L'actualité de la santé tropicale Juin 2002 | |||
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Coopération sénégalo-britannique: 4 cases de santé construites par AFRICARE dans le Rip - Le soleil - Sénégal - 18/06/02 | ||
L'ambassadeur
du Royaume britannique, Son Excellence Alan Bruner a été jeudi, l'hôte du
département de Nioro où il s'est rendu pour procéder à l'inauguration de
quatre cases de santé dans les villages de Keur Abdou Boury, Niangué Keur
Ali Samba, Dertady et Ndienguène Keur Ali Dié, tous situés dans l'arrondissement
de Paoskoto. L'ambassadeur Alan Bruner était accompagné du sous préfet de
cet arrondissement, Hamady Diongue, du député Ablaye Bâ, du représentant
résident de l'Ong Africare, Michael Carson, du coordonnateur régional de
Kaolack de la même Ong, Boubacar Sow et du médecin chef adjoint du district
sanitaire de Nioro, le docteur Magaye Diassé. Bien que comptant un peu plus
de 600 villages, il n'en demeure pas moins que le département de Nioro est
une zone défavorisée en matière de santé. En fait, on n'y compte seulement
17 postes de santé. Ce qui peut constituer une situation alarmante aux yeux
des populations qui n'ont plus que le Miséricordieux pour les préserver
de certaines maladies. D'ailleurs, le tableau dressé par le Dr. Diassé n'est
pas reluisant, quand on sait que la couverture vaccinale des enfants de
0 à moins de 11 mois est de 62,73 %, les femmes enceintes ayant pris plus
de deux vaccins anti-tétaniques (41,38 %), la prévalence contraceptive (4
%), le taux de couverture en CPN 3, (19,59 %) et le taux d'accouchements
assistés ne dépasse guère les 26, 25, %. D'où la nécessité de renforcer
ces structures en milieu rural. Ce qu'a peut-être compris l'Ong Africare
qui a bien voulu réaliser et équiper ces quatre cases de santé dans ces
villages. En effet, à travers son programme de santé communautaire dans
la région de Kaolack, Africare n'a d'autre ambition que de chercher à améliorer
les conditions sanitaires des populations, par la réduction de la morbidité
et de la mortalité maternelle et infantile au niveau de 12 villages centres
et 40 communautés environnantes. Selon le coordonnateur Boubacar Sow, ces
projets proposent une approche intégrée du développement des entreprises
rurales et des soins de santé, en renforçant les capacités des communautés
de base, par la création d'activités génératrices de revenus qui assurent
à leur tour, la pérennisation des services de santé. Le projet de santé
communautaire de Nioro, finance dans le cadre de la collaboration entre
Africare et l'ambassade de Grande Bretagne au Sénégal, vient en appui, à
la politique de décentralisation des soins de santé primaires du gouvernement
du Sénégal. Conçu et exécuté par Africare, ce projet, d'une durée de 30
mois, bénéficie d'une subvention britannique de 22 millions de francs. Le
programme de Nioro s'inscrit, selon toujours Boubacar Sow, dans le cadre
d'un partenariat entre Africare et les populations bénéficiaires et vise
à améliorer la couverture sanitaire des populations de 16 villages par la
construction et l'équipement de ces quatre cases de santé. “Il faut également
y ajouter la mise en œuvre d'un programme d'IEC, l'offre de service de santé,
la formation et le recyclage ; des différents intervenants, le suivi et
l'évaluation ”, souligne Boubacar Sow. C'est en 2001 que l'Ong Africare
s'est engagé à construire 12 cases de santé dans des villages n'ayant pas
accès aux soins de santé et formé plus de 50 agents sanitaires, matrones
et relais ont été aussi formés par Africare. Dans la zone de Nioro, les
populations du village de Keur Abdou Boury étaient obligées de parcourir
les 10 km qui les séparent de Nioro-commune pour se faire soigner.“ Maintenant,
grâce à Africare, dont l'intervention participe de l'amélioration de nos
conditions de vie, nous enlève une épine du pied et nous en remercions ses
dirigeants ”, indique le chef du village, Mamath Touré. Dans le village
de Nianguène 1, Keur Ali Samba, la délégation a été accueillie par l'hymne
national chanté par les élèves du village. Malheureusement, l'étape ne sera
que de courte durée car, c’est le matin même, avant l’arrivée des hôtes,
que l'imam de la localité a été rappelé à Dieu. Au village de Ndianguène
Keur Aly Dié, la cérémonie a été rendue agréable malgré la chaleur, par
la prestation de la troupe théâtrale de Kaolack “Réveil Tamsir Ndiaye” qui
a produit une pièce sur la santé pour mieux sensibiliser les populations
sur la nécessité de bannir certaines pratiques et se diriger vers les structures
de santé. L'acteur fétiche de cette troupe, Meïssa a encore fait parler
de lui par son talent de comédien et son savoir-faire. Pour sa part et au
terme de sa visite, l'ambassadeur Alan Bruner s'est dit très impressionné
par le sens civique des populations rencontrées. “Voilà des gens qui mesurent
à sa juste valeur ce que l'Ong Africare vient de leur donner. Et pour le
prouver, ces populations ont elles-mêmes construit les bâtiments en guise
d'apport. Et cela est très bien et me réconforte quand on sait que le suivi
nécessaire sera fait”, a indiqué Alan Bruner pour qui cette action d'Africare
vient renforcer les efforts du gouvernement du Sénégal en matière de santé.
