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Depuis 2000, les efforts déployés pour lutter contre le paludisme ont permis d'éviter 2,2 milliards de cas et 12,7 millions de décès dans le monde. En plus de diverses interventions ciblées, d'autres facteurs tels que les améliorations des conditions socioéconomiques, ainsi que dans les domaines de la nutrition, des infrastructures, de l'habitat et de l'urbanisation ont vraisemblablement aidé à réduire la transmission et le poids du paludisme.
Des progrès ont été enregistrés dans de nombreux pays, l'OMS a certifié 44 pays et 1 territoire exempts de paludisme, y compris très récemment l'Égypte et certains pays à charge palustre élevée réalisent également des progrès remarquables :
Dans la région Afrique de l'OMS, le Rwanda a réduit de 85 % son nombre de cas de paludisme entre 2019 et 2023, passant de 4,9 millions de cas estimés à 749 000, alors que le Libéria a enregistré une diminution de 44 % de son nombre de cas depuis 2017, soit une baisse de 1,8 million à 1 million. Dans la région Asie du Sud Est, l'Inde a réduit son nombre de cas de 69 %, avec 6,4 millions de cas en 2017 contre 2 millions en 2023.
En 2023, le nombre des nouveaux cas de paludisme estimés a atteint à 263 millions dans 83 pays à travers le monde, contre 252 millions en 2022 et 226 millions en 2015. Entre 2022 et 2023, l'Éthiopie (+4,5 millions), Madagascar (+2,7 millions), le Pakistan (+1,6 million), le Nigéria (+1,4 million) et la République démocratique du Congo (+600 000) sont les pays qui ont le plus largement contribué à cette hausse. L'incidence du paludisme, qui est liée à la croissance démographique, a augmenté durant la période 2015–2023, passant de 58 à 60,4 cas pour 1 000 habitants exposés au risque de paludisme.
Le nombre total de décès dus au paludisme dans le monde s'est élevé à 597 000 en 2023 contre 578 000 en 2015. En 2020, les perturbations causées par la pandémie de COVID-19 ont entraîné une forte hausse des décès associés au paludisme, avec 55 000 morts supplémentaires. Le nombre total de décès a réduit progressivement durant les années postCOVID, tout comme le taux de mortalité.
La région Afrique paye toujours le plus lourd tribut, cumulant à elle seule 94 % du nombre total des cas et 95 % des décès associés au paludisme au niveau mondial selon les estimations de 2023. Un peu plus de la moitié de ces décès ont été enregistrés dans quatre pays : Niger (5,9%), Nigéria (30,9%), République démocratique du Congo (11,3%) et République-Unie de Tanzanie (4,3%).
Près des deux tiers des nombres de cas de paludisme et de décès associés au niveau mondial sont concentrés dans 11 pays d'Afrique : Burkina Faso, Cameroun, Ghana, Mali, Mozambique, Niger, Nigéria, Ouganda, Soudan, République démocratique du Congo et République-Unie de Tanzanie. Ces 11 pays ont adopté l'approche « D'une charge élevée à un fort impact » (HBHI), une riposte ciblée ayant pour objet d'atteindre les populations exposées au risque de paludisme le plus élevé grâce à des ensembles d'interventions adaptés sur mesure, tenant compte des données locales et des conditions spécifiques.
L'incidence de la maladie (cas pour 1 000 habitants exposés au risque de paludisme) et les taux de mortalité (décès pour 100 000 habitants exposés au risque de paludisme) dans les 11 pays HBHI ont respectivement reculé de 3 % et 13 % entre 2017 et 2023.
De 2015 à 2023, la région Afrique dans son ensemble a réussi à réduire de 5 % l'incidence de la maladie et de 16 % les taux de mortalité. Toutefois, les chiffres de 2023 pour ces deux indicateurs équivalaient encore à plus du double des cibles fixées par la Stratégie mondiale.
