Conférence
de l'IPM - L'express
- Madagascar - 10/03/2003 |
Le Dr Vincent Robert, Institut
Pasteur de Madagascar et Institut de Recherche pour le Développement
(IRD) et le Dr Raveloson Andrianirina, du Service de lutte contre
le paludisme, du ministère de la Santé, ont établi au cours d'une
conférence donnée vendredi à l'IPM que la croissance rapide de la
population urbaine dans le monde a d'importantes implications pour
l'épidémiologie du paludisme. Une revue de la transmission du paludisme
est proposée pour les villes de l'Afrique sub-saharienne. Elle établit
la réalité d'une transmission dans l'enceinte de la plupart des villes
étudiées quels que soient leurs tailles ou leurs environnements bio-climatiques.
Une analyse des résultats de ces études montre une relation faible
mais réelle entre le niveau d'urbanisation et le taux d'inoculation
entomologique (i.e. le nombre de piqûres d'anophèles infectés reçues
par homme et par an). Ces résultas montrent un taux moyen d'inoculation
de 7,1 en centre-ville, 45,8 à la périphérie de la ville, et 167,7
en zone rurale. De considérables variations de ce taux ont été observées
entre les villes et entre les quartiers d'une même ville. Il est établi
qu'une proportion importante de la population humaine est soumise
à des taux d'inoculation très faibles (inférieurs à 1), ne permettant
pas aux sujets d'atteindre l'âge adulte avec une prémunition immunologique
efficace contre les accès palustres. La ville Africaine se présente
comme une zone privilégiée pour devenir le cadre de programmes de
contrôle du paludisme (prévention de l'impaludation par l'usage de
moustiquaires imprégnées d'insecticide, aménagement de l'environnement
pour réduire la productivité des gîtes larvaires des moustiques, prise
en charge des cas favorisée par la proximité des centres de santé,
etc.). Aussi est-il envisageable que certaines villes ambitionnent
de devenir des zones indemnes de transmission du paludisme. Une étude
en cours sur le paludisme urbain à Antananarivo est également présentée
et devra permettre de répondre aux questions suivantes : quelle est
la part du paludisme dans les cas de fièvres qui consultent? Quelle
est la part du paludisme d'importation (à partir des zones côtières)
et du paludisme à transmission autochtone dans les cas de paludisme
observés à Antananarivo ?
Lire l'article original : http://www.lexpressmada.com/article.php?id=10527&r=4&d=2003-03-10 |
Le
sida passe les frontières - Le
Sud - Sénégal - 10/03/2003 |
L'alerte a été lancée au
cours de l'atelier qui s'est tenu la semaine dernière dans la capitale
arachidière sous l'égide du Family Health international (Fhi). Depuis
quelque temps en effet des vagues successives de ressortissants de
la sous-région, en particulier des Sénégalais fuient l'enfer du conflit
ivoirien et retournent au bercail. De la même manière, des ressortissants
sénégalais ayant résidé en Gambie sont retournés par lot au pays,
fuyant l'imposition de formalités administratives draconiennes. Cet
état de fait soulève des préoccupations d'ordre sanitaire à des organismes
comme Fhi, une agence d'exécution de l'Uaid. Les communicateurs des
ateliers, issus de la région de Kaolack, ont été sensibilisés pour
faire en sorte que les populations, et en particulier les jeunes,
adoptent des attitudes responsables et un comportement sécuritaire
face à l'épidémie du Vih/sida. Pour les animateurs de la rencontre
: " le sida n'a pas de frontière et la propagation du virus est rapide
", comme le rappellent les docteurs Fatim et Tidiane Kassé. Il a été
révélé au cours des ateliers que la Côte d'Ivoire " est un lieu de
rencontre et de melting-pot dans une Afrique abritant aujourd'hui
70 % des adultes et 80 % des enfants, vivant avec le Vih/sida dans
le monde ". L'Afrique de l'Ouest est visiblement moins touchée que
le reste du continent. Dans certains pays comme le Sénégal le taux
de prévalence est en effet inférieur à 2 %. Mais la Côte d'Ivoire
figure déjà parmi les quinze pays du monde les plus touchés, avec
un taux de prévalence entre 10 et 15 %. Au Ghana et au Nigeria, il
est supérieur à 5 %. L'atelier de Kaolack a permis à ses organisateurs
de lancer " un appel pour une réponse multisectorielle et une mobilisation
de toutes les forces vives de la nation et du continent pour la création
d'un environnement favorable à l'adoption de comportements responsables
face au Vih/sida ". Mohamed Lamine THIOUNE
Lire l'article original : http://www.sudonline.sn/Rubriques%20Infos/Cadreunejournal10032003.htm |
Plus
de moyens contre le cancer - Cameroon-tribune
- Cameroun - 10/03/2003 |
Le deuxième congrès euro-africain
de cancérologie s'est achevé en fin de semaine dernière à Yaoundé.
