L'actualité de la santé en Afrique
Décembre 2003 |
Dépistage
volontaire et anonyme du VIH/SIDA : Une dizaine de centres mis en
place d'ici cinq ans - Le
soleil - Sénégal - 31/12/2003 |
Le ministre de la Santé et de la Prévention,
le Dr Issa Mbaye Samb, a révélé, dimanche dernier, à Fatick, que,
dans les cinq prochaines années qui coïncident avec la période de
mise en œuvre de la 2e phase du Programme de développement intégré
de la santé (PDIS), une dizaine de centres de dépistage volontaire
et anonyme sera mis en place à travers le pays. Cinq centres ont déjà
été installés avec l'appui de FHI/Usaid. Lire
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Tapoa
: Journée de sensibilisation sur la filariose lymphatique
- Sidwaya - Burkina
Faso - 30/12/2003 |
Sous la présidence du haut-commissaire
de la Tapoa, s'est tenue le mercredi 17 décembre 2003 dans la salle
de réunions du haut-commissariat de Diapaga une session d'information
sur la filariose lymphatique à l'intention des membres de la commission
provinciale d'aménagement du territoire. Cette session qui s'inscrit
dans le cadre de la mise en œuvre d'une campagne de traitement de
masse contre la filariose lymphatique dans le district sanitaire de
Diapaga, vise comme objectif à interrompre la chaîne de transmission
de la maladie, prévenir les incapacités et handicaps associés à la
filariose lymphatique. Dans le souci de mieux informer les acteurs
locaux de développement de la Tapoa pour leur implication dans la
lutte contre cette maladie invalidante et marginalisante, le médecin-chef
du district sanitaire, Amédée Prosper Djiguemdé, a d'abord procédé
à la définition de cette maladie communément appelée éléphantiasis,
décrit son mode de transmission, ses manifestations cliniques, informer
les participants de la situation de la maladie dans le monde et au
Burkina Faso, son impact socioéconomique et les démarches adoptées
par le district pour son élimination. La filariose lymphatique qui
fait partie de six (6) autres maladies dites prioritaires et ciblées
par le ministère de la Santé est transmise par les moustiques infectés.
Maladie dite de l'enfance, elle sévit surtout dans les couches défavorisées
et cela à la faveur de la mauvaise hygiène environnementale. Selon
le Dr Amédée Prosper Djiguemdé, cette maladie affecte 120 millions
de personnes dans le monde. Une étude réalisée au Burkina Faso révèle
la présence de la filariose lymphatique sur toute l'étendue du territoire
; d'où la campagne de traitement de masse pour éradiquer, éliminer
cette maladie. Face aux avancées thérapeutiques, il existerait cependant
des possibilités de traitement et d'éradication de la filariose lymphatique.
Le lancement du programme devait à cet effet donc permettre de couvrir
le territoire national d'ici à fin 2004. La campagne verra la distribution
de comprimés d'Albendazole et d'Ivermectine. Ces médicaments préconisés
sont, selon le Docteur, non seulement efficaces contre la filariose
lymphatique mais constituent aussi de puissants déparasistants. Ils
seront utilisés par les personnes âgées de 5 ans et plus. Dans le
district sanitaire de Diapaga, la campagne mobilisera en plus des
agents de santé, des distributeurs communautaires. Rappelons que la
veille de cette rencontre, dans la même salle au cours d'une réunion
présidée par le haut-commissaire, le Dr Amédée Prosper Djiguemdé avait
présenté l'évaluation à mi-parcours du plan de développement sanitaire
2000-2004; le bilan de deux années de fonctionnement des comités de
gestion des formations sanitaires. Toute chose qui avait permis aux
membres du conseil de santé du district d'examiner et d'adopter le
plan et de jeter les bases de celui de 2004. Boureima K. LIDO
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2003_30_12/sidwaya.htm
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Santé
bucco-dentaire : 50 % des fauteuils dentaires ne sont pas fonctionnels
- Walfadjri - Sénégal
- 30/12/2003 |
Les cabinets dentaires relevant du secteur public fonctionnent
à peine. La cause est que la moitié des fauteuils dentaires s'est
détériorée. C'est la révélation faite par le chef de division de
la santé bucco-dentaire que nous avons rencontré avant-hier. Mais
le Dr Daouda Faye rassure qu'un séminaire a été tenu les 12 et 13
décembre derniers pour améliorer le plateau technique des dentistes
et les mettre dans de bonnes conditions de travail tout en augmentant
ce personnel. Il est ainsi prévu de recruter cette année onze chirurgiens-dentistes.