BABACAR DIENG Lire l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=14876&index__edition=9611 |
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HOUET : XIes journées des sciences de la santé : "Pathologies émergentes et réémergentes : prise en charge" - sidwaya - Burkina Faso - 18/06/02 | ||
Les
journées des sciences de la santé de Bobo-Dioulasso ont tenu cette année
leurs XIes assises sur le thème des pathologies émergentes et réémergentes.
Il faut entendre par là, des maladies comme le VIH-Sida, la fièvre Ebola,
la tuberculose, le choléra, la diphtérie, la trypanosomose, etc. Selon le
secrétaire permanent de ces journées, environ 175 personnes du monde médical
ont pris part aux travaux. Elles sont venues de plusieurs districts sanitaires
du Burkina (Houet, Kadiogo, Oubritenga, Kourwéogo, Kossi, Kénédougou), d'autres
pays tels que le Tchad, le Mali, la Côte d'Ivoire, la France. Individuellement
ou par groupe, ce sont des études de cas et des communications qui ont été
soumises au débat et à la critique collective. A l'ordre du jour, la méningite,
la tuberculose, le paludisme, le VIH/Sida bien sûr et autres cas cliniques.
Les questions de pollution chimique, de gestion et de financement des systèmes
de santé, la prise en charge des malades étaient aussi sur la table des
échanges, ainsi que des questions de médecine traditionnelle et de méthodologie.
Les JSSB ont encore été marquées par ce qui les particularisent : la participation
aux travaux à la fois de sommités nationales et internationales de la médecine,
du personnel soignant des formations sanitaires, l'ouverture aux associations
à vocation sanitaire et au grand public. Au cœur du forum édition 2002,
s'inscrivaient le paludisme et le VIH/Sida. La XIe édition qui a choisi
de se pencher sur les graves problèmes de santé publique liés à l'actualité
semble annoncer ainsi l'importance que les JSSB prendront à l'avenir. Face
au thème général dont il a souligné l'originalité, le secrétaire général
du ministère de la Santé, le Dr Jean Gabriel Waongo, a indiqué aux différents
chercheurs que "vos communications scientifiques, vos expériences individuelles
et collectives, vos compétences nous permettront de nous poser quelques
questions que vous allez sans doute aborder". Pour sa part, le secrétaire
permanent des journées J. Bosco Ouédraogo, s'est félicité du soutien du
gouvernement et des partenaires au développement tels l'OMS, l'UNICEF, la
Suisse, la France ... Au nom des bailleurs de fonds, le premier secrétaire
de l'ambassade de France a promis que les JSSB seront toujours soutenues.
La plus grande distinction instaurée par les initiateurs des JSSB, le prix
Myriam Petit Jean, est revenu à Fatou Ouattara et Moussa Kaboré. La première
a traité de la question "Kaliya en milieu rural sénoufo : pathologie émergente
?". Le second a traité de : "Etude sur les facteurs qui déterminent l'implication
de la population dans la lutte contre le VIH/Sida à Kourinion". Ce prix
a une valeur de 200 000 FCFA. Jean Luc BONKIAN Lire l'article original : www.sidwaya.bf/sid18_06_02/ville_village.htm |
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Cheikh Tidiane Coulibaly (Cellule de lutte contre la malnutrition): “Le nouveau programme cible davantage le monde rural” - Le soleil - Sénégal - 18/06/02 | ||
Les 29 et 30 mai 2002, un atelier de validation du manuel de mise en œuvre du Programme de renforcement de la nutrition (PRN) s’est tenu à l’hôtel Ngor Diarama. Le PRN vise notamment, sur une période de 10 ans (2003–2013), “l’amélioration du statut nutritionnel des groupes vulnérables à savoir les enfants âgés de moins de 3 ans, les femmes enceintes et les mères allaitantes”. Le programme est financé par la Banque mondiale. Lire | ||
Adzopé : L’hôpital général attend l’équipement de son bloc opératoire - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 18/06/02 | ||
Si
à Adzopé tout le monde s’accorde à reconnaître que l’hôpital général a réalisé
des progrès notables dans maints domaines (accueil des malades, personnel
étoffé notamment au niveau des médecins), force est de reconnaître que cette
formation dont la création remonte à 1956 est réellement sous-équipée. En
effet, cet hôpital souffre énormément de l’absence d’un service de radiologie
et d’un bloc opératoire équipé. A ce niveau, il faut noter que le bâtiment
existe bel et bien. Il a été construit depuis plus de quatre (04) années.
