L'actualité

Notre métier d'éditeurs de revues médicales en Afrique francophone et au Maghreb, nous amène à suivre de très près l'actualité de la santé de ces pays.
Nous lisons la plupart des journaux spécialisés et sommes en contact avec de très nombreuses associations et ONG.
Nous fréquentons aussi certains forums spécialisés.

Dans notre développement Internet, nous avons pensé que toutes ces informations que nous recueillons quotidiennement ne pouvaient que vous intéresser.
C'est la raison de cette rubrique que nous mettrons à jour le plus régulièrement possible.

Afin d'être en harmonie avec la déontologie Internet, nous vous précisons que toutes nos sources sont informées des textes que nous leur empruntons afin de les mettre à votre disposition dans cette rubrique.

Toutefois, comme elles le précisent elles-même pour la plupart, nous vous prions de traiter les informations avec la plus grande prudence et de ne pas hésiter à suivre les liens que nous plaçons systématiquement à la fin des articles, afin de lire le document original et de contacter, le cas échéant, l'auteur ou le responsable de la publication.

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L'actualité de la santé en Afrique
Janvier 2004

Divo : Le district sanitaire veut augmenter sa couverture vaccinale - Fraternité Matin - Côte d'Ivoire - 13/01/2004
Un séminaire de formation du personnel de la Santé composé d'infirmiers, de sages-femmes et d'assistants sociaux du district sanitaire de Divo a eu lieu récemment dans la salle de conférence de la CNPS de Divo, sur la prise en charge du Programme élargi de vaccination (PEV). Financé par le fonds l'Alliance internationale pour la vaccination et les vaccins, ce séminaire, selon Dr Dekoula, directeur départemental de la Santé de Divo, a pour objectifs de parfaire les connaissances en matière de vaccination, favoriser l'acquisition de nouvelles compétences dans la gestion du programme élargi de vaccination et surtout augmenter la couverture vaccinale du district. Avec la tenue de ce séminaire, dit-il, le taux vaccinal du département qui tourne autour de 60 à 80% pourra dépasser les 80%. Les participants au séminaire, au nombre de 37, ont eu droit aux modules suivants: changement de comportement, gestion des vaccins, sécurité des injections et planification des activités du Programme élargi de vaccination. Cette formation sera suivie d'une campagne de vaccination dans le département à l'intention des enfants de 0 à 11 mois et les femmes en âge de procréer. Les vaccins contre la tuberculose, la polio, l'hépatite B et la rougeole sont concernés par cette campagne. SOUMAÏLA BAKAYOKO Correspondant régional
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=26784

Trisomie ou mongolisme : Comment vivre avec une "anomalie génétique" - Le soleil - Sénégal - 12/01/2004
Plus connue sous l'appellation de "mongolisme", qui n'a plus court, le syndrome de Down ou encore Trisomie 21 est une anomalie génétique. Elle est la plus fréquente des incohérences chromosomiques et affecte 1 enfant sur 750 naissances, "quel que soit le groupe ethnique, la race ou la couche sociale". Mais, selon les spécialistes en la matière, "on peut toujours faire quelque chose" concernant l'affection dont l'une des manifestations constantes est le retard intellectuel. Lire la suite

La publicité des centres tradi-praticiens : Quels dangers ? - Digitalcongo - RD Congo - 12/01/2004
Il se passe un fait qui sort quelque peu de l'ordinaire ; c'est la publicité que l'on fait sur les média autour de l'efficacité de tel ou tel autre produit préparé par certains centres des tradi-praticiens. Ces guérisseurs dont l'efficacité des produits n'est pas garantie, se déclarent être spécialistes en plusieurs domaines et prétendent ainsi traiter et guérir plusieurs affections. Il est extrêmement rare de voir des hôpitaux des dispensaires ou des Centres Médicaux lancer des messages publicitaires à travers les médias audiovisuels. Non pas tant parce que dans ce secteur il ne se pose pas un problème d'offre et de la demande mais parce qu'il ne parait pas indiqué, voir décent, de se taper une telle publicité dans nos sociétés. Cela risque même de s'avérer " suspect ". Tel n'est cependant pas le cas de ce que l'on est convenu d'appeler la médecine traditionnelle réalisée par les tradi-praticiens. Ceux-ci, depuis quelque temps, ne se gênent pas à orchestrer des publicités tapageuses sur l'efficacité de leurs thérapeutiques, de leurs potions médicales ou leurs pratiques particulières. C'est un peu à la manière des gourous des églises de réveil qui ne ménagent pas la publicité pour vendre leurs onctions, leurs miracles, leurs prophéties, etc. Ce qui ne se fait pas dans les églises régulières qui utilisent des méthodes plus discrètes pour aguicher leurs ouailles. Ce qui apparaît de plus en pus suspect et dangereux dans les campagnes publicitaires des tradi-praticiens, c'est l'invraisemblances proches des mensonges contenues dans leurs messages. On entend ces spéculateurs claironner leurs capacités à soigner et à guérir toutes les maladies presque à la fois. Ils en débobinent la litanie sans apporter des garanties d'une quelconque maîtrise. Un individu dans ces centres se trouve être spécialiste en morbidités les plus variées : malaria, fièvre typhoïde, diarrhée, choléra, amibes, gastrites. Ils vont jusqu'à des malades aussi délicats que le cancer de la peau, de l'estomac et de la matrice, le goitre, la hernie, la prostate, les maladies cardio-vasculaires et ainsi de suite. La publicité gagne en amplitude lorsque ces tradi-praticiens se vantent de guérir la stérilité et l'impuissance sexuelle sous toutes ses formes de combattre la syphilis, la bléno et le gonocoque. C'est à peine si certains ne vont pas jusqu'à promettre de lutter contre le Vih/Sida. Certes il serait malhonnête de rejeter en bloc l'efficacité éventuelle des traitements prodigués par les tradi-praticiens. Mais il est très dangereux face à une population en gros analphabète et naïve de promettre presque des guérisons miraculeuses, là où, comme pour tous les médecins du monde il y a une bonne part d'incertitude. Il est peu convenable de promettre tambour battant la guérison du goitre par exemple en 30 minutes. La détection des maladies par la salive n'est pas une invention congolaise. Les forces sexuelles ne se retrouvent pas suite à une potion magique. L'Etat doit protéger la population contre les affabulations de ce gens qui sont plus commençants que véritables disciples d'Hippocrate. Liberté
Lire l'article original : http://www.digitalcongo.net/fullstory.php?id=32921