Au lendemain de la pandémie de COVID-19, les pays d'endémie palustre font face à des défis persistants. La fragilité des systèmes de santé, l'insuffisance de la surveillance et le manque chronique de fonds demeurent des obstacles majeurs.
Le rapport 2024 met en avant les tendances positives enregistrées concernant l'intensification des outils de prévention efficaces, notamment les moustiquaires de nouvelle génération, les vaccins contre le paludisme et la chimioprévention du paludisme saisonnier.
L'atteinte des objectifs fixés au niveau mondial contre le paludisme nécessitera une accélération des mesures d'urgence, surtout dans les pays d'Afrique les plus durement touchés. Les pays d'endémie palustre devraient être soutenus par un écosystème efficace de partenaires internationaux. Le cadre du « Big Push » a pour but de redynamiser la lutte contre le paludisme au niveau mondial en faisant davantage converger le soutien international vers les besoins spécifiques des pays affectés.
Pour la première fois cette année, le rapport sur le paludisme dans le monde comporte un chapitre exclusivement consacré au besoin d'une riposte plus efficace et plus inclusive, mettant l'accent sur l'action auprès des groupes les plus vulnérables face au paludisme et à ses conséquences. Accélérer les progrès en vue d'atteindre les objectifs fixés au niveau mondial exigera une plus grande concertation afin d'identifier et de franchir les obstacles à l'égalité des genres, aux droits humains et à l'équité en santé dans le cadre de la lutte contre le paludisme dans le monde.
Les informations présentées ci-dessus sont extraites de ce document que nous vous invitons à consulter dans son intégralité : Dossier d'information - Principaux messages - Rapport 2024 sur le paludisme dans le monde - 11 décembre 2024 - OMS
La caféine, non seulement améliore, mais aussi prolonge l'activité antalgique du paracétamol2
Cette association est également efficace pour contrôler la douleur post-opératoire, en particulier chez les patients souffrant d'ulcères gastriques ou à tendance hémorragique (dans ces cas, le paracétamol est moins dangereux et donc plus indiqué que l'ibuprofène)3
1 ou comprimés par dose, selon l'intensité de la douleur.
A renouveler, si nécessaire, après un intervalle d'au moins 4 à 6 heures.
Ne pas dépasser 3 g par 24h sans avis médical.
Plus d'informations sur Strimol Extra®
Références :
Plus d'informations sur la gamme Combiart®
Plus d'informations sur Camvit Plus® gélules
Strimol extra® comprimé.
Chaque comprimé contient :
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
Comprimés blancs à blanc cassé, circulaires, plats, à bords biseautés, avec STRIMOL EXTRA en creux sur une face et en clair sur l'autre.
Contient du paracétamol, qui est un analgésique et un antipyrétique, et de la caféine, un adjuvant de l'effet analgésique du paracétamol.
Traitement symptomatique des douleurs légères à modérées et soulagement de la fièvre, y compris :
Rhume et grippe
Pour le soulagement des symptômes du rhume et de la grippe, par exemple maux de tête, fièvre, maux de gorge, douleurs musculaires, réduction de la vigilance et somnolence.
1 à 2 comprimés à laisser dissoudre dans l'eau avant de boire. Cette dose peut être répétée toutes les quatre heures si nécessaire. Maximum quatre doses en 24 heures. Ne pas dépasser la dose indiquée.
Strimol extra n'est pas recommandé pour les enfants de moins de 12 ans.
Les patients chez qui une insuffisance rénale a été diagnostiquée doivent demander un avis médical avant de prendre ce médicament. Les restrictions liées à l'utilisation de produits à base de paracétamol et de caféine chez les patients atteints d'insuffisance rénale sont principalement une conséquence de la teneur en paracétamol du médicament. (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Les patients chez qui une insuffisance hépatique a été diagnostiquée doivent demander un avis médical avant de prendre ce médicament. Les restrictions liées à l'utilisation de produits à base de paracétamol et de caféine chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sont principalement une conséquence de la teneur en paracétamol de ces médicaments. (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi).
Voie orale.
