Médecine
traditionnelle : Sacrée mais aussi savante - Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire- 20/05/2003 |
La semaine promotionnelle de la médecine
traditionnelle qui s'est tenue récemment au club municipal de Cocody,
a été ponctuée par une conférence sur le thème: "La médecine traditionnelle
face aux enjeux de la mondialisation". Pour le modérateur, le Pr Antoine
Yangni-Angaté qui préside l'ONG de promotion des médecines traditionnelles
PROMETRA-CI, "la médecine traditionnelle qui soulage près de 80% des
populations africaines, relève de notre patrimoine culturel d'une
part et d'autre part, elle est économiquement abordable et facilement
accessible". D'où la nécessité affirmée par les différents orateurs
d'opérer un inventaire exhaustif de notre patrimoine floral et botanique.
En outre, les tradi-praticiens se sont élevés contre "le prisme réducteur
dans lequel veulent inscrire la phytothérapie, certains laboratoires
obnubilés par la logique financière au détriment des résultats empiriques".
De nombreux intellectuels et chercheurs tels que Bernard B. Dadié,
Tchotch Mel, Pr Avoli, Dr Aka Félix ont indiqué que les tradi-praticiens
ne doivent que s'organiser pour susciter une législation les valorisant
pour être en phase avec la mondialisation. RÉMI COULIBALY
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=19971 |
Linguère
- Accouchements à domicile et grossesses à risque : 52 villages en
mal d'infrastructures sanitaires - Le
Sud - Sénégal - 20/05/2003 |
Comment assurer une bonne couverture sanitaire aux 10.000 habitants
des 52 villages de la communauté rurale de Thiamène Maïmouna. Populations,
élus locaux et prestataire de soins sont préoccupés par la situation
marquée par une forte tendance aux accouchements à domicile, les
grossesses précoces, la persistance du paludisme et la prolifération
des maladies hydriques. Avec un seul poste de santé, six cases de
santé, un infirmier d'Etat et trois forages, une école à cycle complet
fortement concurrencée par les écoles coraniques, peut-on espérer
sortir de cette situation ? Lire la suite
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KAOLACK
: 62 cas de tests positifs au Sida - Le
Sud - Sénégal - 20/05/2003 |
La région médicale a enregistré 62 cas de test positif au VIH Sida
sur 505 personnes reçues jusqu'au 30 avril dernier, annonce une
source proche de cette structure médicale ajoutant qu'au centre
de dépistage volontaire 26 hommes sur 198 et 36 femmes sur 302 sont
concernés. La séroprévalence de la population générale tourne autour
de 1,2 pour cent mais elle est, a-t-on précisé vendredi au cours
de la présentation du nouveau plan stratégique de lutte contre le
sida (2002-2006), de 0,8 pour cent chez les donneurs de sang, 1,2
pour cent chez les femmes enceintes, 7 pour cent chez les tuberculeux
et 37 pour cent chez les prostituées contre une moyenne nationale
de 12 pour cent. Par ailleurs, depuis 2001, la région dispose de
médicaments antirétroviraux (Arv), selon des sources proches de
la région médicale indiquant que de juin 2002 à mai 2003, 55 des
165 malades étaient sous Arv dont 4 décès et 3 disparus de vue.
Le secrétaire exécutif du Conseil National de Lutte contre le Sida,
le Dr. Ibra Ndoye, s'est félicité à l'occasion de cette " bonne
prise en charge des malades dans la région "' et a assuré que des
dispositions seront prises pour permettre également et dans les
meilleurs délais, que chaque malade puisse être traité dans sa région.
Selon lui, le nouveau plan stratégique de lutte contre le sida (2002-2006)
adopté par le gouvernement, a une approche multisectorielle et offre
un cadre d'interventions de tous les acteurs. Ce plan a été élaboré,
selon le Dr. Ndoye, en relation avec la société civile et le secteur
privé conformément aux recommandations de la session spéciale en
décembre 2002 pour le renforcement des actions de lutte et leur
coordination non plus au niveau des Ministères mais de la Primature
ou de la Présidence. Ainsi au Sénégal, souligne-t-il, le comité
national a été remplacé par un conseil national dont la Primature
assure désormais la présidence et la Santé de la vice-présidence.
