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| L'actualité |
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Notre métier d'éditeurs de revues médicales
en Afrique francophone et au Maghreb, nous amène à
suivre de très près l'actualité de la santé
de ces pays.
Nous lisons la plupart des journaux spécialisés et
sommes en contact avec de très nombreuses associations et
ONG.
Nous fréquentons aussi certains forums spécialisés.
Dans notre développement Internet, nous avons pensé
que toutes ces informations que nous recueillons quotidiennement
ne pouvaient que vous intéresser.
C'est la raison de cette rubrique que nous mettrons à jour
le plus régulièrement possible.
Afin d'être en harmonie avec la déontologie Internet,
nous vous précisons que toutes nos sources sont informées
des textes que nous leur empruntons afin de les mettre à
votre disposition dans cette rubrique.
Toutefois, comme elles le précisent elles-même pour
la plupart, nous vous prions de traiter les informations avec la
plus grande prudence et de ne pas hésiter à suivre
les liens que nous plaçons systématiquement à
la fin des articles, afin de lire le document original et de contacter,
le cas échéant, l'auteur ou le responsable de la publication.
Si vous souhaitiez exploiter autrement que pour votre propre usage,
l'une des informations de cette rubrique, nous vous demandons de
bien vouloir suivre le lien afin de récupérer le document
original et vous conseillons d'en informer les responsables.
Nous vous souhaitons d'agréables moments sur SantéTropicale.com
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L'actualité de la santé en Afrique |
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| Santé
et population : Les parlementaires s’engagent à travers leur réseau
- Le Sud - Sénégal
- 4/03/2003 |
| La lutte contre la pauvreté,
la morbidité et la mortalité maternelle et infantile, le combat contre
le Vih/Sida et contre les violences faites aux femmes, la dénonciation
sans concession des pratiques culturelles néfastes à la santé de la
mère et de la petite fille ainsi que la lutte contre les abus et l’exploitation
sexuels des enfants sont autant de maux qu’essaye de combatte le gouvernement.
Lire la suite |
| Complications
médicales de la dépigmentation artificielle : Des dermatologues sonnent
la mobilisation - Le
Soleil - Sénégal - 4/03/2003 |
| Des images fortes, frappantes,
saisissantes ... Des images qui ont fait tilt jusqu’à créer une réaction
hostile face à toute idée de pratiquer la dépigmentation artificielle.
Visage, dos, torse, cou, pieds, bras, aisselles … tout est altéré
par l’usage abusif de produits dépigmentants. Avec au finish, une
peau pas du tout gai à voir. Contrairement à l’effet d’embellissement,
unique but recherché par les pratiquants de la dépigmentation artificielle.
Il en fallait, au-delà des études réalisées çà et là, pour étayer
les complications médicales de la dépigmentation artificielle communément
appelée « khessal ». Lire la
suite |
| Prévenir
les risques sexuels - L'observateur
Paalga - Burkina Faso - 4/03/2003 |
| Depuis hier 3 mars se tient
à l’Eau vive un atelier de formation sur la prévention des risques
sexuels. Organisée par un collectif d’associations féminines du Burkina,
en partenariat avec le Mouvement français pour le planning familial
(MFPF), animateur du programme, cette session vise à renforcer les
capacités des organisations partenaires dans le domaine de la prévention
du VIH et de la santé globale en direction des femmes. Lire
la suite |
| Mauritanie
: Une fièvre virale à l'origine de 5 décès et non un médicament anti-paludéen
- Le Soleil -
Sénégal - 3/03/2003 |
NOUAKCHOTT - Une "fièvre
virale" serait à l'origine du décès, à l'hôpital de Nouakchott, de
5 personnes supposées atteintes de paludisme et que l'on croyait tuées
par le médicament anti-paludéen qu'elles avait pris, a-t-on appris
dimanche auprès d'un responsable de l'organisation mondiale de la
santé (OMS). La thèse de la "fièvre virale" a été confirmée par les
analyses faites par l'Institut Pasteur de Dakar, mais il va falloir
attendre l'avis de celui de Lyon (France) pour annoncer "la nature
du virus" et les conséquences possibles de l'épidémie, a confié à
l'AFP ce responsable sous couvert de l'anonymat. Selon la même source,
17 autres cas sont pour le moment signalés et isolés à l'hôpital épidémiologique
de Nouakchott où ils sont traités avec le maximum de précautions possible,
la contamination (au contact) étant très rapide. Cinq personnes, qu'on
supposait atteintes de paludisme, dont un médecin et un infirmier,
avaient trouvé la mort en deux jours à l'hôpital de Nouakchott, après
avoir pris un médicament anti-paludéen à base d'artésunate, une plante
médicinale. Des médecins de l'hôpital avaient mis en cause le médicament,
disponible depuis quelques mois sur le marché mauritanien, estimant
qu'il pouvait provoquer une thrombopénie (diminution du nombre de
plaquettes sanguines, fondamentales pour la coagulation du sang) et
entraîner des hémorragies. Les pharmaciens avaient cependant mis en
garde contre une "conclusion hâtive sur la base d'une simple rumeur",
affirmant que cette manifestation ne figurait pas dans la notice comme
effet possible de l'arinate, nom commercial du médicament concerné,
mis au point par les laboratoires belges Dafra Pharma.