Les comprimés sont à avaler tels quels avec de l'eau.
Strimol extra est contre-indiqué chez les patients ayant des antécédents d'hypersensibilité au paracétamol (caféine ou excipients).
+Stiripentol : augmentation possible de la concentration plasmatique de caféine avec risque de surdosage, en raison de son inhibition du métabolisme hépatique.
Les études humaines et animales sur le paracétamol n'ont pas identifié de risque pour la grossesse ou le développement embryonnaire et fœtal.
L'utilisation de Strimol extra n'est pas recommandée pendant la grossesse en raison de l'augmentation possible du risque d'avortement spontané associé à la consommation de caféine.
Le paracétamol et la caféine sont excrétés dans le lait maternel.
Les études menées chez l'homme avec le paracétamol aux doses recommandées n'ont pas identifié de risque pour l'allaitement ou la progéniture allaitée.
La caféine présente dans le lait maternel peut potentiellement avoir un effet stimulant sur les enfants nourris au sein, mais aucune toxicité significative n'a été observée.
Il n'y a pas de données disponibles concernant l'influence de Strimol extra sur la fertilité humaine.
Strimol extra n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Données post- commercialisation
Les événements rapportés dans le cadre d'une vaste expérience post-commercialisation à la dose thérapeutique/étiquetée et considérés comme attribuables sont présentés ci-dessous par classe de systèmes d'organes et par fréquence.
Les fréquences sont définies comme : très fréquent (> 1/10), fréquent (> 1/100, < 1/10), peu fréquent (> 1/1000, <1/100), rare (> 1/10 000, < 1/1 000), très rare (< 1/10 000 y compris les rapports isolés) et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
La fréquence des effets indésirables a été estimée à partir des rapports spontanés reçus par le biais des données post- commercialisation.
Classes d'organes |
Effet indésirable |
Fréquence |
---|---|---|
Paracétamol |
||
Troubles du système sanguin et lymphatique |
Thrombocytopénie |
Très rare |
Troubles du système immunitaire |
Anaphylaxie |
Très rare |
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux |
Bronchospasme chez les patients sensibles à l'aspirine et aux autres AINS. |
Très rare |
Troubles hépatobiliaires |
Dysfonctionnement hépatique |
Très rare |
Caféine |
||
Système nerveux central |
Nervosité, vertiges |
Très rare |
Lorsque le schéma posologique recommandé de paracétamol-caféine est associé à un apport alimentaire en caféine, la dose plus élevée de caféine qui en résulte peut augmenter le potentiel d'effets indésirables liés à la caféine tels que l'insomnie, l'agitation, l'anxiété, l'irritabilité, les maux de tête, les troubles gastro-intestinaux et les palpitations. |
Vous pouvez signaler les effets secondaires en vous rendant sur le site https://www.strides.com/contact_DS.aspx ou en nous envoyant un courriel à : drugsafety@strides.com.
En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d'informations sur la sécurité du médicament.
Les symptômes du surdosage de paracétamol dans les premières 24 heures sont la pâleur, les nausées, les vomissements, l'anorexie et les douleurs abdominales. Les lésions hépatiques peuvent apparaître de 12 à 48 heures après l'ingestion. Des anomalies du métabolisme du glucose et de l'acidose métabolique peuvent survenir. En cas d'intoxication sévère, l'insuffisance hépatique peut évoluer vers une encéphalopathie, une hémorragie, une hypoglycémie, un œdème cérébral et la mort.
L'insuffisance rénale aiguë avec nécrose aiguë des tubules rénaux, fortement suggérée par une douleur dorsale, l'hématurie et la protéinurie, peut se développer même en l'absence de lésions hépatiques sévères. Des arythmies cardiaques et une pancréatite ont été rapportées.
Un traitement immédiat est essentiel dans la gestion du surdosage de paracétamol. En dépit d'un manque de symptômes précoces significatifs, les patients doivent être immédiatement envoyés à l'hôpital pour des soins médicaux immédiats. Les symptômes peuvent se limiter à des nausées ou des vomissements et ne pas refléter la gravité d'un surdosage ou le risque de lésion d'un organe. La prise en charge doit être conforme aux directives de traitement établies.
