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Le soleil | Sénégal | 14/05/2012 | Lire l'article original
Elle s’exprimait, hier, lors d’une « matinée de plaidoyer sur le renforcement du financement alloué à la planification familiale » organisée par l’Ong Acdev (Action et développement). Elle est d’avis que la planification familiale permet d’améliorer la santé maternelle et infantile, d’aider la nation à accroître ses ressources en ayant une population saine. Se basant sur la définition du concept de Santé de la reproduction qui est « un état complet de bien-être physique, mental et social, et pas seulement l’absence de maladie ou d’infirmité pour tout ce qui touche l’appareil génital, ses fonctions et son fonctionnement », elle soutient qu’il y a « une relation étroite entre le développement, la Santé de la reproduction et l’égalité des genres ». C’est pourquoi, ajoute le Dr Mariétou Diop, le « Sénégal a fait de l’amélioration de la santé de la mère, du nouveau-né et de l’enfant une priorité ».
Mais, aujourd’hui, force est de reconnaître que le manque de ressources financières suffisantes constitue un frein à une meilleure prise en charge de la Santé de la reproduction au Sénégal.
A en croire le président de l’Ong Acdev, le Dr Cheikh Tidiane Athie, il urge de revoir les financements de la Santé de la reproduction. D’où l’appel lancé aux organismes, bailleurs de fonds, comme la Banque mondiale, pour qu’ils assistent à cette matinée de plaidoyer. Le Dr Athie de constater que « le financement de la Santé de la reproduction est extrêmement faible ». Ainsi, pour atteindre les Omd en 2015, le président de l’Ong Acdev pense qu’il faut aller à des « financements plus conséquents ».
Yathé Nara NDOYE
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