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L'actualité de la santé tropicale Septembre 2002 | |
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Epidémie de méningite - Les techniciens à la recherche de stratégies adéquates - sidwaya - Burkina Faso - 23/9/02 | ||
Ouagadougou
abrite ce matin deux rencontres d'envergure sur la méningite. La
première est une réunion technique de consultation sur la
stratégie de l'OMS de lutte contre les épidémies
à méningocoque en Afrique et la deuxième est en fait
une réunion statutaire. Il s'agit de la VII réunion du Groupe
international de coordination pour l'approvisionnement en vaccin anti-méningoccocique.
Les deux rencontres concourent au même but : "traquer"
la méningite qui fait chaque année des milliers de morts
en Afrique de l'Ouest. |
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Une mission de sensibilisation, de prévention et de lutte contre le paludisme visite la région de la Likouala - Les dépêches de Brazzaville - Congo - 16/09/02 | ||
Une
mission de sensibilisation, de prévention et de lutte contre le paludisme
visite la région de la Likouala Une délégation du ministère de la Santé, conduite par l'entomologiste Albert Nzoulani, séjourne actuellement dans la région de la Likouala dans le cadre de la campagne de sensibilisation contre le paludisme. Cette mission collecte les larves de moustiques et teste leur sensibilité aux différents insecticides afin d'améliorer l'efficacité des moustiquaires. La délégation doit avoir, par ailleurs, des séances de travail avec le personnel de l'hôpital d'Impfondo, chef lieu de la région, ainsi qu'avec les habitants de la ville pour leur expliquer que la prévention constitue le moyen le plus efficace de lutte contre le paludisme par le biais de l'assainissement et de l'hygiène. Signalons que cette mission bénéficie de l'appui financier du Programme de lutte contre le paludisme au Congo. Lire l'article original : http://www.brazzaville-adiac.com/ |
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Clôture de l'atelier National sur les maladies de l'enfant - Combat contre les grandes tueuses de l'enfance - Internet Gabon - Gabon - 23/9/02 | ||
Cinq
jours de travaux où les projets et programmes sanitaires en faveur
des moins de 5 ans ont été exhumés et examinés.
Au bout du compte, la ferme intention d'intégrer la stratégie
de Prise en charge intégrée des maladies de l'enfant (PCIME)
dans le système sanitaire gabonais avec le concours des partenaires
(OMS, Unicef..). TRANCHE d'âge particulièrement vulnérable aux maladies, les enfants à âgés de 0 à 5 ans étaient au cœur des travaux de l'atelier national d'orientation et de planification de la mise en oeuvre de la stratégie de prise en charge intégrée des maladies de l'enfant (PCIME) organisé à Libreville toute la semaine écoulée. Venus des quatre coins du pays, les participants à cette rencontre, organisée à l'initiative du ministère de la Santé et de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), se sont séparés vendredi non sans avoir posé lus bases des lendemains qui chantent. Des stratégies de lutte ont été élaborées dans l'optique du renforcement de la lutte contre les maladies réputées tueuses d'enfants en Afrique et surtout responsables du taux élevé de la mortalité et de la morbidité dans cette tranche d'âge : diarrhées, rougeole, infections respiratoires aiguës, malnutrition et paludisme. En dépit de certains acquis (existence dans tous les programmes sanitaires d'activités allant dans le sens de la réduction des taux de mortalité et de morbidité des enfants, obtention de résultats concrets pour un certain nombre de projets et programmes tels le PEV, le SNIS, le PNLP, le PNLS...) les participants à l'atelier ont relevé un certain nombre d'écueils et de contraintes à même de peser sur l'efficacité du système national de santé de l'enfance. Ces difficultés ont pour nom : ruptures constantes de médicaments essentiels et des vaccins au sein des formations sanitaires, absence d'une volonté politique, faiblesse quantitative et qualitative des équipes cadres, manque criant de coordination et de synergie entre les différents acteurs, absence de moyens logistiques et financiers nécessaires au suivi des activités... C'est sur la base de ces manquements observés que les participants ont émis des recommandations allant dans le sens de la mise en place de la PCIME au Gabon selon un plan stratégique triennal (2002-2005). A l'endroit des partenaires (OMS, Unicef, essentiellement), les participants ont recommandé d'appuyer le gouvernement gabonais dans ses engagements à mettre en oeuvre la PCIME dans notre pays. Ils les ont également exhortés à aider le gouvernement à mobiliser les ressources et à mettre en œuvre le plan stratégique de la PCIME au Gabon. En direction du gouvernement, il a été demandé de mettre en place, de façon effective, les structures de gestion de la PCIME mais aussi d'assurer, entre autres, la disponibilité permanente des médicaments et dispositifs médicaux essentiels, ainsi que des vaccins, à tous les niveaux de la pyramide sanitaire. En procédant à la clôture officielle des travaux, le directeur général de la Santé, le Pr Pierre-André Kombila, s'est promis de faire un fidèle compte rendu au ministre de la Santé publique qui "fera l'effort nécessaire pour que la stratégie de la PCIME soit effectivement mise en rouvre". Le DG de la Santé en a profité pour réitérer ses remerciements aux principaux partenaires que sont l'OMS et l'Unicef "pour l'appui incessant et multiforme" que ces deux organismes onusiens apportent " o la résolution des problèmes de santé de l'enfant" au Gabon. Trois départements pilotes (Logé, Lombo-Bouenguidi et Ogooué et Lacs) ont été retenu pour l'expérimentation de la stratégie PCIME avant sa généralisation sur l'ensemble du pays. Lire l'article original : http://www.internetgabon.com/gabon/actu/actu_23092002f.htm |
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Journées médicales de Pire - Objectif : un centre de santé modèle- Le soleil - Sénégal - 25/9/02 | ||
Le
président de l'Association "Boolo Liguèye Pire",
le Dr Abdou Bâ, en justifiant l'institution des journées médicales
de Pire, a noté que le "gros village qui compte environ 25.000
habitants ne dispose que d'un poste de Santé avec un infirmier. Pas
de sage-femme. Il se situe à un carrefour stratégique, draine
d'importants événements religieux". Après ce constat,
le Dr Bâ a noté que la ville a donné à la Nation
13 médecins dont 3 professeurs d'université et un maître-assistant.
A population égale, aucune ville sénégalaise n'a produit autant de médecins. Malgré cela, nos parents ne sont pas soignés proportionnellement. Donc, il est de notre responsabilité, nous cadres médicaux de prendre en charge la population avec le concours de l'Association "Boolo Liguèye Pire". "Nous avons démarré une collecte de fonds pour la construction et l'équipement d'un centre de Santé de référence qui coûtera entre 700 et 800 millions. Déjà, 25 millions ont été reçus, venant de cotisations et donations", a-t-il ajouté. D'autre part, le Dr Abdou Bâ a indiqué qu'une première journée de consultation s'était déroulée en avril et elle avait permis de voir 400 personnes, pour 300 ordonnances servies. Revenant aux journées médicales 2002, il a noté qu'elles s'étaleraient aux trois jours et seront animées par une trentaine de médecins, toutes spécialités confondues. "Les consultations seront doublées de la tenue d'ateliers de prévention sur la santé de la reproduction, le paludisme et les maladies cardio-vasculaires. Pendant la deuxième journée, un enseignement post-universitaire sera dispensé et sera suivi de discussions autour de certains sujets d'actualité. Ainsi, le Dr Abdou Bâ parlera de l'hypertension artérielle. Le Dr Ndaraw Ndoye traitera des lombalgies et le Dr Amadou Diaw abordera les maladies gastro-duodénales. "Le but recherché, c'est de délocaliser l'enseignement pour le coup médical et la population. Nous voulons aller du sommet vers la base". Autre projet inscrit sur les tablettes des médecins originaires de Pire, c'est la confection d'un calendrier de passage qui dira avec précision quand ils se rendraient à Pire et prodigueraient des soins dans leur spécialité. Le troisième jour, le ministre de la Santé et de la Prévention présidera la cérémonie de pose de la première pierre du centre de Santé de Pire. Le Dr Abdou Bâ a tenu à remercier leurs partenaires de la ville de Rennes qui aident beaucoup l'association "Boolo Liguèye Pire". SALIOU FATMA LO Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/santeenv/article.CFM?articles__id=18363 |
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Accessibilité aux soins de santé - L'inde offre 15 millions de médicaments - Sud Quotidien - Sénégal - 25/09/02 | ||
Un
lot de médicaments d'une valeur de 15 millions de F Cfa a été
réceptionné hier, vendredi 20 septembre par le ministre
de la Santé et de la Prévention, le Professeur Eva marie