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Les
plantes médicinales valorisées : Le ministre de l'Enseignement supérieur
a signé hier avec l'ambassadeur de Chine un protocole d'accord à cet
effet - Cameroon
tribune - Cameroun - 30/12/2003 |
La salle des audiences du ministère
de l'Enseignement supérieur a servi de cadre hier à la signature d'un
protocole d'accord relatif au projet de coopération sur la formation,
la recherche et la valorisation des plantes médicinales. L'ambassadeur
de Chine au Cameroun, Xu Mengshui, représentait le gouvernement chinois.
Le ministre de l'Enseignement supérieur, le Pr. Maurice Tchuenté et
son collègue de la Recherche scientifique et technique, Zacharie Perevet
ont paraphé le document pour le compte du gouvernement camerounais.
Dans ledit protocole, les deux parties décident de joindre leurs efforts
dans un projet de formation, de recherche et de valorisation des plantes
médicinales. Cet accord est destiné à fournir un cadre institutionnel
au développement de la coopération dans le domaine des plantes médicinales.
L'université de Zhejiang de Chine, l'université de Yaoundé I et l'Institut
de recherches médicales et d'études des plantes médicinales (IMPM)
du Cameroun sont les structures opérationnelles pour l'exécution du
présent protocole d'accord. La partie chinoise s'engage notamment
à fournir des équipements pour renforcer le laboratoire de microbiologie
de l'université de Yaoundé I. Elle va également contribuer à la mise
en place et au développement des laboratoires d'enseignement et de
recherche dans le domaine des plantes médicinales à l'université de
Yaoundé I et à l'aménagement d'une unité de valorisation des plantes
médicinales à l'IMPM. L'université de Zhejiang va également envoyer
trois professeurs à l'université de Yaoundé I pour appuyer la recherche
et la formation dans le domaine des plantes médicinales et de la médecine
traditionnelle. Le gouvernement camerounais s'est engagé à traduire
dans les faits la matérialisation de cet accord en mettant à la disposition
des professeurs chinois des locaux et en leur offrant des facilités
de toutes sortes. Les deux parties se sont surtout engagées à respecter
les règles et principes de confidentialité des informations et des
résultats de la recherche issus du présent partenariat. Le ministre
d'Etat chargé des Relations extérieures, François-Xavier Ngoubeyou,
a assisté à cette cérémonie qui est l'une des retombées de la récente
visite du président de la République en Chine en septembre dernier.