Le plan, selon Dr. Ndoye, comporte beaucoup d'activités et de stratégies
nouvelles. Son schéma décentralisé avec des missions de sélection
de projets, de suivi et de facilitation, rendra, estime-t-il, plus
fonctionnels les comités régionaux. Parmi les nouvelles stratégies,
figurent la prévention de la transmission mère-enfant du virus et
le programme de dépistage volontaire. Pour l'une, il s'agit de renforcer
la prévention chez les femmes enceintes afin de minorer l'infection
des nouveau-nés et pour l'autre, de lever ce voile de l'ignorance
qui contribue, selon le Dr. Ndoye, à développer l'infection car,
10 pour cent seulement des personnes dans les pays connaissent leur
statut sérologique. Financé par la Banque mondiale, le nouveau programme
de lutte contre le sida vise, selon le secrétariat exécutif national,
à capitaliser les résultats obtenus depuis 1986 mais surtout en
cette phase très critique de la pandémie au Sénégal, à élargir ces
acquis afin qu'elle ne se généralise jamais en restant en dessous
des 3 pour cent de séroprévalence. Aps
Lire l'article original : http://www.sudonline.sn/Rubriques%20Infos/Société/societe3-20052003.htm
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A
KOLDA : La lutte contre le sida s'organise - Walfadjri
- Sénégal - 19/05/2003 |
Comme Ziguinchor où la prévalence
est d'à peu près 2 %, la région de Kolda connaît, elle aussi, une
promiscuité marquée qui incite à des mesures préventives plus accrues.
D'où l'appel du docteur Ibra Ndoye à mieux organiser la riposte à
l'avancée de la maladie dans le Fouladou. Lire
la suite |
A
KAOLACK : Des malades disposent d'anti-rétroviraux - Walfadjri
- Sénégal - 19/05/2003 |
De juin 2002 à mai 2003,
55 des 165 malades recensés à Kaolack étaient sous Arv, dont 4 décès
et 3 disparus de vue. Une prise en charge qui devrait être étendue
aux malades des autres régions. La région médicale a enregistré 62
cas de test positif au Vih/sida sur 505 personnes reçues jusqu'au
30 avril dernier, annonce une source proche de cette structure médicale,
ajoutant qu'au centre de dépistage volontaire, 26 hommes sur 198 et
36 femmes sur 302 sont concernés. La séroprévalence de la population
générale tourne autour de 1,2 %, mais elle est, a-t-on précisé vendredi
dernier au cours de la présentation du nouveau plan stratégique de
lutte contre le sida (2002-2006), de 0,8 % chez les donneurs de sang,
1,2 % chez les femmes enceintes, 7 % chez les tuberculeux et 37 %
chez les prostituées, contre une moyenne nationale de 12 %. Par ailleurs,
depuis 2001, la région dispose de médicaments anti-rétroviraux (Arv),
selon des sources proches de la région médicale indiquant que, de
juin 2002 à mai 2003, 55 des 165 malades étaient sous Arv, dont 4
décès et 3 disparus de vue. Le secrétaire exécutif du Conseil national
de lutte contre le sida, le Dr Ibra Ndoye, s'est félicité, à l'occasion,
de cette "bonne prise en charge des malades dans la région" et a assuré
que des dispositions seront prises pour permettre également, et dans
les meilleurs délais, que chaque malade puisse être traité dans sa
région. Selon lui, le nouveau plan stratégique de lutte contre le
sida (2002-2006) adopté par le gouvernement a une approche multisectorielle
et offre un cadre d'interventions de tous les acteurs. Ce plan a été
élaboré, selon le Dr. Ndoye, en relation avec la société civile et
le secteur privé, conformément aux recommandations de la session spéciale
en décembre 2002 pour le renforcement des actions de lutte, et leur
coordination se fait non plus au niveau des ministères, mais de la
primature ou de la présidence. Ainsi, au Sénégal, souligne-t-il, le
comité national a été remplacé par un conseil national dont la primature
assure désormais la présidence et le ministère de la Santé la vice-présidence.
