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Républicoftogo | Togo | 05/07/2011 | Lire l'article original
L'infection entraîne une destruction étendue de la peau et des tissus mous avec la formation d'ulcères de grande dimension, se localisant en général sur la jambe ou le bras. En l'absence de traitement précoce, la maladie peut laisser des incapacités fonctionnelles durables, comme des restrictions des mouvements articulaires ou des problèmes esthétiques très apparents. La précocité du diagnostic et du traitement est cruciale pour éviter ces incapacités.
C’est dans ce cadre que le Togo vient de se doter d’un laboratoire de biologie moléculaire équipé pour la confirmation des cas d’UB, dont 8 cas ont été détectés ces derniers jours à l’intérieur du pays.
Le laboratoire, installé dans les locaux de l’Instit National d’Hygiène a été inauguré mardi à Lomé par le ministre de la Santé, Charles Kondi Agba.
Sa création est le résultat d’un partenariat avec l’Université de Munich, l’Institut tropical de Hambourg et un consortium de 11 instituts de recherche européens et africains.
Si l’objectif premier est d’effectuer un diagnostic précoce, la finalité est de permettre de mettre au point un vaccin permettant de traiter l’ulcère de Buruli.
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