Contactez_nous La_santé_tropicale_sur_internet L'actualité de la santé tropicale Octobre 2002
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Les antipaludiques peuvent provoquer l'insuffisance rénale - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 09/10/2002

Le paludisme tue. Les médicaments pour le combattre peuvent eux aussi s'avérer mortels. C'est le profond dilemme qui a marqué le point de presse prononcé la semaine dernière à la Faculté de médecine de l'Université de Cocody par le Pr Henri Dié-Kacou, pharmacologue, membre du groupe de réflexion du centre de recherches et d'études médico-sociales Aventis. Des accidents, dit-il, sont en effet liés aux antipaludiques. Ils peuvent être sanguins, se traduisant par la destruction des globules rouges ou des globules blancs avec pour conséquences une anémie ou une fièvre bilieuse hémoglobinurique. Ils peuvent aussi affecter le foie ou, plus grave encore, conduire à une insuffisance rénale. Lire

Vélingara : Gratuité des consultations et des médicaments en zones cotonnières - Le soleil - Sénégal - 09/10/2002

L'opération-test de médecins en zones cotonnières a connu un franc succès, eu égard aux résultats positifs enregistrés. L'adhésion des populations rurales a été totale. Les cotonculteurs et les agro-pasteurs de Saré Samba Nété ont vivement apprécié cette opération sanitaire initiée par la SODEFITEX. Elles ont souhaité que l'opération se renouvelle pour une bonne couverture sanitaire des ruraux, afin de lutter, entre autres, contre le paludisme par l'usage des moustiquaires imprégnées.
Dégageant le profil de l'opération-test, le Dr Abdoul Kader Touré, médecin d'entreprise SODEFITEX résidant à Tambacounda, a révélé que 8000 personnes des régions de Kaolack, Tamba et Kolda sont déjà consultées, traités et suivies gratuitement jusqu'à guérison totale. A ce propos, le Docteur Touré a précisé que le coût de l'opération-test se chiffre à 5 millions 500.000 F.CFA, avec l'appui du P.D.I.S. (du ministère de la Santé et de la Prévention) au titre des années 2001/2002. Il a souligné que dans la région de Kolda, l'opération-test couvre, cette année, les communautés rurales de Kounkané, Dabo, Pakour et Linkéring. La SODEFITEX a dégagé 2 millions de francs CFA en médicaments essentiels.
Elle compte mettre à la disposition des producteurs de coton 2000 moustiquaires imprégnées payables avec le crédit agricole, en collaboration avec des partenaires comme SIMEX. Le Dr Touré a conclu en exhortant les différents acteurs à redoubler d'efforts pour assurer le suivi régulier de l'opération-test sur le terrain par l'appui des districts sanitaires dans la formation et l'installation des relais en santé communautaire. Il a souligné que la SODEFITEX a déjà créé et équipé 10 cases de santé dans le département de Kédougou.
PAPE ATOUMANE DIOP

Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/santeenv/article.cfm?articles__id=18832

Trafic de médicaments contre le sida destinés à l'Afrique - Le Togolais - Togo - 09/10/2002
La douane belge a découvert un trafic de médicaments qui retardent le développement du sida. Les comprimés destinés à l'Afrique ont été illégalement réimportés en Europe où ils étaient notamment revendus aux Pays-Bas, en Belgique et en Allemagne.
Les médicaments, fabriqués par le groupe pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline étaient initialement destinés au Sénégal, au Togo, au Congo (Brazzaville) et à la Côte d'Ivoire. Ils auraient dû y être disponibles à des prix réduits pour la population locale. Ces médicaments ont toutefois été réembarqués vers l'Europe, où ils ont été vendus entre quatre et six dollars l'unité. Le prix en Afrique était de 80 cents, souligne le "Washington Post".
Ces détournements ont été découverts par un douanier belge, intrigué de trouver des médicaments avec une étiquette en langue française collée sur un texte néerlandais, venant d'Afrique et ayant pour destination les Pays-Bas. Selon le grand quotidien populaire néerlandais, qui cite des sources du service d'inspection du ministère de la santé, 80 % des médicaments réimportés auraient déjà été consommés.
Lire l'article original : http://www.letogolais.com/article.html?nid=354
Faute d'un vaccin, la méningite menace des milliers d'Africains - Le Togolais - Togo - 09/10/2002