A l'issue de ces assises, quelques recommandations ont été formulées
: " Encourager la création de structures nationales et inter-africaines
de lutte contre le cancer ; demander l'appui de chacun des Etats au
fonctionnement de ces structures ; demander l'appui de chacun des
Etats aux activités suivantes : éducation pour la santé, prévention
et dépistage, diagnostic, traitement (acquisition des médicaments
anti-cancéreux, acquisition et réhabilitation des équipements de radiothérapie,
subvention aux traitements (à l'instar de ce qui est fait pour les
anti-rétroviraux). Les spécialistes du cancer se réjouissent que les
Etats africains aient fait du cancer un problème de santé publique.
Ils insistent sur la réduction des coûts de traitement parce que c'est
là une difficulté majeure. Selon le Dr Paul Ndom, 90 % des cancéreux
ne se soignent pas ou arrivent très tard à l'hôpital. Souvent, les
malades n'osent pas se présenter à l'hôpital parce qu'ils savent d'avance
que les ordonnances ne seront pas à leur portée. Le coût moyen du
traitement du cancer s'élève entre 100 et 300 000 francs par mois
pour un patient ! Les congressistes de la semaine dernière souhaitent
vraiment que les prix des médicaments du cancer baisse à l'instar
des anti-rétroviraux passés de 600 000 francs à 60 000 francs. Par
ailleurs, le congrès de Yaoundé a arrêté un agenda pour les activités
à venir. On sait par exemple que le prochain congrès euro-africain
se tiendra en mars 2005 à Libreville, la capitale gabonaise. Avant
ce rendez-vous, Accra et Brazzaville auront accueilli deux autres
rencontres. Le congrès de Yaoundé a également institué un secrétariat
permanent basé au service d'oncologie médicale de l'hôpital général
de Yaoundé.
Lire l'article original : http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j10032003&idart=6671&olarch
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Méningite
: Le Comité provincial de gestion des épidémies sur le terrain
- Sidwaya - Burkina
Faso - 10/03/2003 |
Officiellement installés
le 7 février 2003, les membres du Comité provincial de gestion des
épidémies du Kourwéogo, ont tenu leur première rencontre mardi 4 mars
2003 dans la salle de réunions du haut-commissariat de Boussé pour
élaborer un plan d'activités. Lire
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Le
CHL ne bénéficie pas d'une véritable autonomie - Internet
Gabon - Gabon - 9/03/2003 |
Affirmation du directeur général
de cette institution, le Pr Romain Tchoua, à propos de l'éventuelle
fermeture du bloc opératoire orthopédique. Lire
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PIKINE-GUEDIAWAYE
: Ouverture d'un centre de dépistage volontaire du sida - Le
Soleil - Sénégal - 8/03/2003 |
La cérémonie de lancement
officiel du Centre de Conseil, de Dépistage volontaire Anonyme et
d'Accompagnement de Pikine-Guédiawaye s'est déroulée hier au CEDEPS
dudit département. Ce centre de dépistage et le centre ado ont été
identifiés comme les lieux d'implantation privilégiés pour répondre
aux besoins et sollicitations de la jeunesse qui est une cible particulièrement
vulnérable à l'infection du Vih. Ce centre de dépistage a été financé
par FHI/l'Usaid. La cérémonie a été un temps fort pour la mobilisation
sociale contre la pandémie. Selon le Dr Ibra Ndoye, représentant le
Ministre de la Santé, le dépistage est un moyen important de prévention
de l'infection à VIH/SIDA.Ce nouveau centre permettra ainsi aux populations
ciblées de connaître leur statut sérologique et d'adopter des comportements
à moindre risque et de participer à la réduction des nouvelles infections.
À cet effet, une invitation a été adressée aux autorités locales,
aux populations des deux villes et plus particulièrement aux jeunes
à relever le défi de la fréquentation de ce nouveau centre. Il faut
préciser que le centre est au service de toutes les couches sociales
sans distinction. Et à côté de son rôle de faire dépister les populations,
il va héberger le volet prise en charge médicale des malades du sida.