Le plan, selon le Dr. Ndoye, comporte beaucoup d'activités et de stratégies
nouvelles. Son schéma décentralisé avec des missions de sélection
de projets, de suivi et de facilitation, rendra, estime-t-il, plus
fonctionnels les comités régionaux. Parmi les nouvelles stratégies,
figurent la prévention de la transmission mère-enfant du virus et
le programme de dépistage volontaire. Pour l'une, il s'agit de renforcer
la prévention chez les femmes enceintes afin de minorer l'infection
des nouveau-nés et, pour l'autre, de lever ce voile de l'ignorance
qui contribue, selon le Dr Ndoye, à développer l'infection, car 10
% seulement des personnes dans les pays connaissent leur statut sérologique.
Financé par la Banque mondiale, le nouveau programme de lutte contre
le sida vise, selon le secrétariat exécutif national, à capitaliser
les résultats obtenus depuis 1986, mais surtout en cette phase critique
de la pandémie au Sénégal, à élargir ses acquis afin qu'elle ne se
généralise jamais en restant en dessous des 3 % de séroprévalence
Lire l'article original : http://www.walf.sn/societe/suite.php?rub=4&id_art=1776
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ZIGUINCHOR
: Des médicaments disponibles pour traiter le sida - Walfadjri
- Sénégal - 18/05/2003 |
(Correspondance) - Un pas important vient
d'être franchi à Ziguinchor dans la lutte contre le sida. Depuis la
semaine dernière, les premiers médicaments antirétroviraux ont été
remis aux autorités qui ont par ailleurs procédé à l'inauguration
du premier centre de dépistage volontaire. Deux initiatives importantes
dans une région où le taux de prévalence du sida est supérieur à la
moyenne nationale. Coincée entre la Gambie et la Guinée-Bissau où
ce taux est élevé, la région de Ziguinchor est assez exposée à la
maladie, avec le déplacement des populations à la faveur de la fluidité
des frontières. A cela s'ajoutent le développement du tourisme et
la crise casamançaise qui fragilise les populations et les mettent
dans des situations à risque, comme le développement de la prostitution.
Avec ces médicaments, les porteurs du virus ont ainsi l'opportunité
de se soigner sur place au lieu de se déplacer jusqu'à Dakar pour
suivre le traitement. Les autorités médicales mobilisées autour du
plan stratégique de lutte contre le sida qui prend fin en 2006 ont
fait cas de l'inexistence à Ziguinchor d'une association regroupant
les porteurs du virus. Selon le secrétaire exécutif du Conseil national
de lutte contre le sida, le docteur Ibra Ndoye, nous voulons être
beaucoup plus efficaces, il faut faire en sorte qu'il y ait dans les
régions des associations dont l'action contribuera à maîtriser davantage
la situation. Celle des personnes vivant avec le Vih est jugée essentielle
en ce qu'elle peut aider à la sensibilisation des populations. Par
: Mamadou Pape MANE
Lire l'article original : http://www.walf.sn/societe/suite.php?rub=4&id_art=1747
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Recherche
scientifique : Koné Mamadou veut restructurer les centres -
Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire- 17/05/2003 |
Dans le cadre de ses visites
de prise de contact avec les institutions sous sa tutelle, le ministre
Koné Mamadou de la Recherche scientifique était hier au Centre ivoirien
de recherche économique et sociale (CIRES). Le ministre a profité
de cette visite pour annoncer sa volonté de restructurer les centres
de recherche, de les rendre autonomes avec un budget conséquent, de
manière à adapter aux besoins de la recherche scientifique. Les ressources
humaines n'échappent pas aux réformes du ministre Koné Mamadou. A
ce niveau, le premier responsable de la Recherche scientifique compte
faire un plan de carrière pour les chercheurs. Aussi, veut-il faire
un inventaire des ressources humaines afin d'étoffer les effectifs.
