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Publié dans Médecine d'Afrique Noire 5204 - Avril 2005 - pages 233-237
Auteurs : S.F. BUAMBO-BAMANGA, A.L. GNEKOUMOU, P. OYERE-MOKE, J.R. EKOUNDZOLA - Congo-Brazzaville
Objectif : A la lumière de 341 cas d’hémopéritoine d’origine gynécologique colligés au CHU de Brazzaville en 24 mois, les auteurs déterminent la fréquence, précisent les modalités thérapeutiques chirurgicales, évaluent la morbidité et la mortalité y découlant et enfin proposent quelques mesures préventives.
Méthodes et malades : C’est une étude rétrospective, allant du 1er janvier 2001 au 31 décembre 2002, soit 24 mois, portant sur les patientes admises dans un tableau d’hémopéritoine d’origine gynécologique.
Résultats : Les résultats suivants sont rapportés :
Conclusion : Pour réduire cette mortalité, l’accent doit être mis sur le diagnostic précoce des hémopéritoines et leur prise en charge thérapeutique immédiate et complète.
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