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/santeenv/article.cfm?articles__id=24705 |
| Lutte
contre la méningite : Les réalités à Manga et à Pô - Sidwaya
- Burkina Faso - 3/03/2003 |
Sur 53 districts sanitaires
que compte le Burkina Faso, 7 ont atteint le seuil d'épidémie selon
le taux prescrit par l'OMS qui est de 10 cas pour 100 000 habitants.
Dans la campagne de lutte contre la méningite entreprise par le ministère
de la Santé et plusieurs actions ont déjà été menées. Dans la poursuite
de cette dynamique, une délégation du ministère de la Santé conduite
par son secrétaire général M. Jean Gabriel Wango et des représentants
de l'OMS au Burkina Faso ont fait le déplacement le jeudi 27 février
2003 dans les districts de Manga et de Pô. A ce jour, tous les districts
sanitaires du Burkina Faso sont touchés par la méningite. Lire
la suite |
| Epidémie
de méningite : Manga et Pô les plus touchés - L'observateur
Paalga - Burkina Faso - 3/03/2003 |
| Une mission du ministère
de la Santé conduite par M. Jean Gabriel Wango qu'accompagnait le
docteur Mohamad Hacenne, représentant de l'OMS, a effectué le jeudi
27 février dernier une sortie de supervision dans les districts sanitaires
de Manga et de Pô. Lire la
suite |
| Centre
Hospitalier de Libreville : Vers une fermeture du bloc opératoire
d'orthopédie du CHL ? - Internet
Gabon - Gabon - 2/03/2003 |
| Le Dr Jean-Jacques Allogo
Obiang, chef de ce service, n'a plus que sa seule volonté et son souci
de s'occuper des malades pour travailler. Lire
la suite |
| Chirurgie
: Les misères d'une profession - Le
Sud - Sénégal - 1/03/2003 |
| Pénurie grave de chirurgiens,
une profession dévalorisée malgré un apprentissage de douze années
après le baccalauréat pour obtenir la qualification, perte de motivation,
désaffection des jeunes pour la discipline, tels sont les maux dont
souffre la chirurgie en Afrique. C'est pour trouver des solutions
urgentes qu'une réunion de l'Académie Française de chirurgie et les
écoles francophones africaines de chirurgie s'est tenue le 26 février
à Dakar pour discuter des problèmes de la chirurgie en Afrique. Lire
la suite |
| Fièvre
Ebola : Pierre Otto-Mbongo crée un comité de solidarité pour aider
les populations de la Cuvette-ouest - Les
dépêches de Brazzaville - Congo - 1/03/2003 |
L'épidémie de fièvre hémorragique
à virus Ebola qui sévit dans la Cuvette-ouest a conduit le président
du groupe GPOM à créer un comité de solidarité qui s'est donné pour
objectif d'aider la population. Un compte ouvert à la banque COFIPA
de Brazzaville a déjà permis de recueillir 7 500 000 F CFA. Présentant
cette initiative à la presse Pierre Otto-Mbongo a déclaré : " Je pense
que cette situation devrait préoccuper à la fois la communauté nationale
et internationale. Nous devrions sentir partout dans le pays un élan
de solidarité étant donné l'ampleur des dégâts causés par cette terrible
maladie. C'est pour cela que venons de créer un comité d'action humanitaire
qui apportera son aide aux populations de la Cuvette-ouest. La situation
est en effet très grave dans cette partie du pays et je pense qu'au-delà
du Congo elle devrait préoccuper l'humanité tout entière. N'oublions
pas, en effet, que dans cette partie de notre pays se trouve la réserve
d'Odzala qui fait elle-même partie du Bassin du Congo. Cette réserve,
par les espèces protégées qu'elle renferme, revêt une importance capitale
pour l'humanité tout entière. " Rappelons qu'à ce jour l'épidémie
a causé la mort de 81 personnes au Congo. Selon les informations diffusées
hier à Brazzaville par le ministère de la Santé 72 victimes ont été
dénombrées dans le seul district de Kellé, où se situe le principal
foyer de l'épidémie.
