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Chronique - Hôpitaux : se soigner..... les pieds devant - Sud Quotidien - Sénégal - 30/10/2002
C'est avec nonchalance et dépit mal contenus que le médecin vous prescrit une ordonnance qui risque de vous transformer la minute d'après en nouveau mendiant dont la seule faute est de vouloir vivre en bonne santé. " Thiat mo gaaw ! ". Ce sera immanquablement une ardoise que vous vous coltinerez toute votre vie active avec des rues interdites à votre liberté de circulation ou -Ô désespoir- une discrète incursion à Keur Seugn-bi où les caisses de médicaments flambant neuf sont écoulées pour deux fois rien dans un réseau bien huilé. " Bi mba béé-rekk ! ". Lire
Le paludisme, premier motif de consultation - Sud Quotidien - Sénégal - 30/10/2002
Selon les statistiques fournies par les autorités médicales de la région de Ziguinchor, quelque 98.375 malades ont été recensés dans les différentes structures sanitaires au cours du premier semestre de l'année 2002. Parmi ceux-ci, on élève une très forte population de malades souffrant de paludisme. Les statistiques disponibles révèlent en effet qu'au cours de la même période, plus de 25.066 cas de paludisme ont été enregistrés dans la région. Le département de Ziguinchor recèle le plus grand nombre de cas de paludisme avec 11.167 malades contre 9807 pour celui de Bignona et 4092 pour Oussouye.
De l'avis des autorités médicales, ces statistiques sont assez révélatrices de la forte prévalence du paludisme dans la région de Ziguinchor. Cela d'autant que pour toutes les affections relevées dans le 1er semestre de l'année, c'est le paludisme qui arrive de loin en tête avec un taux de 25 % contre 4 % pour les maladies diarrhéiques et 0,6 % pour les infections respiratoires aiguës. " Le paludisme demeure le premier motif de consultations dans toute la région. Car en prenant seulement l' exemple du district de Ziguinchor, on se rend compte que sur les 3.970 malades recensés entre janvier et juin 2002, les 11.167 souffraient de paludisme ", a révélé la directrice du programme d'éducation pour la santé, Mme Diabang née Coumba Cissokho.

Chiffres à l'appui, elle fait remarquer que le paludisme est une maladie endémique qui demeure la première cause de mortalité dans la région de Ziguinchor. Les statistiques montrent en effet que sur 100 cas de décès relevés au niveau de la région, les 30 sont dus au paludisme qui faut ses effets les plus dévastateurs chez les enfants et les femmes enceintes qui sont les plus vulnérables.
Tirant les leçons de ce tableau sombre concernant la prévalence de la maladie à l'échelle régionale, les autorités médicales préconisent une large campagne de sensibilisation afin d'amener les populations à un changement de comportements. Cette sensibilisation devrait selon elle, amener les populations à faire usage de la moustiquaire imprégnée mais aussi à éviter l'auto-médication. D'autant plus que selon la directrice de l'Eps, " au lieu d'amener les patients vers les structures sanitaires dès l'apparition des premiers signes, les parents préfèrent d'abord les traiter traditionnellement. Et ce n'est que très tard, quand ils sont désespérés qu'ils nous les amènent ".
C'est ce qui explique selon elle, les nombreux cas de décès relevés çà et là dans la région. " Quant un enfant est malade, les parents songent aussitôt à la fièvre jaune. Au lieu de l'amener à l'hôpital, ils préfèrent faire de l'automédication laissant les cas se compliquer ", se désole t-elle en appelant les populations à changer leurs habitudes afin de réduire la progression de la maladie.

Landing DIEME

Lire l'article original : http://www.sudonline.sn/archives/30102002.htm
Fièvre jaune : la riposte s'organise à Fatick - Le soleil - Sénégal - 29/10/2002