Mieux, on y a même affecté un chirurgien généraliste et un anesthésiste
depuis 1999. Ceux-ci, faute d’un bloc opératoire équipé, opèrent sur une
table de fortune. En effet, docteur Eboï Désiré le, chirurgien et son collaborateur
ont, en moins de quatre ans, sauvé la vie à plus de six cents (600) malades
qu’ils ont opérés. Aujourd’hui, malgré leur dévouement, ils sont obligés
d’évacuer les femmes en grossesse dont l’état nécessite une césarienne à
Abidjan. Tout simplement parce que l’hôpital est dépourvu de bloc opératoire
équipé. A cela, il faut ajouter l’absence de services d’échographie, de
pédiatrie et de gynécologie. Triste décor tout de même, quand on sait que
cette région n’est située qu’à moins de 100 km d’Abidjan et qu’elle a en
son sein de nombreux médecins au nombre desquels de hauts chirurgiens de
toutes sortes. C’est pourquoi, tout un chacun ici, populations, directeurs,
personnel technique de santé et autres, lance un appel pressant au gouvernement
afin qu’il fasse de l’équipement du bloc opératoire son cheval de bataille.
AMBROISE N’DOCHO Lire l'article original : www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=11515 |
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Enfants en situation difficile: Une association au chevet des orphelins du sida - Le soleil - Sénégal - 18/06/02 | ||
Les
enfants affectés ou infectés par le VIH/SIDA, ou ceux qui sont, dans un
sens plus large, en situation difficile, ont, depuis peu de semaines, une
nouvelle association à leur chevet, en l’occurrence, l’Association d’Assistance
aux Enfants en Situation difficile (AASED), qui a son siège à l’Institut
d’Hygiène Sociale (IHS) de Dakar. C’est exactement le 24 avril dernier que
l’AASED a été mise sur pied par une soixantaine de bonnes volontés de divers
horizons professionnels et sociaux, lors d’une assemblée générale constitutive
tenue à Dakar. Sa présidente est une assistante sociale, Mme Thioye née
Marie Cissé. Celle-ci est une dame qui s’est beaucoup investie - les mots
sont bien pesés - dans la prévention du VIH/SIDA et l’aide psychosociale
de personnes de groupes vulnérables de tous les âges, ainsi que leur entourage,
touchés par ce mal. Son engagement en faveur des victimes du VIH/SIDA au
Sénégal date de plus d’une décennie. Mme Thioye officie, depuis août 1977,
à Dakar, comme assistante sociale à l’Institut d’Hygiène Sociale au service
des maladies sexuellement transmissibles (MST). Elle s’est, pendant longtemps,
occupée des prostituées pour les aider à changer de comportement, à se prévenir
contre l’infection à VIH et à apporter un soutien psychosocial à celles
qui sont affectées ou infectées par le VIH. “Nous avions, depuis quelques
années, commencé à nous investir dans la prise en charge des enfants orphelins
du SIDA qui sont au nombre de 20.000 environ au Sénégal”, nous a confié
Mme Thioye, qui souligne, au passage, l’engagement bénévole et fort appréciable
du Dr Ngagne Mbaye, pédiatre et d’autres praticiens. La prise en charge
des orphelins du SIDA nécessite une synergie de bonnes volontés et nous
avons obtenu l’accès aux ARV et l’accueil d’une centaine d’enfants dans
des orphelinats ou des centres d’accueil”, explique-t-elle. D'ici 2010,
dans les pays africains les plus touchés, environ un cinquième des enfants
de moins de 15 ans sera constitué d’orphelins, selon l’UNICEF. Quelque 800.000
enfants de moins de 15 ans sont infectés par le sida en Afrique, chaque
année, et 14 millions d'enfants de la même tranche d'âge sont orphelins
à cause de la pandémie. “Nous allons bientôt installer des cellules régionales
notamment à Louga et Matam. Ensuite, nous ferons de même dans d’autres capitales
régionales”, indique Mme Thioye. Une caisse de solidarité a été mise en
place au bénéfice de ces enfants en situation difficile, notamment les enfants
orphelins chefs de famille. Cette caisse est gérée par le Dr Ibrahima Traoré
de l’IHS. Elle devrait permettre, avec le concours d’autres bonnes volontés,
la mise en place de micro-projets individuels ou collectifs générateurs
de revenus et également la prise en charge nutritionnelle. Outre la présidente,
Mmme Thioye Marie Cissé, le bureau de l’AASED compte parmi ses membres,
Mme Mame Yacine Thiam Wardini (assistante sociale), secrétaire générale,
le Dr Ngagne Mbaye (médecin), président de la commission médicale, FARA
DIAW Lire l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=14842&index__edition=9611 |
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Communiqué de presse OMS/48 - L’oms lance un projet de prévention de la cécité chez l’enfant - 18/06/02 | ||
Genève
– La cécité frappe un enfant toutes les minutes dans le monde. La moitié
de ces cas pourrait être évitée, ce qui signifie qu’il est possible de préserver