Un traitement au charbon actif doit être envisagé dans l'heure après le surdosage. La concentration de paracétamol dans le plasma doit être mesurée 4 heures ou plus après l'ingestion (les concentrations antérieures ne sont pas fiables).
Le traitement par N-acétylcystéine peut être utilisé jusqu'à 24 heures après l'ingestion de paracétamol, cependant, l'effet protecteur maximal est obtenu jusqu'à 8 heures après l'ingestion. L'efficacité de l'antidote diminue fortement après cette période. Si nécessaire, le patient doit recevoir de la N-acétylcystéine par voie intraveineuse, conformément au schéma posologique établi.
Si le vomissement n'est pas un problème, la méthionine par voie orale peut constituer une solution de rechange appropriée pour les régions éloignées, à l'extérieur de l'hôpital, pourvu qu'elle soit administrée dans les 10 à 12 heures suivant le surdosage. Il y a peu de preuves que le lavage gastrique sera bénéfique pour un patient chez qui le paracétamol est la seule substance ingérée.
La prise en charge des patients présentant un dysfonctionnement hépatique grave au-delà de 24 h après l'ingestion doit être discutée avec le centre anti-poison ou un service d'hépatologie.
Les symptômes courants comprennent l'anxiété, la nervosité, l'agitation, l'insomnie, l'excitation, les contractions musculaires, la confusion, les convulsions. Pour une consommation élevée de caféine, l'hyperglycémie pourrait également apparaître. Les symptômes cardiaques comprennent la tachycardie et l'arythmie cardiaque. Il faut noter que pour que des symptômes cliniquement significatifs de surdosage en caféine apparaissent avec ce médicament, la quantité ingérée serait associée à une toxicité grave liée au paracétamol.
Les symptômes de surdosage de caféine sont contrôlés en réduisant ou en arrêtant l'apport en caféine.
Il n'existe pas d'antidote spécifique, mais des mesures de soutien peuvent être utilisées.
Les symptômes du SNC et les convulsions peuvent être traités avec des benzodiazépines ; la tachycardie supraventriculaire peut être contrôlée en utilisant des ß-bloquants tels que le propranolol, administrés par voie intraveineuse.
Classe pharmacothérapeutique : Autres analgésiques et antipyrétiques-Anilides ; Paracétamol, associations excluant psycholeptiques ; code ATC : N02BE51.
Le mécanisme de l'action analgésique n'a pas été entièrement déterminé. Le paracétamol pourrait agir principalement en inhibant la synthèse des prostaglandines dans le système nerveux central (SNC) et, à un moindre degré, par une action périphérique en bloquant la génération de l'impulsion douloureuse. L'action périphérique pourrait aussi être due à l'inhibition de la synthèse des prostaglandines ou à l'inhibition de la synthèse ou à des actions d'autres substances sensibilisant les récepteurs de la douleur à la stimulation mécanique ou chimique.
L'effet antipyrétique du paracétamol est probablement dû à une action sur le centre hypothalamique thermorégulateur qui entraîne une vasodilatation périphérique responsable d'une augmentation du flux sanguin à travers la peau, d'une sudation et d'une perte de chaleur. L'action centrale implique probablement une inhibition de la synthèse des prostaglandines au sein de l'hypothalamus.
La caféine stimule tous les niveaux du SNC, bien que ses effets corticaux soient plus faibles et de durée plus courte que ceux des amphétamines.
La caféine produit une vasoconstriction cérébrale avec une diminution concomitante du débit sanguin cérébral et de la tension d'oxygène du cerveau. Il est suggéré que la caféine aide à soulager les maux de tête en offrant un début d'action plus rapide et/ou un soulagement accru de la douleur avec des doses plus faibles d'analgésique.