L'épidémie de la fièvre jaune n'a pas épargné la région de Fatick où il a été relevé 13 cas suspects et 2 cas confirmés. Selon le médecin chef de la région médicale, Amath Mbaye, ces cas ont été signalés dans les postes de santé frontaliers avec la région de Diourbel. Il a précisé que les 2 cas confirmés ont été enregistrés dans le district de Gossas. "Pour l'heure, nous avons mis en place un système de surveillance épidémiologique appelé surveillance active dans les deux districts de Fatick et de Gossas avec une attention particulière pour les zones frontalières et une notification journalière", a-t-il ajouté. Dans la même lancée, M. Mbaye a noté que le plan de riposte à l'épidémie qui a été élaboré s'articule autour de trois points majeurs. Il s'agit de la vaccination de masse qui a démarré hier, la mobilisation sociale avec des activités de sensibilisation de masse (des causeries sur l'hygiène et l'assainissement, le renforcement de l'utilisation des moustiquaires). Le troisième axe est la désinsectisation avec une action de poudrage dans les zones suspectes. De plus, soutient le médecin chef, une équipe de coordination est mise en place. Celle-ci comprend la région médicale et les différents médecins de districts qui se réunissent chaque jour pour faire le point de la situation et gérer les informations. Pour la campagne de vaccination, la région a reçu près de 400.000 doses de vaccins qui, pour l'instant, ont été mises à la disposition des districts de Fatick et de Gossas. De l'avis du médecin chef, tous les agents d'hygiène des sous-brigades de Dioffior, Foundiougne, Sokone et Guinguinéo ont été mobilisés pour renforcer les équipes de Fatick et de Gossas. Il a ajouté que cette campagne durera une dizaine de jours ; elle touchera tout le monde sauf les enfants âgés de moins de 6 mois et les femmes enceintes. M. Amath Mbaye s'est, par ailleurs, réjoui de la bonne mobilisation des populations aux différents points de vaccination dans la journée d'hier. Il a aussi révélé que les autorités administratives et locales ainsi que les chefs religieux ont été contactés pour poursuivre la sensibilisation.
OUMAR NGATTY BA
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=19476&index__edition=9724

Santé/initiative : Faire reculer le paludisme (FRP) en Afrique Centrale - L'Union - Gabon - 29/10/2002
Libreville pour harmoniser et synchroniser les actions
Des délégués venus de huit pays du bloc épidémiologique de la sous-région confrontent, depuis hier, leurs expériences respectives, à la faveur de la première réunion de revue et de planification des activités, convoquée par l'OMS Afrique.
LES experts de huit pays de la sous-région d'Afrique centrale (Gabon, République démocratique du Congo, Congo, Cameroun, Guinée Equatoriale, Sao-Tomé et Principe, Tchad et République centrafricaine) prennent part, depuis hier, à Libreville à la première réunion de revue et de planification des activités de l'initiative "Faire reculer le paludisme (FRP)" du bloc épidémiologique d'Afrique centrale. Lire
Mauritanie - Dracunculose - AMI- Mauritanie - 29/10/2002

Nouakchott, 29 Oct (AMI) - La 8ème revue annuelle des programmes nationaux d'éradication du ver de Guinée dans les pays endémiques s'est ouverte lundi à Nouakchott.
La rencontre regroupe pendant trois jours des représentants des 8 pays qui participent à la revue que sont la Mauritanie, le Mali, le Sénégal, le Burkina Faso, le Togo, le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Niger, la République Centrafricaine en plus de ceux d'organisations et institutions impliquées dans la lutte contre le ver de Guinée.
Elle a pour objectif de faire le point sur l'état d'avancement des programmes d'identifier et d'examiner les difficultés et les contraintes rencontrées au titre de l'année 2002 et de formuler les recommandations pour accélérer le processus d'interruption de la transmission de la dracunculose.

Ouvrant la revue, le Dr Dah Ould Cheikh secrétaire général du ministère de la Santé et des Affaires Sociales a, d'emblée, souhaité la bienvenue aux participants et a indiqué que notre pays se sent aujourd'hui honoré d'avoir été choisi pour abriter les travaux de cette rencontre. Il a ajouté que " la réunion de Nouakchott sera l'occasion d'examiner les progrès réalisés depuis l'année dernière, d'évaluer le niveau de mise en œuvre des recommandations de Cotonou, d'identifier les contraintes techniques, financières et autres.
Ces objectifs seront à même d'aider à mieux formuler les recommandations, plans d'action et stratégies de lutte contre le ver de Guinée pour l'année 2003, à l'échelle de notre sous-région, a-t-il dit.

S'adressant aux participants, le secrétaire général a dit : " je puis vous assurer qu'au cours des deux années à venir, une attention particulière sera accordée aux localités ayant notifié au moins un cas ainsi que les cas importés. La stratégie d'isolement, la promotion de la filtration des eaux de boisson, la sensibilisation, l'information et l'éducation des populations sur le mode de transmission de la maladie, le traitement à l'abat des points d'eau qualifiables, la réalisation de forages et de puits pastoraux, seront poursuivis et intensifiés dans les localités endémiques avec un accent particulier sur les campements et hameaux des zones reculées où subsiste la maladie".
Le Dr Dah Ould Cheikh a indiqué que l'ensemble de ses mesures prises par la Mauritanie pour éradiquer cette maladie témoigne de l'intérêt qu'accorde le Président de la République, Monsieur Maaouya Ould Sid'Ahmed Taya, à l'amélioration permanente de l'état de santé de nos populations, intérêt qui a été clairement exprimé dans le programme du gouvernement du Premier ministre, Monsieur Cheikh El Avia Ould Mohamed Khouna.
Pour sa part, le représentant de " Global 2000 Center Carter " a souhaité la bienvenue aux participants et remercié la Mauritanie pour la parfaite organisation de cette rencontre régionale et des progrès réalisés en matière d'éradication du ver de Guinée.