Des dizaines de milliers d'Africains risquent de mourir cette année d'une méningite à méningocoque de type W135, dit "de la Mecque", faute d'un vaccin à un prix abordable, selon Médecins sans Frontières (MSF) et l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Cette souche de méningite a été identifiée en Afrique pour la première fois en février au Burkina Faso. Plus de 12 000 personnes ont été contaminées et près de 1500 en sont mortes. Le vaccin généralement utilisé dans la "ceinture méningitique" qui s'étend du Sénégal à l'Éthiopie, protège uniquement des types A et C.
"S'il devait y avoir une épidémie au Nigeria par exemple, nous pourrions être placés devant des centaines de milliers de cas avec un taux de mortalité de 5 à 10%", estime Bernard Morinière, épidémiologiste pour la Croix-Rouge internationale. Pourtant, selon l'OMS, une campagne de vaccination permettrait d'empêcher 70% des nouvelles contaminations.
Médecins sans Frontières, dénonçant l'absence de volonté politique, a appelé les gouvernements et l'OMS à faire pression sur l'industrie pharmaceutique pour qu'elle augmente sa production: MSF estime entre 20 et 50 millions le nombre de doses qui serait nécessaire dans les cinq prochaines années.
Autre cheval de bataille de l'ONG, le coût du vaccin, qui varie actuellement de 4 dollars au Moyen-Orient à 50 dollars aux États-Unis. Selon elle, les deux compagnies qui produisent ce vaccin - la Britannique GlaxoSmithKline et la Française Aventis Pasteur- devraient le proposer à moins de un dollar l'unité.
Des représentants de plusieurs pays, l'OMS, des donateurs et des compagnies pharmaceutiques doivent se réunir pour aborder ce problème la semaine prochaine dans la capitale du Burkina Faso, Ouagadougou.
La méningite tue environ 170 000 personnes par an, la plupart en Afrique.
Lire l'article original : http://www.letogolais.com/article.html?nid=315

Opération de saupoudrage à Thiès : le service d'hygiène mobilise - Le soleil - Sénégal - 08/10/2002

Le service régional de l'Hygiène est sur la brèche, depuis le mois de juin, mettant en place des mécanismes efficaces pour prévenir le paludisme et autres maladies liées à l'eau.
Pendant l'hivernage, de nombreux cas de maladies sont enregistrés au niveau des services sanitaires de la région de Thiès. Pour parer à tout cela, le responsable régional et ses hommes ont très tôt procédé à des actions de sensibilisation par le porte-à-porte, les causeries, avec la participation fort remarquée des associations sportives et culturelles et des groupements de promotion féminine. Il s'était agi, par ailleurs, de mettre l'accent sur l'utilité des moustiquaires imprégnées et sur la nécessité de lutter contre les moustiques, notamment contre l'anophèle, vecteur du paludisme.
Lamine Diawara a affirmé de son côté que les actions de saupoudrage ont été faites sur la quasi-totalité de la région. Il a indiqué qu'à Thiès, les agents ont procédé à la délarvation des caniveaux et de tous les points d'eau susceptibles de constituer des gîtes larvaires. "Nous repasserons de façon continue en y déversant nos produits", a noté le responsable du Service d'hygiène avant d'ajouter "que l'opération de saupoudrage sera reprise pour parer à toute éventualité".
Pour les moustiquaires imprégnées, elles sont livrées en quantité suffisante au niveau des postes de santé. Pas d'inquiétudes sur ce côté. Seulement, il faut que tout le monde y mette du sien. C'est l'avis de M.Diawara qui révèle que cette année, les communes se sont vite manifestées en appuyant les efforts du Service d'hygiène, en plus des moyens mis à leur disposition par l'Etat du Sénégal.
Depuis le mois de juin, ce sont les agents de la brigade régionale qui ont été mis à contribution. "Tout le monde est sur le terrain. Pas de congé, moins encore de permissions si ce n'est un cas de force majeure. Mes agents travaillent jusqu'à quatre heures du matin", a laissé entendre M. Diawara. Aussi, a-t-il rappelé le lancement d'une autre opération de grande envergure après l'hivernage.
Abdourakhamne Sarr Gonzales
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=18790&index__edition=9706