la vue de 250 000 enfants chaque année. L'Organisation mondiale de la Santé
annonce aujourd’hui le lancement d’un projet de prévention de la cécité
chez l’enfant, avec l’appui financier de la Fondation internationale du
Lions Club, sous les auspices de son programme SightFirst. « Le don du Lions
de 3,75 millions de dollars US représente un grand pas en avant dans l’élimination
des cas de cécité évitables chez l’enfant, a déclaré le docteur Derek Yach,
Directeur exécutif de Maladies non transmissibles. L’OMS se félicite de
la contribution de la Fondation internationale du Lions Club. » Sur les
cinq cent mille enfants qui deviennent aveugles chaque année, trois sur
cinq meurent soit des causes de leur cécité, soit d’autres carences. On
estime à 1,5 million le nombre actuel d’enfants aveugles. Comme l’explique
le docteur Gro Harlem Brundtland, Directeur général de l'Organisation mondiale
de la Santé : « Ce n’est pas seulement faire œuvre de charité que d’investir
pour les enfants dès les premières années : c’est aussi le meilleur moyen
d’assurer le développement à long terme, particulièrement lorsqu’il s’agit
de la vue. » En chiffres absolus, la perte de vision dans les populations
âgées est un phénomène plus important mais en termes « d’années de cécité
», son poids dans l’enfance vient en second après la cataracte, la cause
la plus importante de cécité dans le monde. La cécité et les déficiences
visuelles graves ont de lourdes conséquences sur le plan social, économique
et personnel. Lorsqu’elles surviennent chez l’enfant, elles dressent en
outre des obstacles à son développement au moment de sa formation. Les approches
par les soins de santé primaire, comme la vaccination contre la rougeole
et la rubéole, l’amélioration de la nutrition, notamment pour la vitamine
A, la prophylaxie des infections oculaires chez le nouveau-né, gonococcie
par exemple, le fait d’éviter les médicaments nocifs pour les yeux sont
des mesures qui contribuent toutes à minimiser le risque de cécité infantile.
Les interventions chirurgicales s’imposent pour certaines pathologies comme
la cataracte, les opacités cornéennes et le glaucome de l’enfant. En dehors
des besoins en formation spécialisée destinée aux chirurgiens devant traiter
ces états, le dépistage précoce et l’accès renforcé aux traitements sont
des éléments essentiels pour éviter les lésions oculaires irréversibles
chez l’enfant. La correction des défauts de réfraction et la prestation
de soins en cas de vision trop faible sont également des actions à entreprendre.
A tous les niveaux, le travail en équipe conditionne le succès. Ce projet
d’une durée de cinq ans portera sur la formation du personnel de santé en
matière de prévention, de détection précoce et de traitement dans 30 pays
répartis dans toutes les régions de l’OMS. Il créera également dans ces
pays des « centres de vision pour l’enfant ». Tandis que l'Organisation
mondiale de la Santé sera l’organisme d’exécution du projet, les Etats Membres,
les membres du Lions Club International à tous les niveaux et d’autres organisations
non gouvernementales participeront aux activités. Lire l'article original : www.who.int/inf/fr/cp-2002-48.html |
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Lutte contre le Sida : Mme Gbagbo aux cheminots: “Semez la vie tout le long des rails...” - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 18/06/02 | ||
“
Des rails sans SIDA ”, c’est le slogan retenu par la Société ivoirienne
de Transport ferroviaire(SITARAIL) pour son comité de lutte contre le SIDA.
Et le logo adopté est celui de l’entreprise assortie du ruban rouge symbole
de l’engagement contre la pandémie du siècle. La SITARAIL dirigée par M.
Abdelaziz Thiam a rendu publics hier après-midi, les résultats du concours
qui a donné ce slogan et ce logo à son comité SIDA, en présence de l’épouse
du chef de l’Etat Mme Simone Ehivet Gbagbo. Marraine de cette cérémonie
qui était placée sous la présidence de Mme Assana Sangaré, ministre délégué
chargé de la lutte contre le SIDA. Le 1er prix de ce concours a été remporté
par M. Agan Kouassi Julien et Konan N’Da Norbert respectivement pour le
slogan et le logo. A l’enveloppe de 300.000F prévue par la SITARAIL pour
chacun des deux lauréats, Mme Gbagbo y a ajouté 250.000. Soit un prix de
550.000F pour les deux lauréats. Aux 200.000F des seconds, la marraine a
ajouté 150.000F et aux 100.000F des 3è, la somme de 100.000F au comité SIDA
de SITARAIL ce sont 200 tee-shirts et 800 préservatifs qui ont été offerts
par Mme Gbagbo pour la SITARAIL avec ces 1642 agents travaillant le long
de 1260 kms de chemin de fer et dans 20 locomotives, le combat contre le
SIDA qui a commencé depuis 1996 ne fait que se renforcer avec cette cérémonie.