Quant au représentant du groupe intersectoriel du Mali, il a lu le discours du président malien Monsieur Amadou Toumani Touré, président du groupe. Dans ce message, le président malien exprime son attachement à la lutte contre le ver de Guinée.
Il a également adressé ses salutations au Président de la République, au peuple et au gouvernement mauritaniens.
Notons que notre pays comptait jusqu'au 30 septembre 2002, 31 cas de ver de Guinée dans 7 localités du pays.
AMI
Lire l'article original : http://www.mauritania.mr/ami/fr/defaultfr.htm

VIH/SIDA : SFPS Ministère de la Santé : on prépare la relève - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 29/10/2002

Depuis hier, et ce jusqu'à demain après-midi, se tient à l'Hôtel Ivoire, à Abidjan, un atelier d'élaboration du plan pays pour l'année fiscale 2003 en matière de lutte contre le Sida. Organisé par le projet Santé familiale et prévention du Sida-Côte d'Ivoire (SFPS-CI), cet atelier vise deux objectifs principaux : partager avec tous les participants les interventions du projet SFPS prévues pour l'année 2003 et discuter des modalités de mise en œuvre des activités en 2003 et de la dévolution. La mise en œuvre de cette dévolution est la question centrale qui va meubler les travaux.
Le projet SFPS, ouvert en 1996 par un consortium de cinq agences américaines (JHPIEGO, PSI, JHU/CCP, FHI et l'Université de Tulane), est en effet en sa dernière année d'existence. Il fermera ses portes le 30 septembre prochain. La gestion de ses acquis devant revenir alors à la partie ivoirienne, la dévolution qui se définit comme le transfert de la responsabilité au partenaire bénéficiaire de l'assistance se présente comme la question principale des travaux de cet atelier. On comprend mieux sans doute que le ministre de la Solidarité, de la Santé et de la Sécurité sociale, Mme Ohouochi Clotilde, ait tenu à présider en personne la cérémonie d'ouverture, hier matin, en compagnie du ministre délégué chargé de la Santé, M. Kadjo Richard, et de l'ambassadeur des Etats-Unis en Côte d'Ivoire, SE Mme Harlen Rainder. L'USAID, principal bailleur de fonds du SFPS, était représenté par M. Georges Taki.

Dans leurs interventions, M. Georges Taki d'abord, puis Mme Harlen Rainder et enfin Mme Ohouochi Clotilde, se sont tous félicités de la tenue de cet atelier à Abidjan en ce moment difficile. Cela témoigne, ont-ils convenu les uns après les autres, d'une confiance demeurée intacte en ce pays.
Les acquis du SFPS en Côte d'Ivoire sont disséminés sur 26 sites répartis sur toute l'étendue du territoire national, depuis Noé (à la frontière avec le Ghana) jusqu'à Niellé (au nord du pays) en passant par Abidjan, Bouaké et Zuénoula. Ces acquis disséminés à travers divers ateliers nationaux et régionaux à travers aussi un forum régional sur l'enseignement de la SR dans les écoles et facultés de formation de base et la documentation, les résultats et leçons apprises, devront pouvoir être mis à la disposition du ministère de la Santé après septembre 2003, et diffusés par celui-ci.

Près de 80 personnes dont des représentants de la Présidence de la République, des ministères et d'ONG impliquées dans la lutte contre le Sida et des partenaires au développement prennent part à cet atelier dont les travaux, demain matin, accorderont une place à un sujet d'actualité brûlante : " VIH/SIDA et populations déplacées : quelles implications pour les activités SFPS en Côte d'Ivoire ? ". Pays le plus touché par la pandémie du Sida en Afrique de l'Ouest, la Côte d'Ivoire court un réel péril avec la crise militaro-politique qui la déchire depuis le 19 septembre, avec son cortège de jeunes gens et jeunes filles déplacés et vulnérabilisés.