SIRENA-PHARMA-EXPO 2004 : Une édition professionnelle en cours - Sidwaya - Burkina Faso - 12/01/2004
En prélude à la quatrième édition du Salon international des remèdes naturels "SIRENA-PHARMA-EXPO 2004", qui aura lieu du 21 au 27 février 2004, à la Maison du peuple, une conférence de presse s'est tenue à Ouagadougou, à la Direction générale de la pharmacie, du médicament et des laboratoires. Le Comité d'organisation du SIRENA, à travers cette conférence de presse du samedi 10 janvier 2004, lance officiellement les activités de la rencontre. "Rôle et place de la médecine et de la pharmacopée traditionnelle dans la lutte contre les maladies opportunistes du VIH/Sida, en Afrique", c'est sous ce thème que se déroulera la quatrième édition du SIRENA-PHARMA-EXPO 2004. Les exposants viendront d'Asie, d'Amérique, d'Afrique et de l'Europe. Selon le délégué général du SIRENA, M. Kamanga Théophile Ouédraogo, les remèdes naturels contribuent efficacement dans la lutte contre le Sida. En plus, avec les remèdes naturels, les effets secondaires sont moindres contrairement au traitement par les antirétroviraux (ARV). "Les expériences en cours l'ont démontré". Toutefois, il a précisé que les "antirétroviraux traditionnels" ne sont pas encore en vente. Les conditions de participation N'exposera pas à la Maison du peuple qui veut. De l'avis du président des tradipraticiens du Kadiogo, M. Samuel Sawadogo, ce sont uniquement ceux dont les compétences ont été reconnues par l'Association des tradipraticiens du Kadiogo et qui ont également été choisis par leurs communes respectives qui prendront part au Salon. Le SIRENA, regroupe annuellement les tradithérapeutes dans une foire pour leur permettre d'échanger sur leur métier et procurer aux populations des médicaments traditionnels améliorés et à des prix réduits. Au cours de la conférence de presse, M. Kamanga Théophile Ouédraogo a souligné que le SIRENA a grandi et va encore grandir grâce à la formation des tradithérapeutes et l'extension des partenaires. De ce fait, cette édition qui se veut professionnelle, tient à être exceptionnelle sur tous les plans, car elle va au-delà du Burkina. Dans cette logique, la Direction générale de la pharmacie, du médicament et des laboratoires (DGPML) est à la base de l'appui à la valorisation, le contrôle de la qualité des produits et la formation des tradipraticiens. De même, des enquêtes et statistiques seront faits pour regrouper les tradipraticiens par compétence et établir leurs fichiers nationaux. Par ailleurs, l'élaboration de textes en matière de pharmacopée devra permettre de savoir qui est tradipraticien et qui ne l'est pas. D'ores et déjà, de faux tradipraticiens ont été démasqués. Aimée Florentine KABORE kaborette@yahoo.fr
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2004_12_01/sidwaya.htm

Journée africaine de la médecine traditionnelle, hier : Rendre la médecine traditionnelle conventionnelle - Internet Gabon - Gabon - 11/01/2004
Les participants ont souhaité que les deux médecines se respectent mutuellement et oeuvrent en étroite et franche collaboration, à trouver les solutions idoines aux problèmes de la santé du continent. Lire la suite

