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Coopération sénégalo-britannique: 4 cases de santé construites par AFRICARE dans le Rip - Le soleil - Sénégal - 18/06/02
L'ambassadeur du Royaume britannique, Son Excellence Alan Bruner a été jeudi, l'hôte du département de Nioro où il s'est rendu pour procéder à l'inauguration de quatre cases de santé dans les villages de Keur Abdou Boury, Niangué Keur Ali Samba, Dertady et Ndienguène Keur Ali Dié, tous situés dans l'arrondissement de Paoskoto. L'ambassadeur Alan Bruner était accompagné du sous préfet de cet arrondissement, Hamady Diongue, du député Ablaye Bâ, du représentant résident de l'Ong Africare, Michael Carson, du coordonnateur régional de Kaolack de la même Ong, Boubacar Sow et du médecin chef adjoint du district sanitaire de Nioro, le docteur Magaye Diassé. Bien que comptant un peu plus de 600 villages, il n'en demeure pas moins que le département de Nioro est une zone défavorisée en matière de santé. En fait, on n'y compte seulement 17 postes de santé. Ce qui peut constituer une situation alarmante aux yeux des populations qui n'ont plus que le Miséricordieux pour les préserver de certaines maladies. D'ailleurs, le tableau dressé par le Dr. Diassé n'est pas reluisant, quand on sait que la couverture vaccinale des enfants de 0 à moins de 11 mois est de 62,73 %, les femmes enceintes ayant pris plus de deux vaccins anti-tétaniques (41,38 %), la prévalence contraceptive (4 %), le taux de couverture en CPN 3, (19,59 %) et le taux d'accouchements assistés ne dépasse guère les 26, 25, %. D'où la nécessité de renforcer ces structures en milieu rural. Ce qu'a peut-être compris l'Ong Africare qui a bien voulu réaliser et équiper ces quatre cases de santé dans ces villages. En effet, à travers son programme de santé communautaire dans la région de Kaolack, Africare n'a d'autre ambition que de chercher à améliorer les conditions sanitaires des populations, par la réduction de la morbidité et de la mortalité maternelle et infantile au niveau de 12 villages centres et 40 communautés environnantes. Selon le coordonnateur Boubacar Sow, ces projets proposent une approche intégrée du développement des entreprises rurales et des soins de santé, en renforçant les capacités des communautés de base, par la création d'activités génératrices de revenus qui assurent à leur tour, la pérennisation des services de santé. Le projet de santé communautaire de Nioro, finance dans le cadre de la collaboration entre Africare et l'ambassade de Grande Bretagne au Sénégal, vient en appui, à la politique de décentralisation des soins de santé primaires du gouvernement du Sénégal. Conçu et exécuté par Africare, ce projet, d'une durée de 30 mois, bénéficie d'une subvention britannique de 22 millions de francs. Le programme de Nioro s'inscrit, selon toujours Boubacar Sow, dans le cadre d'un partenariat entre Africare et les populations bénéficiaires et vise à améliorer la couverture sanitaire des populations de 16 villages par la construction et l'équipement de ces quatre cases de santé. “Il faut également y ajouter la mise en œuvre d'un programme d'IEC, l'offre de service de santé, la formation et le recyclage ; des différents intervenants, le suivi et l'évaluation ”, souligne Boubacar Sow. C'est en 2001 que l'Ong Africare s'est engagé à construire 12 cases de santé dans des villages n'ayant pas accès aux soins de santé et formé plus de 50 agents sanitaires, matrones et relais ont été aussi formés par Africare. Dans la zone de Nioro, les populations du village de Keur Abdou Boury étaient obligées de parcourir les 10 km qui les séparent de Nioro-commune pour se faire soigner.“ Maintenant, grâce à Africare, dont l'intervention participe de l'amélioration de nos conditions de vie, nous enlève une épine du pied et nous en remercions ses dirigeants ”, indique le chef du village, Mamath Touré. Dans le village de Nianguène 1, Keur Ali Samba, la délégation a été accueillie par l'hymne national chanté par les élèves du village. Malheureusement, l'étape ne sera que de courte durée car, c’est le matin même, avant l’arrivée des hôtes, que l'imam de la localité a été rappelé à Dieu. Au village de Ndianguène Keur Aly Dié, la cérémonie a été rendue agréable malgré la chaleur, par la prestation de la troupe théâtrale de Kaolack “Réveil Tamsir Ndiaye” qui a produit une pièce sur la santé pour mieux sensibiliser les populations sur la nécessité de bannir certaines pratiques et se diriger vers les structures de santé. L'acteur fétiche de cette troupe, Meïssa a encore fait parler de lui par son talent de comédien et son savoir-faire. Pour sa part et au terme de sa visite, l'ambassadeur Alan Bruner s'est dit très impressionné par le sens civique des populations rencontrées. “Voilà des gens qui mesurent à sa juste valeur ce que l'Ong Africare vient de leur donner. Et pour le prouver, ces populations ont elles-mêmes construit les bâtiments en guise d'apport. Et cela est très bien et me réconforte quand on sait que le suivi nécessaire sera fait”, a indiqué Alan Bruner pour qui cette action d'Africare vient renforcer les efforts du gouvernement du Sénégal en matière de santé. BABACAR DIENG