ELVIS KODJO
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=14788

Lutte contre le SIDA : la Présidente de la Fondation Congo Assistance et le Ministre de la santé se concertent - Les dépêches de Brazzaville - Congo - 28/10/2002

Le ministre de la Santé, Alain Moka, a été reçu vendredi par l'épouse du chef de l'Etat, Antoinette Sassou Nguesso. Au cours de cet entretien ont été passés en revue les problèmes essentiels de la santé, en particulier ceux qui concernent la lutte contre la pandémie du sida, la vaccination et les problèmes de la maternité.
Après que le ministre de la Santé ait fait le point sur la situation des différentes structures sanitaires, hôpitaux et dispensaires, du pays l'épouse du chef de l'Etat, parlant en sa qualité de présidente de la Fondation Congo Assistance, a réaffirmé la volonté de son association de poursuivre et d'élargir le projet de prévention de la transmission du VIH/SIDA de la mère à l'enfant par la distribution de Viramune aux femmes enceintes. Antoinette Sassou guesso a, par ailleurs, annoncé l'organisation prochaine d'une réunion avec les partenaires financiers dont le but sera de chercher des subventions pour aider et financer les opérations de dépistage et de prévention du sida dans le couple mère-enfant.
Alain Moka, parlant au nom de l'équipe gouvernementale, a remercié la présidente de la Fondation Congo Assistance de sa participation active aux Journées nationales de vaccination synchronisée qui se sont déroulées avec succès sur l'ensemble du territoire congolais.
Rappelons que la présidente de la Fondation Congo Assistance parraine le projet de prévention de la transmission du VIH/SIDA de la mère à l'enfant.

19ème Congrès annuel de la Société Sénégalaise d'anesthésie et de réanimation - Le soleil - Sénégal - 29/10/2002

C'est ce matin, au CICES de Dakar, que s'ouvre le 19e Congrès annuel de la société sénégalaise d'anesthésie et de réanimation et de médecine d'urgence (SOSEAR) sous la présidence du ministre de la Santé et de la Prévention. Organisé sous l'égide de la Société africaine d'anesthésie-réanimation et de médecine d'urgence de l'Afrique Noire Francophone (SARANF), le congrès dont les travaux seront clôturés jeudi permettra aux spécialistes d'échanger sur les questions relatives à l'anesthésie-réanimation en traumatologie, l'anesthésie-réanimation en chirurgie pédiatrique, etc.
Cette rencontre sera également l'occasion pour les congressistes de débattre de la prévention de la mortalité maternelle qui est un véritable problème de santé publique dans les pays en développement où le nombre de femmes qui perdent la vie en donnant la vie est encore très élevé. Les spécialistes impliqués au premier chef par la prise en charge des urgences obstétricales à savoir les anesthésistes-réanimateurs et les obstétriciens réfléchiront sur les voies et moyens pouvant aider à réduire le taux de mortalité qui est de 510 décès maternels pour 100000 naissances vivantes au Sénégal.
SAËR GUEYE
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=19477&index__edition=9724

Une mission de l'Institut des Spécialités médicales à Nouadhibou pour des interventions chirurgicales - AMI - Mauritanie - 27/10/2002

Nouadhibou, 27 Oct (AMI) - Une mission de l'Institut National des Spécialités Médicales (INSM), dirigée par le Pr. Sid'Ahmed Ould Mogueya a effectué des opérations chirurgicales dans l'hôpital municipal de Nouadhibou dans la semaine du 17 au 10 octobre courant.
Cinquante interventions chirurgicales ont été effectué à ce jour dont une majorité au profit des patients qui devait voyager à Nouakchott pour subir des opérations délicates et coûteuses.
La présente mission entre dans le cadre des orientations du président de la République, Monsieur Maaouya Ould Sid'Ahmed Taya, visant à rapprocher les prestations sanitaires des populations dans leurs terroirs.
AMI
Lire l'article original : http://www.mauritania.mr/ami/fr/defaultfr.htm

Clôture à Atar d'un atelier de planification sanitaire - AMI - Mauritanie - 27/10/2002

Atar, 27 Oct (AMI) - Un atelier de planification, regroupant les wilayas du Nord, de Nouakchott, du Trarza et du Brakna a été clôturé jeudi à Atar après trois jours de débats et de discussions sur les activités planifiées pour les années 2002-2004.
Regroupant les directeurs centraux, les coordinateurs des programmes de santé et les délégués régionaux pour la promotion sanitaire et sociale, ainsi que les partenaires au développement l'atelier fait suite à un autre tenu à Kiffa au profit des wilaya de l'Est, du Sud et du Centre, vise l'adoption des plans bi-annuels régionaux.
Ces deux rencontres, traduisent la volonté du département d'identifier à temps et de planifier les besoins suivant une approche concertée avec les partenaires.
Ce processus de planification avait débuté en août dernier au niveau de la chaque wilaya en présence des partenaires et ONGs locaux.
La cérémonie de clôture de l'atelier a été présidée par le conseiller technique du ministre de la Santé et des Affaires Sociales.
AMI
Lire l'article original : http://www.mauritania.mr/ami/fr/defaultfr.htm

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