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Le soleil | Sénégal | 24/03/2009 | Lire l'article original
Près de 1000 personnes sont consultées chaque année à l’Institut Pasteur, mais seuls 5 à 6 cas de décès sont constatés officiellement au Sénégal, a souligné le Pr Bernard Marcel Diop. Il faut rappeler que selon l’Oms, 50.000 cas de décès sont notés chaque année dont la moitié en Afrique. Des données sous-estimées, dans la mesure où de nombreux cas ne seraient pas traités ou rapportés aux autorités sanitaires. Aussi les experts pensent que l’école devrait être le meilleur moyen pour sensibiliser les populations. Les experts ont recommandé le renforcement du contrôle épidémiologique et étendre les collaborations intersectorielles pour rendre à la rage le poids qui devrait être le sien. S’agissant des autorités, il leur a été demandé de s’impliquer pour mettre la rage à l’agenda des priorités sanitaires humaines et vétérinaires mais surtout de participer activement à la journée mondiale célébrée le 28 septembre de chaque année. Aussi, il est du devoir des autorités de favoriser la prise en charge totale ou partielle des patients afin que l’accessibilité au traitement ne soit plus une barrière. Au personnel de la Santé et du public, il a été recommandé que des actions de formation et d’information soient organisées auprès d’eux. Quant à la collaboration entre la santé humaine et animale, ils ont insisté qu’elle est le seul garant du succès dans la lutte contre la rage.
El H.A.THIAM
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