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HOUET : XIes journées des sciences de la santé : "Pathologies émergentes et réémergentes : prise en charge" - sidwaya - Burkina Faso - 18/06/02
Les journées des sciences de la santé de Bobo-Dioulasso ont tenu cette année leurs XIes assises sur le thème des pathologies émergentes et réémergentes. Il faut entendre par là, des maladies comme le VIH-Sida, la fièvre Ebola, la tuberculose, le choléra, la diphtérie, la trypanosomose, etc. Selon le secrétaire permanent de ces journées, environ 175 personnes du monde médical ont pris part aux travaux. Elles sont venues de plusieurs districts sanitaires du Burkina (Houet, Kadiogo, Oubritenga, Kourwéogo, Kossi, Kénédougou), d'autres pays tels que le Tchad, le Mali, la Côte d'Ivoire, la France. Individuellement ou par groupe, ce sont des études de cas et des communications qui ont été soumises au débat et à la critique collective. A l'ordre du jour, la méningite, la tuberculose, le paludisme, le VIH/Sida bien sûr et autres cas cliniques. Les questions de pollution chimique, de gestion et de financement des systèmes de santé, la prise en charge des malades étaient aussi sur la table des échanges, ainsi que des questions de médecine traditionnelle et de méthodologie. Les JSSB ont encore été marquées par ce qui les particularisent : la participation aux travaux à la fois de sommités nationales et internationales de la médecine, du personnel soignant des formations sanitaires, l'ouverture aux associations à vocation sanitaire et au grand public. Au cœur du forum édition 2002, s'inscrivaient le paludisme et le VIH/Sida. La XIe édition qui a choisi de se pencher sur les graves problèmes de santé publique liés à l'actualité semble annoncer ainsi l'importance que les JSSB prendront à l'avenir. Face au thème général dont il a souligné l'originalité, le secrétaire général du ministère de la Santé, le Dr Jean Gabriel Waongo, a indiqué aux différents chercheurs que "vos communications scientifiques, vos expériences individuelles et collectives, vos compétences nous permettront de nous poser quelques questions que vous allez sans doute aborder". Pour sa part, le secrétaire permanent des journées J. Bosco Ouédraogo, s'est félicité du soutien du gouvernement et des partenaires au développement tels l'OMS, l'UNICEF, la Suisse, la France ... Au nom des bailleurs de fonds, le premier secrétaire de l'ambassade de France a promis que les JSSB seront toujours soutenues. La plus grande distinction instaurée par les initiateurs des JSSB, le prix Myriam Petit Jean, est revenu à Fatou Ouattara et Moussa Kaboré. La première a traité de la question "Kaliya en milieu rural sénoufo : pathologie émergente ?". Le second a traité de : "Etude sur les facteurs qui déterminent l'implication de la population dans la lutte contre le VIH/Sida à Kourinion". Ce prix a une valeur de 200 000 FCFA. Jean Luc BONKIAN
Lire l'article original : www.sidwaya.bf/sid18_06_02/ville_village.htm
Cheikh Tidiane Coulibaly (Cellule de lutte contre la malnutrition): “Le nouveau programme cible davantage le monde rural” - Le soleil - Sénégal - 18/06/02
Les 29 et 30 mai 2002, un atelier de validation du manuel de mise en œuvre du Programme de renforcement de la nutrition (PRN) s’est tenu à l’hôtel Ngor Diarama. Le PRN vise notamment, sur une période de 10 ans (2003–2013), “l’amélioration du statut nutritionnel des groupes vulnérables à savoir les enfants âgés de moins de 3 ans, les femmes enceintes et les mères allaitantes”. Le programme est financé par la Banque mondiale. Lire
Adzopé : L’hôpital général attend l’équipement de son bloc opératoire - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 18/06/02