52ème réunion annuelle à Harare des ministres africains de la Santé - Le soleil - Sénégal - 07/10/2002

Les ministres africains de la Santé tiennent la semaine prochaine, à Harare, au Zimbabwe, leur 52e réunion annuelle, alors que leur continent marginalisé se bat contre les graves crises socio-économiques qui exacerbent les problèmes de santé rencontrés par la majorité des 700 millions de personnes vivant sur le continent.
La situation ne pourrait pas être pire pour les pays africains dont les économies demeurent en récession et qui sont déchirés par les conflits politiques, ce qui provoque des milliers de morts, de massifs déplacements de personnes et des catastrophes humanitaires.
Il convient d'y ajouter les plus de 14 millions de personnes qui souffrent de la famine, rien qu'en Afrique australe, tandis que les "maladies du pauvre", notamment le paludisme, la tuberculose et autres affections curables, continuent de ravager les populations sans défense.
Beaucoup a été dit sur le VIH/SIDA qui menace d'anéantir la majeure partie de la force de travail de l'Afrique. Alors que le continent représente quelque 10 % de la population du globe, le fait qu'il renferme 70 % des cas de sida répertoriés dans le monde, soit 28,1 millions de personnes atteintes par cette pandémie, est non seulement déchirant, mais encore une recette qui mène tout droit à la catastrophe.
Le Bureau régional pour l'Afrique de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS/AFRO), basé à Brazzaville, maître d'œuvre de la conférence qui sera chargée, du 8 au 12 octobre, de passer en revue la situation sanitaire sur le continent et d'approuver, entre autres, le budget et les programmes régionaux, n'a jamais eu d'illusions sur l'ampleur de la tâche à laquelle il doit faire face.
Paul Ejime (PANA)
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=18735&index__edition=9705

L'ONG "L'Afrique Aide l'Afrique" au secours du CHU de Fann - Le soleil - Sénégal - 07/10/2002
Le don de l'ONG internationale "L'Afrique Aide l'Afrique" à la Clinique des maladies infectieuses du CHU de Fann a été réceptionné hier, à son siège. Ce don, qui est constitué de médicaments et de matériels, est destiné au renforcement de la prise en charge des maladies infectieuses comme le neuropaludisme, la méningite purulente, le SIDA, les maladies diarrhéiques, etc.
Ce geste de "L'Afrique Aide l'Afrique" s'inscrit dans le cadre de son programme d'appui aux gouvernements africains. Selon M. Omar Samb, représentant de M. Latif Guèye empêché, ce programme réserve une place importante à tout ce qui touche à la santé des populations. "C'est dans cette perspective, a-t-il souligné, que nous avons favorablement accédé à la requête de la Clinique des maladies infectieuses dont tous les besoins exprimés ont été entièrement satisfaits".
Le directeur de cabinet de l'ambassadeur Latif Guèye a ensuite expliqué pourquoi ils n'ont pas hésité une seconde à voler au secours du CHU de Fann. "Si nous avons tenu à financer l'achat de plusieurs tonnes de produits pharmaceutiques et de matériel médical au profit de cette clinique, c'est principalement en raison des lourdes charges supportées par cette institution à vocation sous régionale, puisque 20 % des malades hospitalisés viennent de la sous-région ouest-africaine".
De son côté, le professeur Salif Sow du CHU de Fann et par ailleurs représentant du Ministre de la Santé et de la Prévention, a salué ce geste de haute portée. Pour lui, la Clinique Ibrahima Mar Diop de Fann mérite bien cette attention puisque, selon lui, "c'est un service national de référence pour la prise en charge des malades toutes pathologies infectieuses confondues".
Par rapport au nombre de patients qui y sont accueillis, le professeur Salif Sow a révélé qu'environ, chaque année, "nous hospitalisons 1.000 à 1.500 malades et nous recevons en consultation externe plus de 10.000 malades qui viennent du Sénégal et de la sous-région". Pour terminer, il a indiqué que ce lot de médicaments et de matériels leur permettra de renforcer les actions de l'Etat qui, selon lui, ne peut pas tout faire.
Joseph Sene
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=18737&index__edition=9705
Une faible prévalence du VIH/Sida au Mali : un acquis et un défi - Le soleil - Sénégal - 07/10/2002