Pour Bocar Sidick Kane, maire de la ville de Guédiawaye, la lutte
contre le VIH/SIDA, plus qu'un problème de santé publique, est un
problème de développement. Ce centre vient participer à la consolidation
des acquis, à l'amélioration de la communication en direction des
populations. Pour le Dr Ngagne Mbaye, Directeur du centre, sachant
que, dans ce domaine, rien n'est gagné d'avance et aucune victoire
n'est irréversible, l'ensemble des acteurs du centre a des défis à
relever. Il s'agit, entre autres, de créer le réflexe du dépistage
volontaire, dans une communauté où la peur du sida est encore vivace
; de faire comprendre les enjeux du dépistage aux populations ; d'amener
la famille et la communauté à jouer un rôle irremplaçable dans la
prise en charge des personnes malades du sida ; et enfin d'apporter
le soutien multiforme aux personnes vivant avec le vih, par une action
de proximité dans le respect de la confidentialité. M.Malick Tall
Yade, Directeur de cabinet du Ministre de la Jeunesse, a souligné
le partenariat entre le Projet de promotion des jeunes et l'Ong Synergie
Enfance pour la mise en place de ce centre de dépistage. Ce partenariat
entre en droite ligne dans ce qu'il considère comme nécessaire pour
éviter la propagation du sida. MATHIEU BACALY
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=24902&index__edition=9831 |
Velingara-Tournée
de Eva Marie Coll Seck : 300 millions pour un bloc opératoire
- Le Sud - Sénégal
- 7/03/2003 |
300 millions de Fcfa. C'est le montant
global dégagé par le ministère de la Santé et de l'action sociale
pour la réfection et la réhabilitation du centre de santé de Vélingara
mais aussi la construction d'un bloc opératoire et d'une morgue fonctionnelle.
L'annonce de la nouvelle a été faite mercredi matin par madame la
ministre de la Santé, Eva Marie Koll Seck lors de l'étape de Vélingara
qui a sanctionné une tournée de trois jours dans la région de Kolda.
Vélingara se trouve à mi-parcours entre Kolda et Tambacounda et plusieurs
malades graves sont décédés en cours d'évacuation. En 2002, 556 décès
liés à la maternité ont été enregistrés pour 100.000 naissances dans
l'ensemble du département. "Ces vies auraient pu être sauvées si un
bloc opératoire avait été fonctionnel", confie le médecin-chef du
district sanitaire Abdou Karim Diop. A ces préoccupations s'ajoutent
d'autres revendications plus corporatistes comme le renforcement de
la sécurité des agents et le recrutement de personnels qualifiés.
Certains postes de santé comme celui de Pakour sont en effet fermés
par manque d'infirmiers et deux infirmiers chefs de postes ont été
abattus par balle aux mois d'août et novembre derniers par des individus
armés de kalachnikovs supposés appartenir au Mfdc. La ministre a déclaré,
en réponse à toutes ces doléances que "la région de Kolda ne sera
pas oubliée, malgré sa situation périphérique". Cheikh Omar Seydi
Lire l'article original : http://www.sudonline.sn/archives/07032003.htm
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Et
la méningite continue de tuer... - Journal
du jeudi - Burkina Faso - 7/03/2003 |
La méningite est un processus
inflammatoire, d'origine généralement infectieuse, atteignant les
méninges, c'est-à-dire l'ensemble des formations recouvrant l'encéphale
et la moelle épinière. Les méningites d'origine virale (70 à 80 %
des cas) sont généralement bénignes, le rétablissement étant le plus
souvent spontané. Par contre, les méningites d'origine bactérienne
(20 à 25 % des cas) sont graves car l'évolution spontanée est pratiquement
toujours mortelle. Lire la
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Les
banques de sang se vident : les donneurs interpellés - Le
Sud - Sénégal - 7/03/2003 |
Le nombre de donneurs de sang diminue
dangereusement au Sénégal. Le taux est aujourd'hui estimé à 0,25 %.