Si à Adzopé tout le monde s’accorde à reconnaître que l’hôpital général a réalisé des progrès notables dans maints domaines (accueil des malades, personnel étoffé notamment au niveau des médecins), force est de reconnaître que cette formation dont la création remonte à 1956 est réellement sous-équipée. En effet, cet hôpital souffre énormément de l’absence d’un service de radiologie et d’un bloc opératoire équipé. A ce niveau, il faut noter que le bâtiment existe bel et bien. Il a été construit depuis plus de quatre (04) années. Mieux, on y a même affecté un chirurgien généraliste et un anesthésiste depuis 1999. Ceux-ci, faute d’un bloc opératoire équipé, opèrent sur une table de fortune. En effet, docteur Eboï Désiré le, chirurgien et son collaborateur ont, en moins de quatre ans, sauvé la vie à plus de six cents (600) malades qu’ils ont opérés. Aujourd’hui, malgré leur dévouement, ils sont obligés d’évacuer les femmes en grossesse dont l’état nécessite une césarienne à Abidjan. Tout simplement parce que l’hôpital est dépourvu de bloc opératoire équipé. A cela, il faut ajouter l’absence de services d’échographie, de pédiatrie et de gynécologie. Triste décor tout de même, quand on sait que cette région n’est située qu’à moins de 100 km d’Abidjan et qu’elle a en son sein de nombreux médecins au nombre desquels de hauts chirurgiens de toutes sortes. C’est pourquoi, tout un chacun ici, populations, directeurs, personnel technique de santé et autres, lance un appel pressant au gouvernement afin qu’il fasse de l’équipement du bloc opératoire son cheval de bataille. AMBROISE N’DOCHO
Lire l'article original : www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=11515
Enfants en situation difficile: Une association au chevet des orphelins du sida - Le soleil - Sénégal - 18/06/02
Les enfants affectés ou infectés par le VIH/SIDA, ou ceux qui sont, dans un sens plus large, en situation difficile, ont, depuis peu de semaines, une nouvelle association à leur chevet, en l’occurrence, l’Association d’Assistance aux Enfants en Situation difficile (AASED), qui a son siège à l’Institut d’Hygiène Sociale (IHS) de Dakar. C’est exactement le 24 avril dernier que l’AASED a été mise sur pied par une soixantaine de bonnes volontés de divers horizons professionnels et sociaux, lors d’une assemblée générale constitutive tenue à Dakar. Sa présidente est une assistante sociale, Mme Thioye née Marie Cissé. Celle-ci est une dame qui s’est beaucoup investie - les mots sont bien pesés - dans la prévention du VIH/SIDA et l’aide psychosociale de personnes de groupes vulnérables de tous les âges, ainsi que leur entourage, touchés par ce mal. Son engagement en faveur des victimes du VIH/SIDA au Sénégal date de plus d’une décennie. Mme Thioye officie, depuis août 1977, à Dakar, comme assistante sociale à l’Institut d’Hygiène Sociale au service des maladies sexuellement transmissibles (MST). Elle s’est, pendant longtemps, occupée des prostituées pour les aider à changer de comportement, à se prévenir contre l’infection à VIH et à apporter un soutien psychosocial à celles qui sont affectées ou infectées par le VIH. “Nous avions, depuis quelques années, commencé à nous investir dans la prise en charge des enfants orphelins du SIDA qui sont au nombre de 20.000 environ au Sénégal”, nous a confié Mme Thioye, qui souligne, au passage, l’engagement bénévole et fort appréciable du Dr Ngagne Mbaye, pédiatre et d’autres praticiens. La prise en charge des orphelins du SIDA nécessite une synergie de bonnes volontés et nous avons obtenu l’accès aux ARV et l’accueil d’une centaine d’enfants dans des orphelinats ou des centres d’accueil”, explique-t-elle. D'ici 2010, dans les pays africains les plus touchés, environ un cinquième des enfants de moins de 15 ans sera constitué d’orphelins, selon l’UNICEF. Quelque 800.000 enfants de moins de 15 ans sont infectés par le sida en Afrique, chaque année, et 14 millions d'enfants de la même tranche d'âge sont orphelins à cause de la pandémie. “Nous allons bientôt installer des cellules régionales notamment à Louga et Matam. Ensuite, nous ferons de même dans d’autres capitales régionales”, indique Mme Thioye. Une caisse de solidarité a été mise en place au bénéfice de ces enfants en situation difficile, notamment les enfants orphelins chefs de famille. Cette caisse est gérée par le Dr Ibrahima Traoré de l’IHS. Elle devrait permettre, avec le concours d’autres bonnes volontés, la mise en place de micro-projets individuels ou collectifs générateurs de revenus et également la prise en charge nutritionnelle. Outre la présidente, Mmme Thioye Marie Cissé, le bureau de l’AASED compte parmi ses membres, Mme Mame Yacine Thiam Wardini (assistante sociale), secrétaire générale, le Dr Ngagne Mbaye (médecin), président de la commission médicale, FARA DIAW
Lire l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=14842&index__edition=9611
Communiqué de presse OMS/48 - L’oms lance un projet de prévention de la cécité chez l’enfant - 18/06/02