Brice MBEZE
Lire l'article original : http://www.cameroon-tribune.net/article.php?lang=Fr&oled=j30122003&idart=13190&olarch=j30122003 |
Kossi
: Bilan du plan d'action sanitaire 2003 - Sidwaya
- Burkina Faso - 29/12/2003 |
Une session des membres du conseil de santé du district sanitaire
de Nouna s'est tenue le 18 décembre 2003 en vue de faire le bilan
du plan d'action 2003 et procéder à l'examen et l'adoption du planning
sanitaire 2004 du district de santé de Nouna. Conçu sur la base
d'une analyse situationnelle peu reluisante, le Plan d'action 2003
du district sanitaire de Nouna dont le bilan d'éxécution a été présenté
à la session de ce jeudi 18 décembre est riche en acquis. L'ouverture
des CSPS de Lékuy, Sono et Ira, la forte implication de la communauté
avec la mise en place de 274 relais communautaires de prise en charge
du paludisme et 264 relais communautaires pour la lutte contre la
tuberculose, la mise en place d'un programme de prévention de la
transmission mère-enfant du VIH/SIDA sont entre autres les forces
du Plan en fin d'exécution. Le coût annuel de ce plan estimé au
départ à 316 545 270 f a pu mobiliser à son exécution la somme de
202 472 287f soit un taux de mobilisation de 63, 96%. En cela, il
faut noter la forte participation du budget national pour un montant
de 56 724 f de même que le district sanitaire de Nouna lui-même
pour la somme de 91 072 532 f comme fonds propres. Ainsi, le résultat
obtenu est éloquent, le plan d'action 2003 du district sanitaire
de Nouna accuse un taux d'exécution de plus de 85%. Le plan d'action
examiné et adopté à la lumière du bilan 2003 est fondé sur la résolution
des problèmes prioritaires du district sanitaire de Nouna : Il s'agit
entre autres de :
- la morbidité et la mortalité générales sont élevées,
- la qualité des prestations de soins est faible,
- l'accessibilité financière et géographique des populations aux
services de santé qui est jusque là limitée,
- le système d'information sanitaire qui est peu performant.
Le planning 2004 qui se fixe pour objectif général, de contribuer
à améliorer l'état de santé des populations. Le district de santé
de Nouna est soutenu par vingt cinq (25) objectifs spécifiques avec
140 activités sanitaires à réaliser pour un coût global de : 385
475 210 f. Cette session qui a duré 5 heures était présidée de bout
en bout par Mr Abdoulaye Bologo, secrétaire général de la province
de la Kossi. KONATE Daouda
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2003_30_12/sidwaya.htm
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Ziguinchor
: Les diabétiques s'apitoient sur leur sort - Le
quotidien - Sénégal - 28/12/2003 |
Les diabétiques de Ziguinchor ne savent
plus à quel saint se vouer. Livrés à eux-mêmes depuis deux ans, avec
l'affectation à Touba de Abdou Diop, alors en charge de la maladie,
les patients souffrent aujourd'hui de l'affectation du centre antidiabétique
à d'autres soins et de l'absence d'agent. Le seul agent qui s'occupait
de leur suivi après le départ de Abdou Diop est présentement nommé
comptable des matières à l'hôpital régional. Une situation qui fera
dire à Amadou Mboup, président de l'Association des diabétiques de
Ziguinchor, dont le nombre est passé de 75 en 1994 à 2 500 en 2003,
que leur structure vivote même si elle n'est pas disloquée. "Notre
association est dans une léthargie totale depuis deux ans. Les malades
sont désemparés ; ils sont sans conseil, sans soins, ni soutien",
se désole-t-il. Non moins sans remercier au passage Seyni Diémé, coordonnateur
des malades du diabète actuel, comptable des matières de l'hôpital
régional de Ziguinchor "qui se donne par moments le temps de s'occuper
des diabétiques". Toutes choses qui lui font tirer la sonnette d'alarme
pour une reprise en main et une redynamisation de l'association dans
le souci d'une meilleure prise en charge et d'un meilleur suivi des
malades du diabète, chose à laquelle l'association du personnel de
santé de l'hôpital régional et du ministère de la Santé se sont attelés
dans l'après-midi de leur journée du diabète axée autour du thème
"Le diabète peut nous coûter les reins, agissons maintenant". Pour
Baye Oumar Guèye, secrétaire général de l'Association sénégalaise
de soutien aux diabétiques (Assad), la maladie se propage à un rythme
effréné et nécessite donc une prise en charge locale des malades par
une décentralisation des centres antidiabétiques. Et Baye Oumar Guèye
de marteler très amer que "le centre antidiabétique de l'hôpital régional
a été construit pour les diabétiques, il est donc inconcevable qu'il
soit affecté à d'autres fins", dénonce-t-il. Tout en précisant que
Ziguinchor est d'ailleurs, en dehors de Dakar, la seule région du
Sénégal à disposer d'un centre antidiabétique. M. Guèye a en outre
plaidé pour une plus grande réduction du coût des médicaments antidiabétiques,
à défaut de leur gratuité. Après avoir appelé à l'unité et à la solidarité
des malades du diabète, il promet de rendre compte aux responsables
nationaux de l'Assad pour une étude spécifique du cas de Ziguinchor.
