus graves étaient de type stress post traumatique.
Pour éviter la survenue d’autres agressions, les victimes ont proposé des stratégies de prévention qui seront prises en compte pour rédiger des procédures. Nous recommandons une évaluation et une réorganisation de l’environnement de travail pour une meilleure prévention de la violence dans le service de psychiatrie.

Mots clés : violence au travail, service de psychiatrie,

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Classé N° 4 sur 24 articles

Difficultés diagnostiques de la fièvre typhoïde en milieu urbano-rural congolais. Etude menée à Kalemie, province du Tanganyika (République Démocratique du Congo)

H. Kabemba Bukasa, S. Mukena Tchioni, J. Pungue Kabiswe, D. Ngiele Mposhi, J. Namutarutwa, C. Kasolva Tshinkobo - Congo-Kinshasa
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6405 - Mai 2017 - pages 263-270

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Introduction : La fièvre typhoïde est un problème de santé publique qui affecte surtout la population des pays en voie de développement suite aux déficits des mesures d’hygiène. L’objectif de cette étude consistait à déterminer ses modalités diagnostiques.
Patients, matériel et méthodes : C’est une étude rétrospective, descriptive et analytique de 2013 à 2014 à l’hôpital général de référence de Kalemie (RD Congo). Elle concernait les cas diagnostiqués et traités de fièvre typhoïde en médecine interne et pédiatrie.
Résultats : La fréquence des patients chez qui le diagnostic de la fièvre typhoïde a été évoqué représente 3,3% avec 3,0% en pédiatrie et 4,1% en médecine interne. Les enfants étaient les plus affectés, surtout de sexe féminin. La clinique restait dominée par la fièvre, asthénie physique, anorexie, céphalée et troubles digestifs. Le test de Widal-Félix sur plaque a été demandé dans 82,9% avec 70,1% de positivité alors que 17,1% des patients étaient diagnostiqués sur base des arguments cliniques. Il a été noté une forte association diagnostique (traitée) paludisme-fièvre typhoïde (73,8%).
Conclusion : Dans notre série, le diagnostic de la fièvre typhoïde pose de sérieux problèmes liés notamment aux explorations de biologie médicale. Cette dernière devrait contribuer à appuyer la clinique. Les efforts devraient être fournis pour améliorer le diagnostic et prise en charge adéquate des patients, épargnant ainsi au malade des antibiothérapies inutiles.

Mots clés :

Fièvre typhoïde, Kalemie, ISTM, RDC, Widal

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Classé N° 5 sur 24 articles

La dépression chez les hémodialysés chroniques

N.D. Ndiaye-Ndongo, O.M. Samba, A. Sylla, M.H. Thiam, B. Diouf - Sénégal
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 6212 - Décembre 2015 - pages 603-608

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L'hémodialyse a modifié le pronostic de l’insuffisance rénale chronique. La prise en charge de troubles dépressifs pourrait toutefois améliorer le pronostic.
L'objectif de notre travail était d’estimer la prévalence de la dépression, chez une population de patients insuffisants rénaux chroniques en hémodialyse.
Nous avons mené une étude descriptive transversale de janvier 2012 à mai 2014 à l’unité d’hémodialyse du service de néphrologie de l’hôpital Aristide Le Dantec.
L’échelle d’autoévaluation de la dépression de Beck, dans sa version simplifiée, a été utilisée.
La prévalence de la dépression selon l’échelle abrégée de Beck, dans cette population, était de 57,8%. Chez 58.8% des patients déprimés on retrouvait une dépression légère. Deux patients avaient une dépression sévère. Une dépression modérée était notée chez 18 patients (37,5%).
La prise en charge des insuffisants rénaux en hémodialyse doit intégrer le traitement de la dépression.