Genève – La cécité frappe un enfant toutes les minutes dans le monde. La moitié de ces cas pourrait être évitée, ce qui signifie qu’il est possible de préserver la vue de 250 000 enfants chaque année. L'Organisation mondiale de la Santé annonce aujourd’hui le lancement d’un projet de prévention de la cécité chez l’enfant, avec l’appui financier de la Fondation internationale du Lions Club, sous les auspices de son programme SightFirst. « Le don du Lions de 3,75 millions de dollars US représente un grand pas en avant dans l’élimination des cas de cécité évitables chez l’enfant, a déclaré le docteur Derek Yach, Directeur exécutif de Maladies non transmissibles. L’OMS se félicite de la contribution de la Fondation internationale du Lions Club. » Sur les cinq cent mille enfants qui deviennent aveugles chaque année, trois sur cinq meurent soit des causes de leur cécité, soit d’autres carences. On estime à 1,5 million le nombre actuel d’enfants aveugles. Comme l’explique le docteur Gro Harlem Brundtland, Directeur général de l'Organisation mondiale de la Santé : « Ce n’est pas seulement faire œuvre de charité que d’investir pour les enfants dès les premières années : c’est aussi le meilleur moyen d’assurer le développement à long terme, particulièrement lorsqu’il s’agit de la vue. » En chiffres absolus, la perte de vision dans les populations âgées est un phénomène plus important mais en termes « d’années de cécité », son poids dans l’enfance vient en second après la cataracte, la cause la plus importante de cécité dans le monde. La cécité et les déficiences visuelles graves ont de lourdes conséquences sur le plan social, économique et personnel. Lorsqu’elles surviennent chez l’enfant, elles dressent en outre des obstacles à son développement au moment de sa formation. Les approches par les soins de santé primaire, comme la vaccination contre la rougeole et la rubéole, l’amélioration de la nutrition, notamment pour la vitamine A, la prophylaxie des infections oculaires chez le nouveau-né, gonococcie par exemple, le fait d’éviter les médicaments nocifs pour les yeux sont des mesures qui contribuent toutes à minimiser le risque de cécité infantile. Les interventions chirurgicales s’imposent pour certaines pathologies comme la cataracte, les opacités cornéennes et le glaucome de l’enfant. En dehors des besoins en formation spécialisée destinée aux chirurgiens devant traiter ces états, le dépistage précoce et l’accès renforcé aux traitements sont des éléments essentiels pour éviter les lésions oculaires irréversibles chez l’enfant. La correction des défauts de réfraction et la prestation de soins en cas de vision trop faible sont également des actions à entreprendre. A tous les niveaux, le travail en équipe conditionne le succès. Ce projet d’une durée de cinq ans portera sur la formation du personnel de santé en matière de prévention, de détection précoce et de traitement dans 30 pays répartis dans toutes les régions de l’OMS. Il créera également dans ces pays des « centres de vision pour l’enfant ». Tandis que l'Organisation mondiale de la Santé sera l’organisme d’exécution du projet, les Etats Membres, les membres du Lions Club International à tous les niveaux et d’autres organisations non gouvernementales participeront aux activités.
Lire l'article original : www.who.int/inf/fr/cp-2002-48.html
Lutte contre le Sida : Mme Gbagbo aux cheminots: “Semez la vie tout le long des rails...” - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 18/06/02
“ Des rails sans SIDA ”, c’est le slogan retenu par la Société ivoirienne de Transport ferroviaire(SITARAIL) pour son comité de lutte contre le SIDA. Et le logo adopté est celui de l’entreprise assortie du ruban rouge symbole de l’engagement contre la pandémie du siècle. La SITARAIL dirigée par M. Abdelaziz Thiam a rendu publics hier après-midi, les résultats du concours qui a donné ce slogan et ce logo à son comité SIDA, en présence de l’épouse du chef de l’Etat Mme Simone Ehivet Gbagbo. Marraine de cette cérémonie qui était placée sous la présidence de Mme Assana Sangaré, ministre délégué chargé de la lutte contre le SIDA. Le 1er prix de ce concours a été remporté par M. Agan Kouassi Julien et Konan N’Da Norbert respectivement pour le slogan et le logo. A l’enveloppe de 300.000F prévue par la SITARAIL pour chacun des deux lauréats, Mme Gbagbo y a ajouté 250.000. Soit un prix de 550.000F pour les deux lauréats. Aux 200.000F des seconds, la marraine a ajouté 150.000F et aux 100.000F des 3è, la somme de 100.000F au comité SIDA de SITARAIL ce sont 200 tee-shirts et 800 préservatifs qui ont été offerts par Mme Gbagbo pour la SITARAIL avec ces 1642 agents travaillant le long de 1260 kms de chemin de fer et dans 20 locomotives, le combat contre le SIDA qui a commencé depuis 1996 ne