Un séminaire de la recherche scientifique qui traitera de tous les
problèmes qui minent le secteur aura lieu bientôt à Abidjan. L'annonce
en a été faite par le ministre Koné Mamadou. M. Mama Ouattara, directeur
du CIRES, s'est félicité de la visite du ministre, et pense qu'elle
marque le départ de la résolution des nombreux problèmes auxquels
son centre est confronté. MARC YEVOU
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=19924 |
Inauguration
à Nkayi et à Sibiti de deux centres de transfusion sanguine
- Les
dépêches de Brazzaville - Congo - 17/05/2003 |
Le poste de transfusion sanguine (PTS)
de Nkayi (Bouenza) et le dépôt de sang de Sibiti (Lékoumou) ont été
officiellement inaugurés le 14 mai par des représentants du ministère
de la Santé et de l'ambassade de France en présence des autorités
des deux villes. La réhabilitation du poste de transfusion a été réalisée
dans le cadre du projet d'appui à la " lutte contre le sida et la
tuberculose, politique du médicament " signé en juillet 1998 entre
la France et le Congo pour un montant de 1 milliard de F CFA. Cette
opération, qui s'inscrit dans un vaste programme de remise à niveau
du réseau régional de sécurité transfusionnelle financé par la France,
doit permetre de lutter efficacement contre la transmission du sida.
Signalons que cet appui a permis au Centre national de transfusion
sanguine (CNTS) d'étendre son réseau à Dolisie, Ewo, Gamboma, Impfondo,
Ouesso, Abala, Oyo, Kinkala et Owando. Cette inauguration avait été
précédée par la restauration des capacités de production de sang et
des dérivés du CNTS et du centre régional de transfusion de Pointe-Noire.
Lire l'article original : http://www.brazzaville-adiac.com/html/ba_article.php?DEP_CODE=3351
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Le
ministre Toikeusse réceptionne le don de l'OMS - Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire- 17/05/2003 |
Le siège de l'OMS à Cocody-les-deux-plateaux,
a servi de cadre, hier, à une cérémonie de don de matériels et d'équipements
de l'organisation onusienne au ministère de la Santé et de la Population.
Le Dr Mame Thierno Aby Sy (représentant-résident de l'OMS en Côte
d'Ivoire), a indiqué que ces outils (informatiques, logistiques et
audio-visuels) " sont destinés aux programmes de lutte contre l'ulcère
de Buruli et contre le ver de Guinée et celui de la promotion de la
médecine traditionnelle ". En outre, l'Organisation mondiale de la
santé a doté le ministère de la Santé de quatre véhicules pour le
programme de surveillance et de lutte contre l'onchocercose et cédé
sa station de recherche sur les insecticides de Soubré et la base
aérienne d'Odienné à la Côte d'Ivoire. Se réjouissant de " cet appui
visant à la prévention et à la promotion de la santé publique, solution
à l'éradication de nombreuses pathologies ", le ministre d'Etat, ministre
de la Santé, le Dr Mabri Toikeusse, a relevé l'intérêt que l'OMS porte
" à l'avenir des générations futures par un assainissement de l'environnement".
Perche qu'a saisi le Dr Mame Thierno pour offrir près de 10.000 livres
illustrés de préventions aux écoliers ivoiriens. En partance pour
l'Assemblée mondiale de la santé, qui s'ouvre le 19 mai à Genève,
le ministre a émis le vœu que l'OMS y définisse un cadre formel adopté
à la cohabitation " médecine traditionnelle-médecine moderne ", pour
optimiser les dons reçus. Il faut noter que le Dr Christine Adjobi
(ministre de la lutte contre le sida sera aussi présente au sommet
de Genève. RÉMI COULIBALY
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=19920 |
LARTIC
- L'express
- Madagascar - 16/05/2003 |
La faculté de Médecine de
l'université d'Antananarivo vient d'être dotée d'un nouveau laboratoire
dénommé Lartic ou Laboratoire d'appui à la recherche et technologie
de l'information et de la communication. Ce laboratoire est constitué
de 3 unités, à savoir la Conception étude réalisation à vocation médicale
ou Cervomed, servant à fournir des bases de données et des supports
didactiques multimédias, des statistiques, à traiter des images et
photos médicales ainsi que des signaux analogiques, à fournir également
une banque de données et images et à effectuer des recherches bibliographiques.