Coll Seck à l'esplanade du Building administratif. Ces médicaments
contenus dans 230 cartons sont un don de l'Inde à mettre sur le
compte de la coopération entre les deux pays. |
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Le diabète : une maladie qui progresse à pas de géant - Walfadjri - Sénégal - 20/09/02 | ||
De
200 cas environ en 1980, le nombre de diabétiques passe aujourd'hui
à 2 000 cas par an. Cette progression est relative à un
dépistage tardif de la maladie. D'où la nécessité
de revenir à un comportement alimentaire plus adéquat. |
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Lutte contre la drogue : "Durcir la législation", selon Latif Gueye - Sud Quotidien - Sénégal - 18/09/02 | ||
L'Institut
Islamique a abrité lundi16 septembre 2002, une conférence
sur le thème: "la drogue dans la société sénégalaise
et ses conséquences sur les enfants". Le thème a été
introduit par son Excellence Abdou Latif Gueye de l'Ong " l'Afrique
Aide l'Afrique " . Les riches échanges qui ont suivi son exposé avec les orphelins, ont démontré leur intérêt au thème choisi. Pendant deux heures d'horloge, un des pionniers de la lutte contre la drogue au Sénégal a partagé ses différentes expériences avec les enfants, en tant que journaliste et responsable de l'Ong Jamra. Après avoir fait la classification des drogues utilisées au Sénégal et dans le monde, le conférencier s'est longuement attardé sur les effets de la drogue sur les jeunes, surtout ceux des bidonvilles. En évoquant les conditions socioculturelles et économiques des drogués sahéliens et des drogués européens, il a permis de mieux faire comprendre les causes du nombre croissant de toxicomanes dans les pays sous-développés. Abdou Latif Guèye a adressé des mises en garde aux jeunes contre les tentations. Parlant de la situation de la drogue au Sénégal, Abdou Latif Guèye a révélé que malgré la farouche lutte contre la drogue accentuée depuis l'avènement de l'alternance, les trafiquantes continuent leur oeuvre macabre. " Les vrais criminels sont encore tapis dans l'ombre. Ils font entrer l'héroïne et la cocaïne dans notre pays. Ce qui est marrant, c'est que leurs femmes et leurs enfants ne consomment pas cette drogue " Le conférencier a proposé "le durcissement de la législation en matière de drogue pour décourager et les dealers " Des prières ont été formulées par les orphelins pour la paix au Sénégal. Lire l'article original : http://www.sudonline.sn/archives/18092002.htm |
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Fausse couche : gare à la malnutrition - Le Phare - R.D. Congo - 17/09/02 | ||
Actuellement
à Kinshasa le taux de fausses couches est en hausse. Plusieurs
femmes sont exposées. Les causes en sont multiples. La crise étant
ce qu'elle est, la femme enceinte ne peut s'alimenter convenablement.
Médicalement, si elle est précoce, la fausse couche est
le plus souvent le résultat d'un processus physiologique naturel
par lequel un embryon présentant une anomalie est éliminé
par l'organisme. Environ deux interruptions précoces de grossesse
sur trois seraient dues à des anomalies chromosomiques de l'embryon.
Les origines des fausses couches tardives sont plus faciles à analyser
: soit le foetus se trouve être le siège d'une infection
ou d'une malformation, soit la mère souffre d'une malformation
utérine, d'un fibrome ou d'une maladie quelconque. Des curetages
ou interruptions volontaires de grossesse mal menés ou trop tardifs
peuvent provoquer une béance du col, alors responsable des accidents.
Une fausse couche peut aussi découler des affections bactériennes
(mycoplasmes), virales (hépatite B, grippe, rubéole, varicelle...),
ou parasitaires (toxo plasmose, parasites tropicaux etc. Il faut également
signaler que des maladies comme le diabète ou l'hypertension, les
dérèglements hormonaux, les gestes chirurgicaux, certains
vaccins ou certains médicaments, la consommation de l'alcool, du
tabac, de drogues, augmentent les risques. |
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Commune de Ouagadougou - Une nouvelle unité d'optique et d'opthtalmologie - sidwaya - Burkina Faso - 23/09/02 | ||
La
ville de Ouagadougou vient de se doter d'un service optique et d'ophtalmologie
de 1re intention au Centre municipal de santé bucco-dentaire. L'inauguration
a eu lieu jeudi 19 septembre 2002 en présence du maire de la ville
de Ouagadougou, Simon Compaoré qui fêtait ce jour son 50e
anniversaire. |
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