Mots clés : Dépression, insuffisance rénale chronique, hémodialyse, prévalence

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Classé N° 6 sur 24 articles

Vécu social des personnes vivant avec le VIH/Sida à Cotonou (Bénin)

C.M. TOGNIDE, J. EZIN HOUNGBE, P. GANDAHO, M. DOSSA, R.G. AHYI - Bénin
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5211 - Novembre 2005 - pages 623-627

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S’il est possible de rencontrer des porteurs de VIH/SIDA bien portants sur le plan physique, la quasi-totalité des personnes vivant avec ce virus est confrontée à des difficultés psychologiques et surtout sociales, dans notre pays. A travers cette étude prospective transversale à la fois descriptive et analytique, qui vise à apprécier le vécu social des PVVIH/SIDA, les auteurs ont montré que l’entourage et la société en général sont de moins en moins hostiles aux PVVIH/SIDA sous nos cieux (3,8 %). Le rejet ou l’isolement n’a été observé que dans 11,8 % des cas et l’indifférence dans 7,9%. 68,8 % de ces dernières ont signalé que leur statut sérologique avait été annoncé par le personnel soignant à leur entourage sans demander leur avis. 49,8 % ont connu une modification professionnelle avec 32,5 % de perte d’emploi. Les revenus mensuels ont connu à la survenue de l’infection par le VIH, une baisse de 54 %.Aussi faudrait-il mentionner que les besoins des PVVIH/SIDA en matière de prise en charge psychosociale semblent importants.

Mots clés : statut social, expériences, HIV, Sida, VIH,

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Classé N° 7 sur 24 articles

Facteurs de risque et dépendance aux substances psycho-actives chez les enfants en situation de rue à Niamey

D. DOUMA-MAIGA, Y. ABOUA, A. ALZOUMA, A. SIDIKOU, M. ABDOU - Niger
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5611 - Novembre 2009 - pages 563-569

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La dépendance aux substances psychoactives chez les enfants et adolescents de la rue et dans la rue est l’objet de cette étude. Certains facteurs de risque comme l’âge, le niveau d’instruction, l’attachement à un répondant, la nature de la substance consommée et le type de consommation et enfin le degré d’impulsivité non planifié selon Barratt ont été étudiés chez les enfants et adolescents de la rue et dans la rue dépendants aux substances psychoactives versus enfants et adolescents de la rue et dans la rue non dépendants aux substances psychoactives selon le DSM IV.
Les résultats indiquent que l’absence d’attachement à un répondant, le faible niveau d’instruction, la nature de la subs-tance consommée, le type de consommation (polytoxicomanie) et un grand score au test d’impulsivité non planifié de Barratt sont statistiquement de façon significative plus retrouvés chez les sujets dépendants que chez les sujets non dépendants.
La lutte contre la dépendance aux substances psychoactives chez les enfants et adolescents de la rue et dans la rue doit tenir compte de ces facteurs individuels et familiaux.

Mots clés : enfants de la rue, enfants dans la rue, facteurs de risques, dépendance, substances psycho-actives,

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Classé N° 8 sur 24 articles

Risque suicidaire chez les élèves scolarisés à Parakou (Bénin) en 2021

I.N.E. Ataigba, K.F.B. Adeossi, D.S. Koivogui, M.R. Koulodji, D.M. Awohouedji, D. Moussa, A. Djidonou, L. Anagonou, E. Fiossi Kpadonou - Bénin
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 7102 - Février 2024 - pages 123-132