Baye Oumar Guèye a enfin appelé les malades à respecter les régimes
et à éviter les traitements traditionnels. Le médecin chef de région,
le commandant Mame Demba Sy, a plaidé pour la création d'une mutuelle
des diabétiques pour mieux lutter contre la maladie avant que le Dr
Marie Ka Cissé ne sensibilise l'assistance sur l'utilisation de l'insuline
humaine en remplacement de l'insuline animale. Par Aliou CISSE - Correspondant
Lire l'article original : http://www.lequotidien.sn/archives/article.cfm?article_id=9858&index_edition=294
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Déficit
de sang dans les structures sanitaires : Les donneurs de sang préparent
une campagne nationale - Le
soleil - Sénégal - 27/12/2003 |
Si tout le monde faisait comme l'Association
nationale des donneurs bénévoles de sang du Sénégal (ANDOBES), le
déficit criard de ce précieux produit serait largement comblé dans
les structures sanitaires. L'Andobes organise, cette année, une campagne
nationale de sensibilisation sur les enjeux de ce geste qui sauve
des vies humaines, mais qu'on tarde à effectuer dans certains milieux
pour diverses raisons. Cette association compte organiser la journée
de lancement, le 22 janvier 2004, au palais de la République et, simultanément,
à l'Assemblée nationale. Le programme se poursuivra ensuite avec comme
stratégie : un mois, un week-end, une région. Le thème de cette année
est "un geste simple qui sauve des vies". L'objectif visé est de porter
le nombre des donneurs de sang de 25.000 à 30.000 personnes. "Le sang
manque dans notre pays. C'est un produit qui ne se vend pas. Malgré
les découvertes scientifiques, on n'a pas encore trouvé des produits
de substitution", indique M. Thierno Lecompte Seck, secrétaire général
de l'Andobes. Pour disposer de ce précieux liquide, on ne peut faire
recours qu'à la solidarité des hommes. L'adage qui dit que l'homme
est le remède de l'homme, rappelle M. Seck, trouve toute sa pertinence
dans la démarche de son association. L'importance du sang dans le
fonctionnement des structures sanitaires n'est plus à démontrer aujourd'hui.