fait que se renforcer avec cette cérémonie. Qui a vu la prestation de serment de 47 cheminots pairs éducateurs formés en juin 2001 et qui devraient œuvrer selon la marraine de la cérémonie à ce qu’il y ait réellement des rails sans SIDA. “ …Je souhaite que vous voyagiez le long du chemin de fer avec des préservatifs, non pas pour les utiliser, mais pour les donner aux autres. Vous devez être des modèles, c’est à ce prix que vous induirez une dynamique au changement de comportements ” a souligné Mme Gbagbo. Qui attend des 47 pairs éducateurs qu’ils sensibilisent également à la prévention de la transmission mère-enfant du VIH, qu’ils contribuent à la création de la génération sans SIDA en semant le long du chemin de fer l’espoir, la vie. Plus que des conseils, la marraine de la cérémonie officielle de remise des récompenses du concours de logo et de slogan du comité SIDA de SITARAIL n’a pas caché son désarroi face à l’avancée du SIDA en Côte d’Ivoire contre laquelle la carte de la multi-sectorialité devra être jouée à fond. “ Je parle et je reparle du SIDA donnant l’impression de radoter, mais la maladie nous rattrape tellement vite… ” et Mme Gbagbo de passer “ un deal ” (selon ses propres termes) avec la SITARAIL et ses pairs éducateurs. Celui de faire en sorte qu’il n’y ait pas d’Ivoiriens avec le VIH auquel cas il n’y aura pas de “ rails sans SIDA ” comme le prône le slogan du comité SIDA de SITARAIL. B. ZEGUELA
Lire l'article original : www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=11526
L’ASSMM pour une meilleure prise des malades mentaux - Le soleil - Sénégal - 17/06/02
Portée sur les fonts baptismaux il y a moins de deux, l’Association sénégalaise pour le suivi et l’assistance de malades mentaux (ASSMM) a initié un programme en direction de ses membres. Sa création est à mettre à l’actif de Ansoumana Ndione qui entendait trouver une solution définitive au cas de son frère malade. Promis pourtant au grade de médecin, il délaisse les amphithéâtres pour se consacrer exclusivement à soulager son frère. Malgré sa petite expérience dans ce domaine, Ansoumana Ndione se fixera comme objectif de sensibiliser la population sur la santé mentale. Ainsi, la première initiative est de concocter une tournée nationale de sensibilisation. Au cours de cette tournée, nombre de malades mentaux ont été recensés et les autorités, les chefs coutumiers et religieux rencontrés par les membres de la jeune association. M. Ndione comprend que la sensibilisation passe par l’organisation de conférences publiques. Les thèmes choisis recoupent les aspects de la santé mentale. Et ont trait à la responsabilité de la société face à la situation des malades mentaux, la promotion de la santé mentale et le rôle des médiats avec l’appui de l’organisation mondiale de la Santé (OMS). Le dynamisme de l’ASSMM semble être récompensé du fait que l’OMS inscrive dans son agenda, pour l’année 2001, une journée consacrée à la santé mentale. Ainsi, la journée mondiale de la santé allait porter sur la santé mentale. Ce qui fera dire au président de l’ASSMM que l’OMS a voulu rectifier le tir pour dédier une journée à la Santé mentale, à l’instar des autres pathologies. L’association va connaître une nouvelle consécration avec le congrès panafricain de santé mentale qui s’est tenue dans notre capitale en mars dernier. Ce qui prouve, aux yeux de M. Ndione, l’importance que les populations, les autorités commencent à accorder à la santé mentale. La sensibilisation reste certes un premier palier. Mais il convient également de prodiguer des soins aux malades mentaux dans les rues. C’est ainsi qu’un nouveau programme est mis en branle afin de contribuer à la réintégration de ces malades dans la société. L’ASSMM poursuit un programme encore plus ambitieux pour le bénéfice des malades. Celui-ci devrait consister en leur prise en charge dans un centre d’accueil que l’association va construire dans le bassin arachidier. Un terrain a d’ailleurs été gracieusement offert par l’ancien maire de Kaolack, Ibrahima Béye. Ce programme de réinsertion, érigé en priorité, va permettre aux malades mentaux de trouver leur place dans la vie active. “ Il est vrai que la maladie mentale, remarque M. Ndione, ne se guérit pas en un mois ni en deux, mais c’est un traitement qui nécessite une grande patience. C’est pourquoi il faut tout un soutien de la famille, des autorités et des professionnels de la santé ”. La jeune Association rencontre, malgré ses nobles ambitions, de nombreuses difficultés. Notamment pour la prise en charge. M. Ndione déplore cependant le manque de soutien. Des nombreuses demandes d’audience ont été adressées au chef de l’Etat sur qui l’association compte pour mettre en œuvre ce vaste programme de suivi et d’assistance aux malades mentaux. Des partenaires privés sont prêts à l’aider, souligne le président. MB. JACQUES DIOP