Le Commed ou Centre omniproduction multimédia médical est la deuxième
unité, qui servira à produire des supports didactiques multimédias
sur CD-Rom, vidéo-cassette, audio-cassette et diapositives, à réaliser
la micro-édition des thèses, des mémoires et des publications et à
dispenser la formation en micro-informatique. Enfin, le Cybermed ou
le centre d'internet nécessaire à la navigation et la connexion sur
e-mail. La mise en place de ce laboratoire informatique est indispensable
pour les chercheurs, étant donné que les Tics peuvent leur être utiles
au système de santé. Par ailleurs, les enseignants-chercheurs pourront
également bénéficier d'une formation professionnelle, grâce à l'interactivité
autorisée par l'ordinateur et échanger les connaissances entre eux
par le biais de l'internet. L'inauguration du laboratoire s'est déroulée
hier à Antsakaviro, en présence du ministre de l'Enseignement supérieur
Théodore Ranjivason et d'autres personnalités du monde de l'université
d'Antananarivo. Cette manifestation entre dans le cadre des journées
de la faculté de Médecine, qui a vu la remise des prix aux 3 premiers
majors de chaque promotion d'étudiants, de la 1ère à la 6ème année
de médecine, la décoration des professeurs agrégés et du personnel
méritant de la faculté à Ankatso : Ramalala
Lire l'article original : http://www.lexpressmada.com/article.php?id=12278&r=4&d=2003-05-16 |
Lutte
contre le sida : Un fonds de soutien envisagé - Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire- 16/05/2003 |
Le rideau est tombé, mercredi
dernier, au stade municipal de Yopougon sur les premières journées
de sensibilisation aux IST/VIH/SIDA en milieu scolaire, initiées depuis
le 28 avril dernier par la Direction de l'extra-scolaire et des activités
coopératives (DESAC). C'est dans une ambiance de fête que la Première
dame, Mme Simone Gbagbo, marraine de la cérémonie, s'est adressée
aux nombreux écoliers et élèves (environ 6000) venus des dix communes
d'Abidjan. Lire la suite |
Université
de Ouagadougou : 15 licenciés professionnalisés en sciences de la
santé - L'observateur
Paalga - Burkina Faso - 15/05/2003 |
Après 3 années de formation
à l'Unité de formation et de recherche en sciences de la santé (UFR/SDS),
15 récipiendaires, licenciés professionnalisés en analyses biomédicales
nous ont convié le samedi 10 mai 2003 dans l'amphithéâtre B de l'université
de Ouagadougou pour leur sortie de promotion qui est, par ailleurs,
la toute première. La filière des techniciens supérieurs de santé,
option analyses biomédicales, a été ouverte en novembre 1998 au sein
de l'UFR/SDS et forme en 3 années des licenciés professionnalisés;
outre les matières de base que sont la bactériologie-virologie, la
biochimie, l'hématologie, l'immunologie et la parasitologie, les étudiants
bénéficient de l'enseignement de certaines matières fondamentales
que sont la biologie, la chimie, la physiologie, la zoologie entre
autres. La cérémonie a été présidée par le ministre des Enseignements
secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique, Laya Sawadogo
en présence d'autres éminents enseignants dont le Pr Sanou Amadou,
directeur de ladite unité. Notons que la création d'une filière en
analyses biomédicales répond à certains objectifs spécifiques au plan
pédagogique : former des cadres intermédiaires ayant une grande compétence
en biologie humaine et en techniques d'analyses biomédicales, aptes
donc à travailler au compte des laboratoires d'analyses médicales,
centres de recherche, centres universitaires ou dans des industries
agro-alimentaires. Les candidats doivent être titulaires d'un baccalauréat
série D ou C et pour le concours professionnel, il concerne les analystes
médicaux ayant au moins trois années d'expérience. La promotion, parainée
par le Pr Guigemdé Robert Tinga, a formulé des doléances au ministre
de tutelle. Il s'agit notamment de l'octroi d'un quota de bourses
à la filière et de bourses d'excellence aux plus méritants pour des
formations spécifiques, la possibilité de poursuivre les études dans
les filières biologiques de l'UFR/SVT entre autres choses. Philippe
Bama