Il est loin de la norme fixée par l'Organisation mondiale de la santé
(Oms) qui est de 2 % que chaque pays doit avoir pour assurer sa sécurité
transfusionnelle. Lire la
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Lutte
contre le VIH-SIDA : Des volontaires installés dans les villages d'Abidjan
- Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire- 7/03/2003 |
L'Hôtel communal de Cocody
a servi de cadre, mardi, à l'ONG internationale Africare, pour le
lancement officiel du projet d'un corps des volontaires de lutte contre
les IST/VIH/SIDA, au sein des communautés villageoises dans la périphérie
d'Abidjan. Pour M. Al Hassana Idriss Outman, représentant-résident
de Africare en Côte d'Ivoire, ce projet a pour souci d'établir un
modèle de programme qui implique des volontaires communautaires qui
seront chargés d'éduquer, de sensibiliser et d'assurer des prestations
en rapport avec le VIH/Sida. La formation que recevront ces volontaires
pourra leur permettre, en plus de la sensibilisation, d'apporter des
soins de santé primaire. Le programme au niveau d'Abidjan concerne
les localités d'Anono, de Blokhauss, de Yopougon-Kouté et d'Anonkoua-Kouté.
La cérémonie de lancement du projet Africare a été rehaussée de la
présence de M. Breka, directeur des politiques et stratégies au ministère
de la Lutte contre le sida représentant le ministre. Il s'est félicité
de la réalisation d'un tel programme en milieu rural. Pour lui, le
sida est aujourd'hui un véritable problème qui touche toutes les couches
sociales, et surtout le milieu rural qui reste très vulnérable. MARC
YEVOU
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=18072 |
Conférence
sur l'avortement à risque à Addis-Abeba : Des délégués de 15 pays
africains se penchent sur les lois et politiques - Le
Soleil - Sénégal - 7/03/2003 |
Plus de cent professionnels
de la santé, des experts du droit, des chercheurs, des ministres de
la Santé, des leaders de la jeunesse, des parlementaires et des femmes
activistes de 15 pays africains participent, depuis mercredi, à Addis-abeba,
en Ethiopie, à la première conférence régionale sur l'avortement à
risque, annonce un communiqué de Ipas, une ONG américaine, parvenu,
mercredi à notre rédaction. Le communiqué ajoute que " l'avortement
à risque est un grave problème de santé publique qui affecte des dizaines
de millions de femmes africaines et leurs familles ". Lire
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Situation
sanitaire à Sedhiou : Le ministre de la santé rassure les populations
- Le Sud - Sénégal
- 7/03/2003 |
C'est aux environs de 10 heures que le
ministre de la santé est arrivé mardi 4 mars dans la capitale du Pakao
où l'attendait une immense foule composée de toutes les couches de
la population. Le menu de la rencontre était le renforcement du personnel
de santé et la construction d'un autre centre de santé dans le Balantacounda.
Accompagnée des autorités médicales de la région de Kolda, Mme le
ministre Eva marie Coll Seck a tenu à constater de visu les préoccupations
majeures des populations de Sédhiou en matière de santé. Ainsi au
terme de sa visite de travail qui l'a conduite à Bambaly puis à Bimbandi
Brassau, le ministre s'est réjoui de la bonne santé des infrastructures
sanitaires du département obtenues grâce au concours de l'Ong Coopi
(coopération italienne). Pour l'occasion, Mamadou Diop et Babacar
Ndoye respectivement médecin chef de région et médecin chef de district
sanitaire de Sédhiou sont largement revenus sur le contexte épidémiologique.
Ainsi à Sédhiou 46 % des patients seraient atteints par le paludisme
avec un taux de 0,2 % de décès. 46 cas de rougeole ont aussi été dépistés,
2 cas de tétanos néonatal, et 2 cas de fièvre jaune. 3 % de cas d'infection
sexuellement transmissible ont aussi été repérés. Aussi, les activités
du bloc opératoire conduites par le chirurgien Khalidou Konté ont-elles
également rassuré les autorités de la région et les populations de
Sédhiou. Pour l'année 2002, M. Konté a en effet effectué 197 interventions
dont 72 césariennes. Mais au-delà de ces statistiques prometteuses,
le médecin chef du district sanitaire de Sédhiou a rappelé au ministre
l'insuffisance du personnel de santé dans le département qui ne dispose
en effet que d'un seul médecin, un pharmacien biologiste, douze infirmiers
d'état et 4 sages-femmes pour 372 508 habitants. À cela s'ajoute une
démotivation des agents qui ne bénéficient pas de prime de risque
instituée dans les zones d'insécurité, ni de bourse de formation,
ni même d'avancement des agents d'hygiène. Le docteur est aussi revenu
sur la problématique de l'accès difficile au centre de référence de
Sédhiou du fait de la contrainte naturelle que constitue le fleuve
Casamance. Le docteur Ndoye a suggéré la construction d'un autre district
sanitaire dans le balantacounda. Une proposition à laquelle adhère
parfaitement le Ministre de la Santé. Eva Marie Koll Seck a en effet
promis de satisfaire cette doléance " pour une meilleur prise en charge
des populations du sud de Sédhiou " a-t-elle conclu. Moussa Dramé
Lire l'article original : http://www.sudonline.sn/archives/07032003.htm
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Hémophilie-1000
cas au Sénégal : Ce mal incurable et coûteux - Le
Sud - Sénégal - 6/03/2003 |
Ils sont plus de 200 hémophiles diagnostiqués
alors que d'autres vivent de façon anonyme leur maladie. En outre,
un enfant sur 10.000 naît hémophile. Mais quelle est donc cette maladie
héréditaire, si mal connue de tous, qui touche plus les garçons que
les filles, et qui fait que le sang des malades coagule mal. Lire
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Santé
à l'école : Un lieu d'apprentissage et d'hygiène - Le
Soleil - Sénégal - 6/03/2003 |
Les milliers d'élèves, de
collégiens et de lycéens sont sous l'aile protectrice de la Division
Contrôle Médical Scolaire (DCMS) du ministère de l'Education nationale.