Selon M. Seck, il y a beaucoup de patients qui ont besoin de ce produit
sans lequel des millions d'accidentés n'auraient pas survécu à leurs
blessures. Un des objectifs de l'Andobes vise la sensibilisation,
le recrutement et la fidélisation des donneurs de sang. Pour Thierno
Lecompte Seck, il ne faudrait pas que ce soit une petite catégorie
de gens qui donne son sang. "Le don de sang ne doit pas être le fait
d'une élite obligée de respecter fréquemment ce geste-là. Cela doit
être le fait de la communauté ; cela doit être un choix civique",
plaide le secrétaire général de l'Andobes. L'objectif de cette association
est, selon lui, d'atteindre, sinon d'approcher les normes fixées par
l'Organisation mondiale de la santé (OMS). "Il est dans l'intérêt
de tous qu'il existe des réserves de produits sanguins dans les structures
hospitalières. Notre campagne vise à attirer l'attention des populations,
à les informer sur l'importance du don de sang afin qu'elles donnent
un peu de leur sang". Pour Thierno Lecompte Seck, la persistance de
certains préjugés ne milite pas en faveur de la promotion du don de
sang au Sénégal. "Il y a des gens qui disent ouvertement qu'ils sont
des nobles et, par conséquent, ne donnent pas leur sang. Il y a également
des personnes qui pensent qu'en donnant de leur sang, ils risquent
d'attraper le Sida. Ces gens-là ignorent que le Sénégal est l'un des
pays en Afrique subsaharienne qui présente le plus de garantie dans
les opérations de don de sang", déclare M. Seck. JOSEPH SENE
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=33605&index__edition=10071
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Bouaflé
: 95% d'enfants protégés contre la rougeole - Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire - 27/12/2003 |
La campagne de vaccination contre la
rougeole a connu un succès à Bouaflé. Initiée par le district sanitaire,
avec la collaboration de l'OMS, Unicef, la Croix rouge, elle a couvert
presque tout le département. Ce sont 95% d'enfants de 6 à 14 ans,
qui ont été vaccinés. Toutefois, selon M. Koffi, directeur départemental
de la santé à Bouaflé, il y a eu quelques difficultés relatives au
mauvais état des pistes villageoises. Cependant dans l'ensemble, révèle
M. Angama, superviseur national chargé de la région de la Marahoué,
les équipes ont respecté des consignes pour mener à bien l'opération.
Les populations sont aussi sorties massivement pour faire vacciner
leurs enfants. Il faut dire que la période qui s'étend de décembre
à mars reste favorable à la contraction de cette maladie. Cette grande
mobilisation n'a heureusement pas suscité une rupture de vaccins.
La visite surprise du ministre de la Santé dans le département a été
vivement appréciée par les vaccinateurs. GOHORE BI ARMAND
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=26326
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Séparation
des sœurs siamoises à Le Dantec : Une première réussie en Afrique
Subsaharienne - Le
soleil - Sénégal - 26/12/2003 |
Coumba Niang n'a jamais fait de visites
prénatales. Et pourtant, elle a accouché des siamoises de la façon
la plus normale au monde. Mais, il fallait la prouesse de l'équipe
chirurgicale du Professeur Mamadou Ndoye de l'hôpital Le Dantec pour
séparer ses deux jumelles conjointes. Ce qui fut un coup de maître
pour un essai. En tout cas, une première dans la chirurgie en Afrique
Subsaharienne. Deux sœurs siamoises ont été opérées avec succès le
2 décembre 2003 à l'hôpital Le Dantec de Dakar. En excellent état
de santé, elles sont encore internées à l'unité de néonatologie de
l'hôpital Le Dantec. Ces jumelles conjointes, nées le 26 novembre
2003 au Centre de Santé Philippe Maguilène Senghor de Yoff, étaient
reliées au niveau de la région ombilico-seternale. Il fallait donc,
pour cette malformation, que le Docteur Mamadou Ndoye, Professeur
de Chirurgie pédiatrique qualifie de rare, séparer les foies des deux
jumelles qui étaient collés, le sternum, une partie du diaphragme
et l'intestin grêle. Lire la suite |
Cancer
- Mutations
- Cameroun - 23/12/2003 |
Innocent Adoubi, M'bra Kouassi de la
Côte d'Ivoire et Judith Malanda Mfinga du Congo-Brazzaville sont de
la première promotion des cancérologues entièrement formés en Afrique
Centrale. Les trois lauréats sont sortis mercredi dernier à l'université
congolaise Marien Ngouabi de Brazzaville. Leur jury était entre autres
composé du cancérologue Charles Gombe Mbalawa. Le choix par ces médecins
de cette branche est louable dans la mesure où, selon le récent rapport
de l'Oms sur le cancer dans le monde, en l'absence de mesures immédiates,
le nombre de personnes touchées par le cancer chaque année pourrait
passer de 10 millions à 15 millions d'ici à 2020.
Lire l'article original : http://www.quotidienmutations.net/cgi-bin/alpha/j/25/2.cgi?category=10&id=1072176052
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