Objectifs du millénaire en matière de santé : Le Dr Issa Mbaye Samb veut renforcer la prévention - Le soleil - Sénégal - 10/01/2004
"Mon challenge est de faire baisser le niveau de prévalence du Sida au Sénégal. Je serai plus agressif en matière de prévention des maladies, sans négliger le curatif. D'ailleurs, nous sommes en train de relever les plateaux techniques dans les différentes structures de santé au niveau départemental comme régional". C'est, en effet, un ministre, posé et très résolu qui s'exprimait à la suite d'une réunion de haut niveau, co-organisée par l'OMS et la Banque mondiale, les 8 et 9 janvier à Genève, autour des objectifs du millénaire (ODM) en matière de santé. Lire la suite

Sida : quand les chiffres tuent - ID+ - Centrafrique - 09/01/2004
En vingt ans, depuis les premiers cas notifiés en 1984, le Sida en RCA a ravagé insidieusement toutes les couches socio-professionnelles. Les chiffres sont effroyables, l'infection à VIH est un problème extrêmement grave qu'on ne peut résoudre par des solutions simplistes. Lire la suite

UFR des sciences médicales de Bouaké : 43 enseignants pour 203 étudiants - Fraternité Matin - Côte d'Ivoire - 07/01/2004
Doyen, enseignants, chercheurs et étudiants de l'Université de Bouaké étaient réunis le lundi dernier à l'amphithéâtre N°4 aux côtés de leur UFR, "modèle", celle des sciences médicales, de l'avis du président Komenan Landry. Une UFR qui célébrait sa rentrée solennelle loin de sa base et qui organisera les cours dans des salles d'emprunt. Mais le professeur Djahan Yao, directeur de cette unité et Doyen de l'Université de Bouaké et son équipe, loin d'être découragés appréhendent avec optimisme cette rentrée "placée sous les auspices de Dieu". Celui- là même qui a permis à toute la famille de l'Université de Bouaké, forte d'environ 257 membres (étudiants, enseignants et Personnel administratif), de se retrouver à Abidjan sains et saufs. Ainsi, le président, le président d'honneur et le vice-président de l'Université de Bouaké, MM. Komenan Landry, Kouakou N'Guessan François et le Doyen et vice-Doyen chargé de la pédagogie, les Professeurs Djahan Yao et Sanogo N'Dathz Méliane ont tous exprimé leur engagement à continuer aux côtés des enseignants et étudiants. A poursuivre sans matériels didactiques "on a dû fuir Bouaké", a soutenu le professeur Djahan. Du matériel de laboratoires pour plus d'un milliard de nos francs, stocké en attendant la fin des travaux de construction des locaux, a été emporté par la guerre. Ainsi l'UFR des Sciences Médicales de Bouaké qui aurait dû cette année certainement recevoir les deuxième et troisième années, exclut à son corps défendant ces étudiants de son système pédagogique. Aussi à l'UFR des Sciences médicales de Bouaké délocalisée à Abidjan depuis décembre 2002 et squattant certains locaux des UFR Sciences médicales, de Pharmacie et biologie cliniques avec ses 203 étudiants pour 43 enseignants (elle a enregistré l'arrivée de deux nouveaux assistants pour cette rentrée), ne sont admis que les 4, 5, 6, 7ème année et année de thèse. 61 Etudiants en médecine ont soutenu leur thèse de doctorat à l'UFR Sciences Médicales de Bouaké. Notons qu'elle attend du président de l'université de Bouaké le paiement des heures supplémentaires et complémentaires dues aux enseignants, des primes de stages aux étudiants et l'achat de matériel didactique. B.Zéguéla
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=26602

Abengourou : 1634 tuberculeux guéris en cinq ans - Fraternité Matin - Côte d'Ivoire - 07/01/2004
En cinq ans, la direction régionale du centre antituberculeux (CAT) d'Abengourou a enregistré de bons points en matière de traitement de l'infection du bacille de Koch. Sur 2081 cas de tuberculose notifiés de 1996 à 2001, 1634 malades ont été déclarés guéris contre 294 patients portés disparus. Ces résultats pouvaient connaître une amélioration si le CAT d'Abengourou possédait des véhicules adaptés aux pistes sinueuses pour atteindre les villages difficilement accessibles, à la recherche des malades perdus de vue. En outre, la radio de communication qui contribuait pour beaucoup à retrouver les parents réticents vient de tomber en panne. Un obstacle de plus qui a contraint depuis quelque temps, les infirmiers et les agents de santé communautaire à adopter une nouvelle stratégie: l'approche centrée sur le patient tuberculeux. Selon le docteur Touré Karamoko, médecin-chef du CAT, cette nouvelle donne va constituer sûrement une stratégie d'amélioration continue de la qualité des soins et de l'organisation des services de santé dans la région. Le centre antituberculeux d'Abengourou par ailleurs ouvert en 1973 a enregistré la première année 140 malades. Ce chiffre va connaître une progression avec 390 cas dépistés en 1999, contre 361 l'année suivante et 370 en 2001 et 374 en 2003. Le traitement de la tuberculose qui dure aujourd'hui huit mois au lieu de neuf antérieurement, est un protocole de quatre médicaments. Cette modification qui date seulement de février 2003, semble soulager les malades de la tuberculose dont certains arrêtent malheureusement de fréquenter les centres de santé pour plusieurs raisons. TRAORE MOUSSA Correspondant régional
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=26575

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