Au Mali, le taux de prévalence du VIH/Sida dans la population générale est de 1,7 % contre 1,4 % au Sénégal. Ces deux voisins sont des pays de basse prévalence où, pourtant, contrairement à une idée répandue, les efforts doivent être accentués pour contenir la maladie. Ce qui s'est passé en Afrique orientale et australe montre bien qu'un pays de basse prévalence peut, si les campagnes de prévention et la prise en charge des personnes infectées par le VIH et des malades du Sida perdent en ampleur et en efficacité, basculer, en quelques années, dans le camp des zones de prévalences élevées. C'est ainsi, par exemple, que la prévalence, qui était de 1 % en Afrique du Sud en 1990, tourne, aujourd'hui, autour de 20 %. La communauté internationale reconnaît désormais que : " plus le passage à l'action tarde, plus il est difficile de modifier le cours de l'épidémie ". Le mois de décembre est dédié, au Mali, à la lutte contre le VIH/Sida. Le Groupe Pivot Santé/Population, un consortium d'ONG maliennes intervenant dans le domaine de la Santé, avait organisé, l'année dernière, à Bamako, une soirée de gala destinée à soutenir les personnes vivant avec le VIH. Placée sous le leadership du Groupe Pivot Santé/Population, cette activité avait été menée en collaboration avec le ministère de la Santé (PNLS), les Associations de Personnes Vivant avec le VIH (PVVIH), le Centre d'Ecoute de Soins d'Animation et de Conseils (CESAC) et le Centre National d'Information et de Communication pour la Santé (CNIECS).
E. Bachir Sow
Lire l'article original :
http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=18733&index__edition=9705

Un réseau africain salue le décryptage du génome de l'anophèle - Le soleil - Sénégal - 05/10/2002
Le Réseau africain du paludisme (AMANET) a clôturé, jeudi à Libreville, un atelier sur l'éthique et les bonnes pratiques cliniques en recherches médicales en saluant le décryptage du génome de l'anophèle responsable du paludisme. "C'est une avancée significative pour comprendre la maladie et au niveau du parasite qu'est l'anophèle (le moustique femelle)", a souligné le Dr Francine Ntoumi, représentante du président de l'African Malaria Network Trust (AMANET).
Pour les biologistes, cette découverte va servir dans les futures recherches, notamment dans la biologie moléculaire, domaine dans lequel l'inhibition de certains gènes pourra rendre le moustique, agent vecteur du paludisme, moins infectant, a estimé le Dr Ntoumi.
Selon un communiqué de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le génome du moustique responsable du paludisme a été décrypté par un groupe international de chercheurs. Ce décryptage "perce enfin les mystères" d'une maladie qui affecte environ 300 millions de personnes par an dans le monde et tue plus d'un million chaque année, souligne le communiqué de l'OMS.
L'Afrique est parmi les importantes zones endémiques du paludisme. Sur un million de décès dus à cette maladie dans le monde, 90 % surviennent en Afrique, principalement chez les enfants de moins de cinq ans, indiquent les statistiques de l'OMS.
Sur le plan financier, les pertes du PIB dues au paludisme dans le continent noir sont estimées par l'OMS à plus de 12 milliards de dollars, alors qu'une fraction de cette somme suffit pour le maîtriser, souligne le représentant de l'OMS au Gabon, le Dr Alain Christophe Brun. Le réseau AMANET dont le siège est basé à Dar Es-Salaam, en Tanzanie, œuvre pour le renforcement des capacités des chercheurs africains en matière de paludisme.
C'est à ce titre que le Dr Francine Ntoumi a rappelé, à l'occasion de la cérémonie de clôture de l'atelier sur l'éthique et les bonnes pratiques cliniques en recherches médicales, la nécessité pour les Etats africains de développer la recherche locale qu'AMANET juge "plus adaptée aux besoins de la population et aux réalités du terrain".
(PANA)
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=18708&index__edition=9704
Le Centre de Santé Jeannel Vialle, à Brazzaville, entrera prochainement en service - Les dépêches de Brazzaville - Congo - 04/10/2002