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Communiqué de presse OMS/46 - 95 % d’efficacité pour le nouveau traitement contre la leishmaniose viscérale - 17/06/02
L’Inde homologue le premier médicament par voie orale contre la leishmaniose viscérale, une maladie mortelle de la pauvreté. Lire
Produits en santé de la reproduction : Les gouvernements interpellés pour une meilleure implication - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 17/06/02
Des gouvernements qui intègrent les produits en santé de la reproduction que sont les préservatifs et autres contraceptifs dans la liste des médicaments essentiels afin que ceux-ci soient disponibles partout comme les aspirines et autre nivaquine. Des gouvernements qui renforcent les investissements en sécurisation des produits en santé de la reproduction par l’inscription de lignes budgétaires, des mesures de détaxation, de mobilisation des ressources afin que par exemple la direction de la coordination du programme ivoirien de santé de la reproduction et planning familial ne soit pas confrontée à une rupture (voir Frat-Mat du mercredi dernier) à cause des restrictions financières d’un donateur. Ce sont là les grandes lignes des recommandations faites par l’atelier régional sur la sécurisation des produits en santé de la reproduction que la directrice de la division africaine du FNUAP Mme Fama Anne, épouse Bas, a clôturé le jeudi dernier. L’atelier est organisé par la représentation du FNUAP en Côte d’Ivoire dirigée par Mme Tamany Safir. Après quatre jours d’échanges, la centaine de participants à cet atelier venue de 25 pays d’Afrique francophone, de Madagascar, des Îles Comores, Sao Tomé Principe, Trinida et Tobago, a milité toujours en faveur du plaidoyer et de l’appui du FNUAP et autres partenaires. Mais elle recommande surtout que les gouvernements de leurs pays respectifs s’engagent beaucoup plus dans la mobilisation des ressources pour que “les millions de femmes des pays en voie de développement aient accès aux contraceptifs et autres produits essentiels pour assurer la santé en matière de reproduction”. Le FNUAP aide les pays, à leur demande, à améliorer les services de santé en matière de reproduction et de planification familiale, y compris la prévention du VIH. Mais ce n’est pas pour autant que ces pays-là ne devraient pas chercher à diversifier leur source d’approvisionnement et de financement. Et pourquoi ne pas créer leur propre ligne budgétaire comme l’atelier le souhaite. La Côte d’Ivoire semble quant à elle résolue à améliorer la sécurisation des produits en santé de la reproduction. Le représentant du ministre de la Santé publique à la cérémonie de clôture de l’atelier régional a déclaré que la Côte d’Ivoire s’engage à traduire en actes les recommandations de la réunion d’Abidjan. B. ZEGUELA
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TÉLÉ-SIDA : La collecte de fonds se poursuit avant leur remise officielle prochaine - Internetgabon - Gabon - 17/06/02
A l'initiative de la Jeune chambre économique du Gabon, en partenariat avec le PNLS, l'émission "Télé-Sida" visait aussi à réunir des contributions financières destinées à appuyer le Fonds national de Solidarité SIDA. POUR les organisateurs du dernier "Télé-Sida", en l'occurrence la Jeune chambre économique du Gabon (JCEG), en partenariat avec le Programme national de lutte contre de Sida et les MST (PNLS/MST), cette manifestation a largement dépassé les attentes. Destinée à participer par la sensibilisation et à l'information sur l'ampleur que cette pandémie prend dans le pays, et à susciter en même un élan de générosité à travers la collecte d'aides pour soutenir toute initiative participant à ce combat, la manifestation avait pour cadre la première chaîne nationale de télévision qu'elle avait occupée... sept heures d'horloge. Durant tout ce temps, la thématique de l'émission centrée sûre Sida s'est révélée d'une richesse incommensurable dans le cas précis du Gabon. Le ministre de la Santé publique et de la Population ne s'est d'ailleurs pas trompé en accordant un intérêt particulier à cette initiative. Ainsi, il avait, en prélude à cette émission, reçu en audience les membres de la Jeune chambre économique du Gabon et ceux du Programme national de lutte contre le Sida à qui il a donné un aperçu des proportions de cette maladie au Gabon qui se situent aujourd'hui autour d'une séroprévalence de l'ordre de 7,7%Des chiffres d'autant plus alarmants que le ministre Boukoubi