Dirigée par le Pr Malick Sembène, cette division a initié une nouvelle
politique et défini un paquet de services à réaliser dans les écoles
pour mieux veiller sur la santé de ce groupe qui est l'avenir du Sénégal.
Lire la suite |
Une
polyclinique inaugurée à Adamavo - Republicoftogo
- Togo - 4/03/2003 |
"Picardie-Togo", c'est le
nom du nouveau centre médico-social inauguré en fin de semaine dernière
à Adamavo, dans la banlieue de Lomé. Le projet a été financé par plusieurs
associations dont "Ere nouvelle", "Picardie Togo" et "Vie améliorée".
La polyclinique comprend un laboratoire d'analyse médicale, un cabinet
dentaire, des salles d'écographie et de gynécologie. Coût de l'investissement
: 150 millions de FCFA dont 80 millions pour le seul cabinet dentaire
ultramoderne.
Lire l'article original : http://www.republicoftogo.com/completenews.php?idnews=03547&flag=1 |
Santé
de la reproduction : Bientôt un même circuit de distribution pour
les produits contraceptifs et les médicaments essentiels -
Midi Madagasikara
- Madagascar - 4/03/2003 |
Jusqu'à présent, il n'y avait
que des organismes étrangers, en l'occurrence le FNUAP et l'USAID
qui assuraient l'approvisionnement des produits nécessaires à la santé
de la reproduction, notamment les produits contraceptifs. Ce qui n'était
pas toujours pour maintenir une disponibilité continue de ces produits
à l'endroit et en temps voulus. Dans un futur proche, suite à un accord
conclu entre le gouvernement par le biais du ministère de la Santé,
le FNUAP, l'USAID et la centrale d'achat Salama, ces produits emprunteront
le circuit de distribution des médicaments essentiels. Lire
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L'Anastasis,
hôpital flottant, est arrivé à Lomé - Republicoftogo
- Togo - 4/03/2003 |
Le navire à vocation médicale
et humanitaire a accosté au port de Lomé vendredi dernier. Il doit
séjourner quatre mois au Togo. L'Anastasis a déjà effectué trois missions
dans le pays (1991, 1995 et 1996). L'équipage est composé de 400 volontaires
: médecins, infirmières spécialistes de projets ruraux, etc… L'originalité
de l'opération menée par "Mercy Ships" est d'assister les populations
dans des domaines multiformes. Il y a bien sur le volet médical avec
des soins gratuits en gynécologie, ophtalmologie, orthopédie et chirurgie
plastique ; mais aussi une activité de développement communautaire
: projets sanitaires, de construction de centres de santé et même
l'aide à la création de micro-entreprises. Les chirurgiens présents
à bord de l'Anastasis vont traiter en priorité les patients atteints
de troubles oculaires (cataractes et strabismes, notamment)ainsi que
les affections maxillo-faciales (bec de lièvre, palais fendu, tumeur
faciale) et les brûlures nécessitant des interventions de chirurgie
plastique. Des orthopédistes et des gynécologues sont à bord du bateau.
L'Anastasis dispose de plusieurs salles d'opération et de 40 lits.
Mais l'équipe médicale va aussi au devant des malades grâce à un dispensaire
mobile et de nombreux arrêts en zone rurale.
Lire l'article original : http://www.republicoftogo.com/completenews.php?idnews=03545&flag=1 |
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