Lire l'article original : http://www.lobservateur.bf/debq.htm
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Journées
de la faculté de médecine - L'express
- Madagascar - 15/05/2003 |
Les journées de la faculté de Médecine
ont débuté hier au Hilton Madagascar, avec des communications scientifiques
sur les maladies les plus fréquentes à Madagascar et dans lesquelles
les internats qualifiants se sont spécialisés. Ces communiqués rendaient
compte des recherches médicales et des expériences acquises par les
étudiants en médecine et les internats de la faculté en matière de
traitement des maladies cardio-vasculaires, du paludisme, des infections
respiratoires et autres... Une exposition sur les activités de la
faculté de médecine d'Antananarivo, des laboratoires de recherche,
des pharmacies et des organismes partenaires s'en est suivie. Les
journées de la faculté de médecine sont une manifestation organisée
par la faculté même, en collaboration avec l'association "Andrin'ny
mpianatra ho dokotera eto Madagasikara" ou Amdm, présidée par Arizaka
Rabesoa. Elles ont pour objectif de promouvoir les relations entre
les étudiants en médecine, les enseignants-chercheurs, les opérateurs
et les organismes partenaires nationales et internationales; de montrer
la solidarité entre ces différentes entités de mieux coordonner les
projets de recherche médicale et de faire connaître au public toutes
les activités menées au sein de la faculté de Médecine. Au programme
de ce jour figure l'inauguration du laboratoire "Larctique" sis à
la faculté de médecine d'Antsakaviro. Equipé de matériels informatiques,
il est destiné aux étudiants et enseignants-chercheurs. Elle sera
suivie de la cérémonie officielle qui se déroulera à Ankatso, et de
la journée de l'Amdm dans le local du Conaco 4. Ramalala
Lire l'article original : http://www.lexpressmada.com/article.php?id=12244&r=4&d=2003-05-15 |
Maladies
cardiovasculaires : Ces grandes tueuses au Sénégal - Le
Sud - Sénégal - 14/05/2003 |
Les Sénégalais meurent beaucoup des suites de maladies cardiovasculaires.
Après le paludisme, selon toutes probabilités, c'est la deuxième
cause de mortalité au Sénégal. Ces maladies dites de l'opulence
et de mal développement continuent de tuer hommes et femmes de tous
âges. Les maladies cardiovasculaires constituent la deuxième cause
de mortalité au Sénégal, après le paludisme. En effet, ces maladies
dites de l'opulence et du mal développement ont un taux de prévalence
en forte émergence et en rapide progression au Sénégal. Elles arrivent
en seconde position dans l'ordre des maladies qui font le plus de
victimes au Sénégal. Du moins, c'est le sentiment du Pr Abdoul Bâ,
cardiologue, en service à la clinique cardiologique de l'hôpital
Aristide Le Dantec. Même si, dit-il, il n'y a pas encore de statistiques
établies sur la question. Essentiellement, il s'agit de l'hypertension
artérielle, du diabète et des maladies cardiaques. D'ailleurs, aujourd'hui
la tendance est à la disparition des maladies infectieuses et parasitaires
qui laissent ainsi la place aux maladies cardiovasculaires. Comme
c'est le cas, dans les pays développés, où il n'existe plus de maladies
liées à l'hygiène et à la pauvreté, comme le paludisme. Au Sénégal,
les maladies cardiovasculaires sont moins fréquentes chez les populations
des zones rurales que celles des grandes villes. Souvent les causes
de l'hypertension ne sont pas connues, du moins pour 90 cas sur
100. À l'intérieur du pays, le taux de prévalence varie de 10 à
25 %. En revanche, ces pathologies distinguent moins les sexes que
l'âge des personnes. Cependant les sujets jeunes souffrent moins
de la maladie, du fait des efforts physiques qu'ils fournissent
et leur capacité de résistance cardiaque que chez les personnes
âgées. Chez la femme, la grossesse et la pilule sont deux choses
qui peuvent révéler la tension artérielle précoce. Les risques célébraux
sont également à l'origine de certaines paralysies et maladies rénales,
d'où le recours à la dialyse pour le traitement de la dernière pathologie,
qui est également un traitement à vie. Outre les prédispositions