les voient "en deçà même de la réalité". De l'épidémiologie aux avortements clandestins (cause de stérilité et éventuellement de Sida) en passant par l'engagement des pouvoirs publics, des associations et ONG, de l'Église et d'autres entités contre le fléau de la pandémie du Sida, les téléspectateurs ont pu apprécier à leur juste valeur la qualité et la pertinence des informations livrées par les différents spécialistes invités sur le plateau dans une approche de pédagogie active et dynamique. C'est ainsi par exemple que s'agissant de la prise en charge des malades les téléspectateurs auront été informés de l'existence à Libreville de trois centre assurant cette fonction. Il s'agit de la Médecine A du Centre hospitalier de Libreville (CHL), du Centre de traitement ambulatoire qui est situé dans l'enceinte même du CHL et de la Fondation Jeanne Ebori où le service concerné est assuré par les docteurs Irène Mistoul, Chantal Nzamba et Marie-Madeleine Okome. Ces trois premiers points de prise en charge vont être prochainement renforcés avec la création, selon le souci du gouvernement, dans chaque capitale provinciale des centres de même type. Mais dans cette lutte contre le Sida, comme de nombreux téléspectateurs l'ont relevé, l'implication des associations et confessions religieuses est loin d'être négligeable. Et c'est un euphémisme. Sur le terrain s'activent dans des actions dynamiques des associations comme l'Agass, le MGBEF, le Sida Zéro, la SWASS, l'Association Conscience, la Croix-Rouge et justement la JCEG, iniatrice de l'émission "Télé-Sida". Une synergie d'actions qu' a saluée le président l'Organisation locale membre (OLM) Libreville Ebène, M. Crépin Ebè Mba qui la juge nécessaire pour tonifier ce vaste mouvement de lutte. Au titre des contributions, notamment la collecte des fonds, le sénateur Servais Reteno Issembe, représentant le président national de la jeune Chambre (M. Désiré Guedon, empêché) a annoncé que les remises sont toujours recevables au siège de la structure à Nombakélé et au compte JCEG/TELE-SIDA n° 09070 078694 001/68. Le remise officielle de ces fonds fera l'objet d'une importante cérémonie qui pourrait se dérouler le 21 juin prochain. Source : Journal l'Union du 17/06/2002
Lire l'article original : www.internetafrica.com/gabon/actu/actu_17062002g.htm
Lancement officiel de la Prise en charge intégrée des maladies de l'enfant : des approches pour réduire la mortalité infantile - beningate - Bénin - 17/06/02
Le ministre de la Santé publique, Mme Yvette Céline Seignon Kandissounon, a procédé le vendredi 14 juin à Parakou; à la cérémonie officielle du lancement de la mise en œuvre de la stratégie de la Prise en charge intégrée des maladies de l'enfant (Pcime) et la clôture de la 1ère session de la formation des prestataires en Pcime dans le Borgou et l'Alibori. Sketchs, animations des groupes folkloriques, rien n'a été oublié ce vendredi soir, pour donner à l'événement tout son éclat. En procédant à la cérémonie marquant le lancement officiel de la mise en œuvre de la Pcime, le ministre de la Santé publique, Mme Yvette Céline Seignon Kandissounon, a noté que les soins curatifs ne suffisent à eux seuls pour réduire la mortalité infantile. "Les enfants, a fait remarquer Madame la ministre, continuent de payer de lourds tributs dans les affections comme le paludisme, les infections respiratoires, la rougeole, la diarrhée et la malnutrition. Madame la ministre tient à remercier les partenaires au développement en particulier l'Oms (Organisation mondiale de la santé) pour son appel en vue de la mise en œuvre de la stratégie de la Prise en charge intégrée des maladies de l'enfant (Pcime). Le préfet Zourkarneymi Toungouh, dont les départements accueillent l'événement parce que identifiés comme le site d'induction de la Pcime au Bénin, se félicite de l'importance de cette initiative qui relève de la volonté du gouvernement béninois de donner tous les soins aux enfants". Nombreux sont encore les enfants de moins de 5 ans qui meurent des affections diverses, a souligné le préfet Zourkarneymi Toungouh. Pour le directeur départemental de la santé, le docteur Soulé Abdoulaye, le moment est propice pour marquer un arrêt en vue de faire une évaluation sur la mise en œuvre du Pcime dans le Borgou et l'Alibori. (Le Matinal)
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Don de matériel de réanimation à l’HOGGY par les hôpitaux de Chartres - Le soleil - Sénégal - 17/06/02