Qui a vu la prestation de serment de 47 cheminots pairs éducateurs formés
en juin 2001 et qui devraient œuvrer selon la marraine de la cérémonie à
ce qu’il y ait réellement des rails sans SIDA. “ …Je souhaite que vous voyagiez
le long du chemin de fer avec des préservatifs, non pas pour les utiliser,
mais pour les donner aux autres. Vous devez être des modèles, c’est à ce
prix que vous induirez une dynamique au changement de comportements ” a
souligné Mme Gbagbo. Qui attend des 47 pairs éducateurs qu’ils sensibilisent
également à la prévention de la transmission mère-enfant du VIH, qu’ils
contribuent à la création de la génération sans SIDA en semant le long du
chemin de fer l’espoir, la vie. Plus que des conseils, la marraine de la
cérémonie officielle de remise des récompenses du concours de logo et de
slogan du comité SIDA de SITARAIL n’a pas caché son désarroi face à l’avancée
du SIDA en Côte d’Ivoire contre laquelle la carte de la multi-sectorialité
devra être jouée à fond. “ Je parle et je reparle du SIDA donnant l’impression
de radoter, mais la maladie nous rattrape tellement vite… ” et Mme Gbagbo
de passer “ un deal ” (selon ses propres termes) avec la SITARAIL et ses
pairs éducateurs. Celui de faire en sorte qu’il n’y ait pas d’Ivoiriens
avec le VIH auquel cas il n’y aura pas de “ rails sans SIDA ” comme le prône
le slogan du comité SIDA de SITARAIL. B. ZEGUELA Lire l'article original : www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=11526 |
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L’ASSMM pour une meilleure prise des malades mentaux - Le soleil - Sénégal - 17/06/02 | ||
Portée
sur les fonts baptismaux il y a moins de deux, l’Association sénégalaise
pour le suivi et l’assistance de malades mentaux (ASSMM) a initié un programme
en direction de ses membres. Sa création est à mettre à l’actif de Ansoumana
Ndione qui entendait trouver une solution définitive au cas de son frère
malade. Promis pourtant au grade de médecin, il délaisse les amphithéâtres
pour se consacrer exclusivement à soulager son frère. Malgré sa petite expérience
dans ce domaine, Ansoumana Ndione se fixera comme objectif de sensibiliser
la population sur la santé mentale. Ainsi, la première initiative est de
concocter une tournée nationale de sensibilisation. Au cours de cette tournée,
nombre de malades mentaux ont été recensés et les autorités, les chefs coutumiers
et religieux rencontrés par les membres de la jeune association. M. Ndione
comprend que la sensibilisation passe par l’organisation de conférences
publiques. Les thèmes choisis recoupent les aspects de la santé mentale.
Et ont trait à la responsabilité de la société face à la situation des malades
mentaux, la promotion de la santé mentale et le rôle des médiats avec l’appui
de l’organisation mondiale de la Santé (OMS). Le dynamisme de l’ASSMM semble
être récompensé du fait que l’OMS inscrive dans son agenda, pour l’année
2001, une journée consacrée à la santé mentale. Ainsi, la journée mondiale
de la santé allait porter sur la santé mentale. Ce qui fera dire au président
de l’ASSMM que l’OMS a voulu rectifier le tir pour dédier une journée à
la Santé mentale, à l’instar des autres pathologies. L’association va connaître
une nouvelle consécration avec le congrès panafricain de santé mentale qui
s’est tenue dans notre capitale en mars dernier. Ce qui prouve, aux yeux
de M. Ndione, l’importance que les populations, les autorités commencent
à accorder à la santé mentale. La sensibilisation reste certes un premier
palier. Mais il convient également de prodiguer des soins aux malades mentaux
dans les rues. C’est ainsi qu’un nouveau programme est mis en branle afin
de contribuer à la réintégration de ces malades dans la société. L’ASSMM
poursuit un programme encore plus ambitieux pour le bénéfice des malades.