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Introduction : Le suicide considéré comme un problème de santé publique, est néanmoins en grande partie évitable (OMS). La dépression, le désespoir, la faible estime de soi, les difficultés socioéconomiques, les difficultés scolaires etc. sont des facteurs qui peuvent facilement fragiliser un individu entraînant un risque suicidaire. La couche juvénile faisant partie des personnes à risque, la présente étude s’est proposée d’étudier le risque de suicidaire chez les adolescents scolarisés à Parakou.
Méthodes : Il s’est agi d’une étude transversale, descriptive à visée analytique menée de décembre 2020 à novembre 2021. La technique d’échantillonnage utilisée a été le tirage aléatoire stratifié. Etaient inclus dans l’étude les élèves en classes de troisième (3ème), seconde (2nd), première (1ère) et Terminale (Tle) inscrits au cours de l’année académique 2020-2021 Le risque suicidaire a été évalué avec le Mini International Neuropsychiatrie Interview (MINI).
Résultats : Au terme de cette étude 702 élèves ont été inclus. L’âge moyen des enquêtés dans était de 17 ans ± 1,90 avec une médiane de 18 ans et des extrêmes de 14 ans et 25 ans. Une prédominance masculine a été notée (52,71%) avec une sex-ratio (H/F) à 1,11. La prévalence du risque suicidaire globale était estimée à 12,54% (88 adolescents sur 702). Ce risque global peut être qualifié de léger dans 59,09% des cas (52 adolescents sur 88), moyen dans 22,73% des cas (20 adolescents sur 88) et élevé dans 18,18% des cas (16 adolescents sur 88). A l’analyse multivariée, plusieurs facteurs étaient associés : la violence subie au cours de l’enfance, la maltraitance, la violence des pairs à l’école, la dépression, antécédent familial de tentative de suicide, antécédent familial de suicide, comportement des éducateurs, et la baisse de performance scolaire.
Conclusion : Les résultats obtenus révèlent que plus d’un élève sur dix présente un risque suicidaire. Plusieurs facteurs associés au risque de suicide chez les élèves peuvent être influencés. Il s’avère donc indispensable de mener à divers niveaux, des actions efficaces pour prévenir le passage à l’acte au sein de cette couche juvénile qui porte l’espoir de toute une nation.

Mots clés :

Risque suicide, adolescents, scolaire, Bénin, 2021

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Classé N° 9 sur 24 articles

Législation en santé mentale au Niger : analyse de quelques aspects et note de présentation d’un avant-projet - 1ère partie

D. Douma-Maiga, I. Malam Mana, G. Tinni - Niger
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5701 - Janvier 2010 - pages 27-31

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La santé mentale au Niger est aujourd’hui encore régit par des textes de loi des années 1930 (arrêté du 28 juin 1938 ; l’article 41 du code pénal Nigérien et les articles 488 à 515 du code civil). Ces textes de loi qui constituent encore une référence latente ne sont plus adaptés au contexte social actuel. La pratique actuelle en matière de législation en n’est non seulement pas en accord avec contextes mais également avec les exigences des droits de l’homme en matière de santé mentale.
Après une analyse de ces textes et de la pratique qui en a résulté dans une première partie, nous proposons sous forme de contribution dans la deuxième partie des lignes directives qui devraient permettre l’élaboration de textes garantissant, une bonne gestion de la maladie mentale par la société nigérienne ; les droits de la personne malade et enfin une assistance adéquate en santé mentale dans ces volets réadaptation ; soins de santé mentale ; prévention de la maladie mentale et promotion de la santé mentale dans le contexte nigérien.
Enfin dans la troisième et dernière partie, nous présentons un avant projet de législation, qui constitue le travail final d’un comité interministériel et multidisciplinaire.

Mots clés : santé mentale, législation,

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Classé N° 10 sur 24 articles

La législation en santé mentale au Niger : analyse de quelques aspects et notre de présentation d’un avant-projet - 2ème partie

D. Douma Maiga, I. Malam Mana, G. Tinni - Niger
Publié dans Médecine d'Afrique Noire - N° 5702 - Février 2010 - pages 98-108

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Comme toutes les sociétés des pays en voie de développement, celle du Niger connaît de profondes mutations, conséquences du développement socio-économique, industriel et des métissages culturels (culture orientale, culture occidentale, culture asiatique et culture africaine). La prégnance des mutations n’est pas uniforme ; elle est variable en fonction de la massivité ou non du métissage.

Mots clés : malades mentaux, prise en charge, réadaptation sociale,

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