L’Hôpital Général de Grand-Yoff (HOGGY) devrait débuter une réhabilitation de son service d’anesthésie réanimation, notamment sa salle de réveil des opérés récents, avec la réception d’un important lot d’équipements hospitaliers, dont des respirateurs de réanimation offerts par les hôpitaux de Chartres (France). Les deux établissements hospitaliers sont liés par une convention de jumelage signée en avril 2001. Outre le service d’anesthésie réanimation, une partie du matériel va équiper le service des Urgences et le bloc chirurgical. “Cet appui des hôpitaux de Chartes entre parfaitement dans le cadre tracé par le projet d’établissement de l’HOGGY, validé en début d’année, et qui est le seul des hôpitaux de Dakar”, a expliqué M. Saliou Diallo, Directeur de l’HOGGY. D’ailleurs une délégation des hôpitaux de Chartres est actuellement à Dakar pour une visite de travail auprès du staff de l’HOGGY. La délégation française, dirigée par M. Michel Calmont, est composée deux techniciens de haut niveau, M. Humblot, ingénieur bio-médical, et Mme Baron, technicienne spécialisée en soins infirmiers. “Il y a une volonté réelle de la part de la direction et des différents personnels de l’HOGGY pour mener à bien leur projet d’établissement”, a indiqué M. Calmont qui s’est félicité de la création d’un site Internet de l’hôpital. Ce site devrait permettre un échange de données entre les structures hospitalières de Chartres, parmi les cinquante groupes hospitaliers les plus performants de France, et l’HOGGY. La Coopération Française (CF) a d’ailleurs promis d’allouer 400 millions de francs au projet d’établissement de l’HOGGY. F. DIAW
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Journée de l’enfant africain : Plus de 30% des naissances ne sont pas déclarées - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 17/06/02
Plus de 30% des enfants ne sont pas inscrits sur les registres de l’Etat civil en Côte d’Ivoire. En plus, le taux de mortalité infantile ne cesse d’augmenter. Il y a trop d’enfants victimes du VIH/SIDA, trop d’enfants sont déscolarisés et victimes de maltraitance et d’exploitation en tous genres. C’est ce qu’a déclaré hier, M. Désiré Gilbert Koukoui, président du forum des ONG et associations d’aide à l’enfance en difficulté à l’occasion de la commémoration de la journée de l’enfant africain qui a eu lieu au Palais de la Culture, à Treichville. Cette année, le gouvernement ivoirien met l’accent sur la déclaration des naissances à l’Etat civil. Mettant en relief le fait que le 16 juin soit la journée de l’enfant africain et la fête des pères, M. Koukoui a exhorté les chefs de famille à plus de responsabilités afin d’assurer une bonne éducation à leur progéniture Dans son plaidoyer en faveur des enfants, le président du forum des ONG a demandé aux gouvernants de tenir leurs promesses. Toutes choses qui garantiront une éducation de qualité, une protection des enfants contre les maux tels que le vih/sida, et permettront d’avoir un monde digne des enfants, l’avenir. Le représentant de la représentante résidente de l’UNICEF, en Côte d’Ivoire, M. Félix Akébo, jetant un regard critique sur le taux de mortalité infantile et maternelle, sans oublier celui de la déscolarisation qui sont élevés, a dressé un bilan négatif. Cependant, il a assuré les partenaires à l’éducation des enfants du soutien inconditionnel de l’UNICEF. Le président du Parlements des enfants a salué le gouvernement ivoirien pour avoir ratifié des conventions internationales relatives aux droits des enfants. Il a souhaité par ailleurs que des actions soient entreprises pour vulgariser les droits des enfants, les adultes de demain. Enfin, le président du parlement des enfants, Drissa Akou, a demandé que les décideurs donnent un siège au parlement des enfants sur le nouveau site de l’Assemblée nationale à Yamoussoukro. C. MAMADOU
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La lettre d'OMS Niger - Niger - 15/06/02

La recherche en santé au Niger. Lire

Journée de ratissage Polio. Lire

Sans blagues, on a entendu des phrases comme celles-ci chez le pharmacien :
«Je voudrais de la vitamine V C, s’il vous plaît»
«Le radiologue m’a dit que je souffrais d’une hernie fiscale» (discale)
«Donnez-moi une crème, je fais une égérie au soleil» (allergie)
«Pouvez-vous m’indiquer l’adresse d’un médecin apiculteur?» (acuponcteur)
«Je voudrais une bombe pour tuer les acadiens» (acariens)
«Vous avez quelque chose pour soigner ma faune intestinale?» (flore)
«De l’eau oxygénée en 20 volts, s’il vous plaît!» «Il me faudrait un savon pour soigner ma silicose» (mycose)
«Je voudrais de l’aspirine américaine» (UpSA) «Un tube d’aspirine Côte du Rhône, s.v.p.» (Usine du Rhône)
«Vous avez de la cire de bourrique pour soigner les pieds?» (acide borique)
«Vous avez des culottes en caoutchouc périodique?»

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