Celui-ci devrait consister en leur prise en charge dans un centre d’accueil
que l’association va construire dans le bassin arachidier. Un terrain a
d’ailleurs été gracieusement offert par l’ancien maire de Kaolack, Ibrahima
Béye. Ce programme de réinsertion, érigé en priorité, va permettre aux malades
mentaux de trouver leur place dans la vie active. “ Il est vrai que la maladie
mentale, remarque M. Ndione, ne se guérit pas en un mois ni en deux, mais
c’est un traitement qui nécessite une grande patience. C’est pourquoi il
faut tout un soutien de la famille, des autorités et des professionnels
de la santé ”. La jeune Association rencontre, malgré ses nobles ambitions,
de nombreuses difficultés. Notamment pour la prise en charge. M. Ndione
déplore cependant le manque de soutien. Des nombreuses demandes d’audience
ont été adressées au chef de l’Etat sur qui l’association compte pour mettre
en œuvre ce vaste programme de suivi et d’assistance aux malades mentaux.
Des partenaires privés sont prêts à l’aider, souligne le président. MB.
JACQUES DIOP Lire l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=14816&index__edition=9610 |
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Communiqué de presse OMS/46 - 95 % d’efficacité pour le nouveau traitement contre la leishmaniose viscérale - 17/06/02 | ||
L’Inde homologue le premier médicament par voie orale contre la leishmaniose viscérale, une maladie mortelle de la pauvreté. Lire | ||
Produits en santé de la reproduction : Les gouvernements interpellés pour une meilleure implication - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 17/06/02 | ||
Des
gouvernements qui intègrent les produits en santé de la reproduction que
sont les préservatifs et autres contraceptifs dans la liste des médicaments
essentiels afin que ceux-ci soient disponibles partout comme les aspirines
et autre nivaquine. Des gouvernements qui renforcent les investissements
en sécurisation des produits en santé de la reproduction par l’inscription
de lignes budgétaires, des mesures de détaxation, de mobilisation des ressources
afin que par exemple la direction de la coordination du programme ivoirien
de santé de la reproduction et planning familial ne soit pas confrontée
à une rupture (voir Frat-Mat du mercredi dernier) à cause des restrictions
financières d’un donateur. Ce sont là les grandes lignes des recommandations
faites par l’atelier régional sur la sécurisation des produits en santé
de la reproduction que la directrice de la division africaine du FNUAP Mme
Fama Anne, épouse Bas, a clôturé le jeudi dernier. L’atelier est organisé
par la représentation du FNUAP en Côte d’Ivoire dirigée par Mme Tamany Safir.
Après quatre jours d’échanges, la centaine de participants à cet atelier
venue de 25 pays d’Afrique francophone, de Madagascar, des Îles Comores,
Sao Tomé Principe, Trinida et Tobago, a milité toujours en faveur du plaidoyer
et de l’appui du FNUAP et autres partenaires. Mais elle recommande surtout
que les gouvernements de leurs pays respectifs s’engagent beaucoup plus
dans la mobilisation des ressources pour que “les millions de femmes des
pays en voie de développement aient accès aux contraceptifs et autres produits
essentiels pour assurer la santé en matière de reproduction”. Le FNUAP aide
les pays, à leur demande, à améliorer les services de santé en matière de
reproduction et de planification familiale, y compris la prévention du VIH.
Mais ce n’est pas pour autant que ces pays-là ne devraient pas chercher
à diversifier leur source d’approvisionnement et de financement. Et pourquoi
ne pas créer leur propre ligne budgétaire comme l’atelier le souhaite. La
Côte d’Ivoire semble quant à elle résolue à améliorer la sécurisation des
produits en santé de la reproduction. Le représentant du ministre de la
Santé publique à la cérémonie de clôture de l’atelier régional a déclaré
que la Côte d’Ivoire s’engage à traduire en actes les recommandations de
la réunion d’Abidjan. B. ZEGUELA Lire l'article original : www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=11495 |
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TÉLÉ-SIDA : La collecte de fonds se poursuit avant leur remise officielle prochaine - Internetgabon - Gabon - 17/06/02 | ||
A
l'initiative de la Jeune chambre économique du Gabon, en partenariat avec
le PNLS, l'émission "Télé-Sida" visait aussi à réunir des contributions
financières destinées à appuyer le Fonds national de Solidarité SIDA. POUR
les organisateurs du dernier "Télé-Sida", en l'occurrence la Jeune chambre
économique du Gabon (JCEG), en partenariat avec le Programme national de
lutte contre de Sida et les MST (PNLS/MST), cette manifestation a largement
dépassé les attentes. Destinée à participer par la sensibilisation et à
l'information sur l'ampleur que cette pandémie prend dans le pays, et à
susciter en même un élan de générosité à travers la collecte d'aides pour
soutenir toute initiative participant à ce combat, la manifestation avait
pour cadre la première chaîne nationale de télévision qu'elle avait occupée...