naturelles de certains individus, les habitudes alimentaires fantaisistes
(mets à fortes doses d'ingrédients divers) et la tendance à la sédentarisation,
sont parmi les causes fréquentes des maladies cardiovasculaires
: tendance à trop consommer du sel, la consommation d'alcool, la
tendance à prendre trop de poids, etc. Au Sénégal, selon le Pr Bâ,
" les gens ont une mauvaise habitude à se laisser grossir et à ne
pas faire des efforts physiques ". Il est recommandé aux gens, dit-il,
" à défaut de pouvoir faire régulièrement des exercices physiques,
de faire, en moyenne, 35 à 45mn de marche, par jour et d'arrêter
de fumer ". Contrairement à d'autres pathologies ordinaires, les
traitements des maladies cardiovasculaires se font à vie, selon
les spécialistes. M. Mika LOM
Lire l'article original : http://www.sudonline.sn/archives/14052003.htm
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Méningite,
l'hépatite B et la fièvre jaune: 1400 journalistes et 10.000 fonctionnaires
des ministères et institutions prémunis - Le
Matinal - Bénin - 14/05/2003 |
La campagne de vaccination
contre la méningite, l'hépatite virale B et la fièvre jaune qu'organise
le ministère de la santé publique au profit des journalistes et des
fonctionnaires des institutions de la République et des ministères
depuis fin mars 2003 se poursuit. Le lundi 12 mai dernier, les fonctionnaires
du ministère des affaires étrangères et de l'intégration africaine
étaient à l'honneur.
Cadres, agents, simples employés…de cette administration ont reçu
leur dose de vaccin contre la fièvre jaune, l'hépatite B et la méningite.
Faisant le point de l'opération, le Dr. Laurent Assogba du service
de surveillance épidémiologique et sanitaire a indiqué que près de
1400 journalistes et 10.000 fonctionnaires des ministères et institutions
de la République ont été déjà vaccinées. "Cette opération qui sera
rééditée l'année prochaine avec la correction des difficultés rencontrées
(difficile circulation du message, instruision de personnes non initialement
prévues pour recevoir le vaccin…) s'étend également à toutes les structures
décentralisées de l'administration au niveau des départements", a
confié M. Laurent Assogba. Les charges afférentes à cette opération
sont prises en compte par le gouvernement.
Lire l'article original : http://nt7.h2com.com/lmo_article.cfm?article_num=6949
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Paludisme
: Le cri de ralliement du ministre de la Santé - Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire- 14/05/2003 |
A l'occasion de la commémoration de la
3ème journée africaine de lutte contre le paludisme, journée célébrée
cette année officiellement dans le village de Abli dans la commune
de Toumodi, les médecins ont une fois de plus démontré que cette autre
maladie qui continue d'être la première cause de la mortalité en Afrique
et en Côte d'Ivoire prend corps dans un environnement insalubre. D'où
l'appel du ministre d'Etat, ministre de la Santé et de la population
M. Albert Mabri Toikeusse invitant la population et les collectivités
décentralisées à s'impliquer davantage dans l'amélioration du cadre
de vie. Lire la suite |
Hôpital
régional de Kaya en chantier : Alain Yoda veille au respect des normes
- L'observateur
Paalga - Burkina Faso - 14/05/2003 |
Le 9 mai 2003, le ministre
Alain Bédouma Yoda de la Santé s'est rendu à Kaya, chef-lieu de la
province du Sanmatenga pour visiter le centre hospitalier de la région
du Centre-Nord en construction dans ladite ville. Il était accompagné
du représentant résident de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS)
au Burkina Faso, Mohamed Hacen. Dans le souci de rapprocher les populations
de la région du Centre-Nord d'infrastructures sanitaires de qualité,
l'Etat burkinabè a entrepris depuis fin 1998 la réalisation d'un nouveau
centre hospitalier régional (CHR) à Kaya. Lire
la suite |
Burkina
Faso : les pluies de l'espoir - Cameroon-tribune
- Cameroun - 13/05/2003 |
Le retour des pluies consacre la fin
de l'épidémie de méningite responsable de 1083 décès. Le nombre de
cas de méningite recensés au Burkina Faso est en nette diminution.