Le paracétamol est facilement absorbé par le tractus gastro-intestinal et est distribué de manière relativement uniforme dans la plupart des fluides corporels, les concentrations plasmatiques maximales étant atteintes environ 30 minutes à 2 heures après l'ingestion.
Il est métabolisé dans le foie. Les 2 principales voies métaboliques sont la glucuronidation et la sulfoconjugaison. Cette dernière voie est rapidement saturable avec une posologie supérieure aux doses thérapeutiques. Une voie secondaire, catalysée par le cytochrome P 450, est la formation d'un intermédiaire réactif (N-acétyl benzoquinone imine) qui, dans les conditions normales d'utilisation, est rapidement détoxifié par le glutathion réduit et éliminé dans les urines après sa conjugaison à la cystéine et l'acide mercaptopurique. D'autre part, lors d'intoxications massives, la quantité de ce métabolite toxique est augmentée.
Il est excrété dans l'urine principalement sous forme de sulfoconjugués et glycuroconjugués. Une quantité inférieure à 5 % est excrétée sous forme de paracétamol intact. 90 % de la dose ingérée est éliminée par le rein en 24 heures, principalement sous forme conjuguée au glucuronide (60 à 80 %) et sous forme de sulfate conjugué (20 à 30 %). Moins de 5 % est éliminé sous forme inchangée. La demi-vie d'élimination varie d'environ 1 à 4 heures. La liaison plasma-protéine est négligeable aux concentrations thérapeutiques usuelles mais augmente avec des concentrations croissantes.
Un métabolite hydroxylé mineur, généralement produit en très petites quantités par des oxydases à fonction mixte dans le foie et qui est détoxifié par conjugaison avec le glutathion hépatique, peut s'accumuler après un surdosage de paracétamol et provoquer des lésions hépatiques.
Insuffisance rénale : En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 10 ml / min), l'élimination du paracétamol et de ses métabolites est retardée.
La caféine est absorbée facilement après l'administration orale et est largement distribuée dans tout le corps. La caféine est presque entièrement métabolisée par oxydation, déméthylation et acétylation.
Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes en une heure et la demi-vie plasmatique est d'environ 3,5 heures. 65 à 80 % de la caféine administrée est excrétée dans l'urine sous forme d'acide 1-méthylurique et de 1-méthylxanthine.
Elle est excrétée dans l'urine sous forme d'acide 1-méthylurique, de 1-méthylxanthine, de 7-méthylxanthine, de 1,7-diméthylxanthine (paraxanthine), de 5-acétylamino-6-formylamino-3-méthyluracile (AFMU) et d'autres métabolites avec seulement 1 % inchangé.
Aucune étude conventionnelle s'appuyant sur les normes actuellement admises pour évaluer la toxicité pour la reproduction et le développement n'est disponible.
Il n'y a pas de données précliniques pertinentes pour le prescripteur en plus de celles déjà couvertes dans d'autres sections du RCP.
a) Le méthylparabène et le propylparabène peuvent provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées).
b) Le benzoate de sodium peut augmenter la jaunisse (jaunissement de la peau et des yeux) chez les nouveau-nés (jusqu'à 4 semaines).
Sans objet.
36 mois.
Conserver à une température inférieure à 25°C. Protéger de la lumière. Tenir tous les médicaments hors de portée des enfants.
Comprimés blancs à blanc cassé, circulaires, plats, à bords biseautés, avec STRIMOL EXTRA en creux sur une face et en clair sur l'autre.
Boîte de 20 comprimés (5 blisters de 4 comprimés).
Pas d'exigences particulières.
Strides Pharma Science Limited
36/7, Suragajakkanahalli Indlavadi Cross, Anekal Taluk,
Bangalore-562 106, India.
Strides Pharma Science Limited
Strides House' Bilekahalli,
Bannerghatta Road,
Bangalore - 560 076, INDIA.
Tel: 91-80-66580738/739
Fax: 91-80-66580700 /800
26/06/2023.
Dernière mise à jour de cette page : 01/02/2024
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