sept heures d'horloge. Durant tout ce temps, la thématique de l'émission
centrée sûre Sida s'est révélée d'une richesse incommensurable dans le cas
précis du Gabon. Le ministre de la Santé publique et de la Population ne
s'est d'ailleurs pas trompé en accordant un intérêt particulier à cette
initiative. Ainsi, il avait, en prélude à cette émission, reçu en audience
les membres de la Jeune chambre économique du Gabon et ceux du Programme
national de lutte contre le Sida à qui il a donné un aperçu des proportions
de cette maladie au Gabon qui se situent aujourd'hui autour d'une séroprévalence
de l'ordre de 7,7%Des chiffres d'autant plus alarmants que le ministre Boukoubi
les voient "en deçà même de la réalité". De l'épidémiologie aux avortements
clandestins (cause de stérilité et éventuellement de Sida) en passant par
l'engagement des pouvoirs publics, des associations et ONG, de l'Église
et d'autres entités contre le fléau de la pandémie du Sida, les téléspectateurs
ont pu apprécier à leur juste valeur la qualité et la pertinence des informations
livrées par les différents spécialistes invités sur le plateau dans une
approche de pédagogie active et dynamique. C'est ainsi par exemple que s'agissant
de la prise en charge des malades les téléspectateurs auront été informés
de l'existence à Libreville de trois centre assurant cette fonction. Il
s'agit de la Médecine A du Centre hospitalier de Libreville (CHL), du Centre
de traitement ambulatoire qui est situé dans l'enceinte même du CHL et de
la Fondation Jeanne Ebori où le service concerné est assuré par les docteurs
Irène Mistoul, Chantal Nzamba et Marie-Madeleine Okome. Ces trois premiers
points de prise en charge vont être prochainement renforcés avec la création,
selon le souci du gouvernement, dans chaque capitale provinciale des centres
de même type. Mais dans cette lutte contre le Sida, comme de nombreux téléspectateurs
l'ont relevé, l'implication des associations et confessions religieuses
est loin d'être négligeable. Et c'est un euphémisme. Sur le terrain s'activent
dans des actions dynamiques des associations comme l'Agass, le MGBEF, le
Sida Zéro, la SWASS, l'Association Conscience, la Croix-Rouge et justement
la JCEG, iniatrice de l'émission "Télé-Sida". Une synergie d'actions qu'
a saluée le président l'Organisation locale membre (OLM) Libreville Ebène,
M. Crépin Ebè Mba qui la juge nécessaire pour tonifier ce vaste mouvement
de lutte. Au titre des contributions, notamment la collecte des fonds, le
sénateur Servais Reteno Issembe, représentant le président national de la
jeune Chambre (M. Désiré Guedon, empêché) a annoncé que les remises sont
toujours recevables au siège de la structure à Nombakélé et au compte JCEG/TELE-SIDA
n° 09070 078694 001/68. Le remise officielle de ces fonds fera l'objet d'une
importante cérémonie qui pourrait se dérouler le 21 juin prochain. Source
: Journal l'Union du 17/06/2002 Lire l'article original : www.internetafrica.com/gabon/actu/actu_17062002g.htm |
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Lancement officiel de la Prise en charge intégrée des maladies de l'enfant : des approches pour réduire la mortalité infantile - beningate - Bénin - 17/06/02 | ||
Le
ministre de la Santé publique, Mme Yvette Céline Seignon Kandissounon, a
procédé le vendredi 14 juin à Parakou; à la cérémonie officielle du lancement
de la mise en œuvre de la stratégie de la Prise en charge intégrée des maladies
de l'enfant (Pcime) et la clôture de la 1ère session de la formation des
prestataires en Pcime dans le Borgou et l'Alibori. Sketchs, animations des
groupes folkloriques, rien n'a été oublié ce vendredi soir, pour donner
à l'événement tout son éclat. En procédant à la cérémonie marquant le lancement
officiel de la mise en œuvre de la Pcime, le ministre de la Santé publique,
Mme Yvette Céline Seignon Kandissounon, a noté que les soins curatifs ne
suffisent à eux seuls pour réduire la mortalité infantile. "Les enfants,
a fait remarquer Madame la ministre, continuent de payer de lourds tributs
dans les affections comme le paludisme, les infections respiratoires, la
rougeole, la diarrhée et la malnutrition. Madame la ministre tient à remercier
les partenaires au développement en particulier l'Oms (Organisation mondiale
de la santé) pour son appel en vue de la mise en œuvre de la stratégie de
la Prise en charge intégrée des maladies de l'enfant (Pcime). Le préfet
Zourkarneymi Toungouh, dont les départements accueillent l'événement parce
que identifiés comme le site d'induction de la Pcime au Bénin, se félicite
de l'importance de cette initiative qui relève de la volonté du gouvernement
béninois de donner tous les soins aux enfants". Nombreux sont encore les
enfants de moins de 5 ans qui meurent des affections diverses, a souligné
le préfet Zourkarneymi Toungouh. Pour le directeur départemental de la santé,
le docteur Soulé Abdoulaye, le moment est propice pour marquer un arrêt
en vue de faire une évaluation sur la mise en œuvre du Pcime dans le Borgou
et l'Alibori. (Le Matinal) Lire l'article original : www.beningate.com/breves67.htm |
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Don de matériel de réanimation à l’HOGGY par les hôpitaux de Chartres - Le soleil - Sénégal - 17/06/02 | ||
L’Hôpital
Général de Grand-Yoff (HOGGY) devrait débuter une réhabilitation de son
service d’anesthésie réanimation, notamment sa salle de réveil des opérés
récents, avec la réception d’un important lot d’équipements hospitaliers,
dont des respirateurs de réanimation offerts par les hôpitaux de Chartres
(France). Les deux établissements hospitaliers sont liés par une convention
de jumelage signée en avril 2001. Outre le service d’anesthésie réanimation,
une partie du matériel va équiper le service des Urgences et le bloc chirurgical.