Lire l'article original : http://www.brazzaville-adiac.com/html/ba_article.php?DEP_CODE=2848
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| Centre
nationale de transfusion sanguine : Richard Kadio dénonce de graves
distorsions dans la distribution du sang - Notre
voie - Côte d'Ivoire - 1/03/2003 |
Le professeur Richard Kadio,
ministre délégué chargé de la Santé a effectué, jeudi dernier, une
visite de travail au Centre national de transfusion sanguine (CNTS)
de Treichville. Le professeur Richard Kadio a effectué, jeudi dernier,
au Centre national de transfusion sanguine (CNTS) de Treichville,
une visite de travail considérée comme une visite de mise en garde
et d'exhortation au changement de mentalité. En effet, le ministre
délégué à la Santé a dénoncé les "graves distorsions entre les quantités
de sang distribuées par le CNTS et celles réellement reçues dans nos
formations sanitaires périphériques", c'est dire donc qu'il existe
un marché parallèle de vente de sang sorti du CNTS. Selon le ministre
Kadio, c'est "cette pratique mafieuse" qui a expliqué le changement
de directeur à la tête du CNTS. On se souvient qu'au mois d'octobre
dernier, le Dr. Saïbou Konaté avait été relevé de ses fonctions et
remplacé le Dr. Darret Sehiri Bernard. En outre, Richard Kadio a donné
des instructions pour qu'aucune EPN de santé n'envoie un patient au
CNTS muni d'un bon pour acheter du sang. "Chaque EPN doit s'organiser
pour avoir sa banque de sang afin que les quantités de poches qui
sortent du CNTS soient égales à celles que reçoivent les EPN", a indiqué
le ministre. En tout état de cause, Richard Kadio entend lutter rigoureusement
contre tous les "réseaux mafieux que ce soit au CNTS ou ailleurs dans
les autres secteurs de son département. Car on ne vient pas à la santé
pour s'enrichir. "Ensemble, luttons contre les malfrats", a-t-il lancé
aux personnels. L'orateur a aussi insisté sur la qualité du sang que
le CNTS distribue dans les formations sanitaires. Pour lui, il faut
faire en sorte qu'il n'y ait pas du tout de poches de sang contaminées
qui passent dans les mailles du contrôle. Le prix de vente des poches
de sang a aussi été abordé par Richard Kadio. Selon lui, il faut mettre
fin à la vente de sang à deux vitesses. En effet, il y a un sang dit
sécurisé qui coûte 300.000F FCFA (ce sang a fait l'objet d'un stockage
au froid pour prévenir une certaine pénurie) et un autre sang qui
n'a fait l'objet d'aucun stockage et qui coûte 8000F. Quant à M. Darret
Sehiri Bernard, directeur du CNTS, il a présenté sa structure et fait
plusieurs doléances dans le sens d'une amélioration du plateau technique
de son centre pour un travail plus efficace. Richard Kadio pour ce
faire, a annoncé la mise en place d'un comité de restructuration du
CNTS.
Coulibaly Zié Oumar
Lire l'article original : http://www.notrevoie.ci/story.asp?ID=8932 |
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