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Publié dans Médecine d'Afrique Noire 5210 - Octobre 2005 - pages 567-571
Auteurs : R. ABAULETH, A.YESUFU, E. BOKOSSA, A. KOFFI, D. EFFOH, S. BONI, N. KONE - Côte d'Ivoire
Il s’agit d’une étude rétrospective et descriptive qui s’est déroulée du 1er janvier 2001 au 31 décembre 2002 dans le service de gynécologie et d’obstétrique du CHU de Cocody. Nos objectifs étaient de déterminer la fréquence des hystérectomies, d’identifier les principales indications et les techniques opératoires et d’en préciser les résultats. La fréquence des hystérectomies a été de 3,2 %. Les principales indications ont été la rupture utérine au cours du travail (37,96 %), le fibrome utérin (28,70 %), les complications des avortements provoqués (13,95%), les cancers gynécologiques (12,04 %) et le prolapsus utérin (8,33 %). La voie abdominale a été la plus utilisée (84,26 %). Dans 54,63 %, il s’agissait d’hystérectomies totales contre 39,81% de subtotales et 5,56% d’hystérectomies élargies. Il a été noté 0,93% de complications per opératoires. Les complications post-opératoires ont été dominées par l’anémie (44,74 %) et les infections pariétales (28,95 %). La létalité a été de 5,56 %.
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