“Cet appui des hôpitaux de Chartes entre parfaitement dans le cadre tracé
par le projet d’établissement de l’HOGGY, validé en début d’année, et qui
est le seul des hôpitaux de Dakar”, a expliqué M. Saliou Diallo, Directeur
de l’HOGGY. D’ailleurs une délégation des hôpitaux de Chartres est actuellement
à Dakar pour une visite de travail auprès du staff de l’HOGGY. La délégation
française, dirigée par M. Michel Calmont, est composée deux techniciens
de haut niveau, M. Humblot, ingénieur bio-médical, et Mme Baron, technicienne
spécialisée en soins infirmiers. “Il y a une volonté réelle de la part de
la direction et des différents personnels de l’HOGGY pour mener à bien leur
projet d’établissement”, a indiqué M. Calmont qui s’est félicité de la création
d’un site Internet de l’hôpital. Ce site devrait permettre un échange de
données entre les structures hospitalières de Chartres, parmi les cinquante
groupes hospitaliers les plus performants de France, et l’HOGGY. La Coopération
Française (CF) a d’ailleurs promis d’allouer 400 millions de francs au projet
d’établissement de l’HOGGY. F. DIAW Lire l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=14789&index__edition=9610 |
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Journée de l’enfant africain : Plus de 30% des naissances ne sont pas déclarées - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 17/06/02 | ||
Plus
de 30% des enfants ne sont pas inscrits sur les registres de l’Etat civil
en Côte d’Ivoire. En plus, le taux de mortalité infantile ne cesse d’augmenter.
Il y a trop d’enfants victimes du VIH/SIDA, trop d’enfants sont déscolarisés
et victimes de maltraitance et d’exploitation en tous genres. C’est ce qu’a
déclaré hier, M. Désiré Gilbert Koukoui, président du forum des ONG et associations
d’aide à l’enfance en difficulté à l’occasion de la commémoration de la
journée de l’enfant africain qui a eu lieu au Palais de la Culture, à Treichville.
Cette année, le gouvernement ivoirien met l’accent sur la déclaration des
naissances à l’Etat civil. Mettant en relief le fait que le 16 juin soit
la journée de l’enfant africain et la fête des pères, M. Koukoui a exhorté
les chefs de famille à plus de responsabilités afin d’assurer une bonne
éducation à leur progéniture Dans son plaidoyer en faveur des enfants, le
président du forum des ONG a demandé aux gouvernants de tenir leurs promesses.
Toutes choses qui garantiront une éducation de qualité, une protection des
enfants contre les maux tels que le vih/sida, et permettront d’avoir un
monde digne des enfants, l’avenir. Le représentant de la représentante résidente
de l’UNICEF, en Côte d’Ivoire, M. Félix Akébo, jetant un regard critique
sur le taux de mortalité infantile et maternelle, sans oublier celui de
la déscolarisation qui sont élevés, a dressé un bilan négatif. Cependant,
il a assuré les partenaires à l’éducation des enfants du soutien inconditionnel
de l’UNICEF. Le président du Parlements des enfants a salué le gouvernement
ivoirien pour avoir ratifié des conventions internationales relatives aux
droits des enfants. Il a souhaité par ailleurs que des actions soient entreprises
pour vulgariser les droits des enfants, les adultes de demain. Enfin, le
président du parlement des enfants, Drissa Akou, a demandé que les décideurs
donnent un siège au parlement des enfants sur le nouveau site de l’Assemblée
nationale à Yamoussoukro. C. MAMADOU Lire l'article original : www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=11497 |
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La lettre d'OMS Niger - Niger - 15/06/02 | ||
La recherche en santé au Niger. Lire Journée de ratissage Polio. Lire Sans
blagues, on a entendu des phrases comme celles-ci chez le pharmacien : |
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