Du 27 avril au 4 mai dernier, les services de santé dans ce pays ont
enregistré seulement 142 cas de méningite pour 22 décès. La baisse
amorcée se confirme, reconnaît un représentant local de l'ONU. Tant
les chiffres enregistrés à la fin du mois de janvier étaient alarmants
: 7 292 cas donc 1 083 décès. La direction nationale de la médecine
préventive se frotte donc les mains et conclut à la fin de l'épidémie
dans le pays, quoi qu'un seul district, celui de Rio, reste à la traîne,
et demeure en état d'alerte maximale. Le pays se réjouit du retour
des pluies, trois semaines à l'avance. Au Burkina Faso, plus de 3
000 victimes ont été recensées ces deux dernières années. Déjà en
1993, l'épidémie avait tué officiellement 4 363 personnes et 2 460
l'année suivante. Le Burkina Faso est une zone où on ne peut pas éviter
la méningite. Le pays faisant partie de ce qui est considéré comme
la ceinture méningitique, allant de l'Ethiopie au sénégal. Le germe
de la méningite est transmis par la poussière. Il sévit dans les régions
du Sahel et dans les savanes quand souffle l'harmattan. La méningite
se manifeste par une fièvre forte et brutale, accompagnée le plus
souvent de douleurs au cou et des taches sur la peau. Après les 1800
morts enregistrés en 2001, le Burkina a espéré se prémunir d'une autre
épidémie en procédant à une large vaccination, début 2002, contre
le méningocoque A et C. Mais, il a dû faire face à l'apparition d'une
nouvelle souche, contre laquelle les laboratoires pharmaceutiques
ne disposent pas de stocks de vaccins. Les quantités insuffisantes
acquises par le gouvernement sont arrivées tard cette saison dans
les foyers épidémiques, reconnaît le ministre de la santé, Alain Yola.
A défaut des moyens de prévention, le gouvernement a mis en place
des campagnes de sensibilisation de la population. Des spots appellent
fréquemment les populations à se protéger avec des masques pendant
les déplacements à vélo et à éviter les foules. Des messages dont
l'impact est limité. La saison sèche étant pour les Burkinabés, le
temps des mariages et des funérailles. Athanase BESSALA
Lire l'article original :
http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j16052003&idart=7914&olarch=j13052003 |
Dépistage
du Vih/sida - L'express
- Madagascar - 13/05/2003 |
La formation en Counseling pré et post-test
Vih/sida, organisée par Catholic Relief Services (Crs) au profit de
18 médecins de l'Association des médecins catholiques de Madagascar
(Amcm), a pris fin vendredi dernier à Mandriambero. Cette formation
a pour objectif de préparer les médecins du projet Amcm aux activités
de dépistage du Vih, qui sera effectif avant la fin de ce mois dans
les 8 dispensaires concernés par le projet, et dont l'Amcm est responsable.
Conduite par Olga Randrianarison, chef de l'unité de Crs/Madagascar
et ancien expert international de l'Organisation mondiale de la santé
en Afrique, l'initiation constitue le point d'orgue du processus de
mise en place de ces centres de dépistage volontaire du Vih/Sida dans
les dispensaires tenus par l'Amcm. Elle a permis de mettre en exergue
l'importance primordiale d'une bonne préparation, pour annoncer le
résultat d'un test de dépistage de Vih, qu'il soit négatif ou positif.
En effet, il est à craindre que l'annonce des résultats faite sans
précaution entraîne des débordements émotionnels difficiles à gérer
par le médecin et l'entourage des personnes testées. Il est à rappeler
que Crs Madagascar a procédé à une série de formations pour rendre
l'équipe de l'Amcm opérationnelle le plus vite possible, étant donné
l'ampleur et l'urgence que prend cette lutte contre le sida à Madagascar,
et notamment la nécessité de disposer de centres de dépistage volontaire
du Vih à la portée de la population. A cette fin, la formation sur
le counseling sera menée dans tous les centres appuyés par le Crs
dans son programme de lutte contre le sida et pour commencer à Antsirabe
et dans la région d'Ilakaka. Recueillis par : Ramalala
Lire l'article original : http://www.lexpressmada.com/article.php?id=12181&r=13&d=2003-05-13 |
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