Le Centre de santé Jeanne Vialle, à Brazzaville, entrera prochainement en service
L'administrateur-maire délégué de l'arrondissement 5 Ouenzé de Brazzaville, Albert Léyono, a visité aujourd'hui le nouveau bâtiment qui abritera le Centre de santé Jeanne Vialle dont l'inauguration est prévue pour les tout prochains jours.
Le maire, qui était accompagné du directeur régional de la Santé de Brazzaville, le Dr Michel Ekaba Mboko, a saisi l'occasion pour metre en garde les habitants de l'arrondissement qui occupent de façon anarchique les abords de l'hôpital en y installant des conteneurs. Il a précisé que le commandant Gérard Békalé, nouveau commissaire de police de l'arrondissement, a été chargé de mettre un terme à ce désordre.
Lire l'article original : http://www.brazzaville-adiac.com/

Bientôt un Comité National de lutte contre le SIDA en Mauritanie - Le soleil - Sénégal - 03/10/2002
Nouakchott - Le gouvernement mauritanien a examiné et adopté mercredi un projet de décret portant mise en place d'un Comité national de lutte contre le VIH/SIDA, a révélé dans la soirée le ministre de la Communication, Cheiyakh Ould Ely.
Commentant devant la presse les travaux du conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement mauritanien a indiqué que cette nouvelle structure aura, entre autres prérogatives, la charge "d'adopter les politiques et les axes stratégiques tout en mobilisant les ressources nécessaires à la lutte contre le VIH/SIDA et les maladies sexuellement transmissibles".
Il a également fait savoir que le comité, qui sera présidé par le Premier ministre, travaillera en collaboration avec plusieurs partenaires au développement, parmi lesquels la Banque mondiale, dans le cadre de son programme multisectoriel de lutte contre le SIDA.
La mise en place de ce comité est une recommandation issue d'un atelier national de validation du cadre stratégique de lutte contre le SIDA maladie, organisé les 18 et 19 août dernier.
(PANA)

Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=18650&index__edition=9703
Des ophtalmologues français pratiquent une série d'opérations de la cataracte au CHU de Brazzaville - Les dépêches de Brazzaville - Congo - 03/10/2002
Des ophtalmologues français pratiquent une série d'opérations de la cataracte au CHU de Brazzaville
La campagne a débuté hier au Centre hospitalier universitaire de Brazzaville. Menée par des médecins français spécialistes en ophtalmologie elle s'inscrit dans le cadre d'une mission humanitaire montée par l'Ong française Hôpital-Assistance.
La mission durera quatre jours et dans la journée d'hier six malades ont été opérés.
Lire l'article original : http://www.brazzaville-adiac.com/
Lutte contre la VIH/SIDA au Burkina Faso : le combat des personnes infectées pour la vie - Le soleil - Sénégal - 03/10/2002
Au Burkina Faso, le taux de prévalence du VIH/SIDA dans la population générale était de 7,17 %, en 1997, contre 1, 4 % au Sénégal, en 2001. En l'an 2000, le nombre de Burkinabè infectés par le VIH dépasse les 660.000. Jusqu'en 1999, le nombre cumulé des décès dus au SIDA est estimé à environ 50.000. Chaque jour, au moins 200 personnes sont infectées par le VIH et plus de 50 décèdent du SIDA. La voie sexuelle s'avère le mode de transmission prédominant. Environ 85 % des personnes contaminées l'ont été par contact sexuel. Lire
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