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GUINEE MADAGASCAR MALI R.D. CONGO SENEGAL TOGO
Sud Quotidien | Sénégal | 19/04/2012 | Lire l'article original
Le médecin chef de la région médicale l'a confirmé en présence du ministre de la santé Eva Mari coll Seck . Dr Masserigne Ndiaye a recommandé la gratuité des prélèvements du traitement et va mettre en place les réactifs. Le médecin chef du district sanitaire de Touba Dr Sourang estime que l'accessibilité des médicaments .Selon lui ,les prélèvements sont payants au niveau de l'hôpital Matlaboul. Son collègue de Mbacke estime que le premier cas de méningite a été noté le 27 mars. Mme Adama Aidara Mbacke médecin chef du district sanitaire de Mbacké préconise une référence précoce. Le médecin chef du district sanitaire de Bambey de souligner que tous les cas qui ont été notifiés au niveau de Bambey proviennent de la même localité. Dr Jacques Diamé Ndour affirme que le nombre de cas est passé de 6 à 9 cas.
L'insuffisance des réactifs et l'insuffisance de tubes et des aiguilles de prélèvement lombaires ont été identifiés comme points faibles dans la lutte contre la méningite. Le ministre de la santé qui présidait une réunion technique avec les acteurs de la santé de Diourbel se veut clair "il y une poussée des cas de méningite qui n'a pas atteint le seuil critique ou le seuil d'une épidémie. Les mesures sont prises au niveau de la région pour que nous puissions avoir une très bonne approche stratégique. Il s'agit de la surveillance des cas.
Cette surveillance est faite sous le contrôle du médecin chef de la région médicale .Les districts sanitaires reportent régulièrement et surveillent le nombre de cas et éventuellement leur augmentation .Il ya une prise en charge précoce qui se fait au niveau de la région. J’ai été particulièrement surprise parce que dans tous les pays du monde quand il y a une épidémie de ce genre avec un nombre de cas qui augmente jour après jour, on voit aussi une mortalité qui est importante.
Dans cette région il n'y a même pas eu un décès. Ce sont des cas confirmés par le médecin chef de région et ses collaborateurs."Et le ministre de la santé de poursuivre que "nous avons discuté de possibilité d'aider un peu les populations pour ne pas avoir de recouvrement de coût. Quand il y a une maladie qui pourrait entrainer des problèmes de santé publique il faut essayer au maximum d'aller vers la gratuité. Nous allons tout faire pour appuyer la région pour que cela puisse se faire. Les acteurs de la santé ont pris au niveau local des dispositions et le niveau central doit faire un peu plus pour aider les régions qui ont un nombre de malades qui a augmenté. Nous avons également discuté d'une éventuelle vaccination
.Ce que nous avons dit c'est que d'abord on vaccine que quand il y a une épidémie ou on est dans un seuil qui s'approche d'une épidémie. Ce qui n'est pas le cas dans cette région de Diourbel, ni dans la région de Thiès que nous avons visitée. Il d'abord avoir une démarche la surveillance d'abord et la prise en charge précoce. " Nous sommes heureux de dire que les médicaments que les médicaments sont disponibles a t-il martelé avant d'ajouter que "il n'y a pas de problèmes de prise en charge et cela va continuer et même renforcer."
Adama NDIAYE
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