L'actualité

Notre métier d'éditeurs de revues médicales en Afrique francophone et au Maghreb, nous amène à suivre de très près l'actualité de la santé de ces pays.
Nous lisons la plupart des journaux spécialisés et sommes en contact avec de très nombreuses associations et ONG.
Nous fréquentons aussi certains forums spécialisés.

Dans notre développement Internet, nous avons pensé que toutes ces informations que nous recueillons quotidiennement ne pouvaient que vous intéresser.
C'est la raison de cette rubrique que nous mettrons à jour le plus régulièrement possible.

Afin d'être en harmonie avec la déontologie Internet, nous vous précisons que toutes nos sources sont informées des textes que nous leur empruntons afin de les mettre à votre disposition dans cette rubrique.

Toutefois, comme elles le précisent elles-même pour la plupart, nous vous prions de traiter les informations avec la plus grande prudence et de ne pas hésiter à suivre les liens que nous plaçons systématiquement à la fin des articles, afin de lire le document original et de contacter, le cas échéant, l'auteur ou le responsable de la publication.

Si vous souhaitiez exploiter autrement que pour votre propre usage, l'une des informations de cette rubrique, nous vous demandons de bien vouloir suivre le lien afin de récupérer le document original et vous conseillons d'en informer les responsables.

Nous vous souhaitons d'agréables moments sur SantéTropicale.com

 

Santetropicale.com

Page d'accueil de Santetropicale.com La Bibliothèque de Santé tropicale Le Kiosque des revues médicales africaines Dictionnaire Internet Africain des Médicaments Web médical africain Annuaire de la santé en Afrique Qui contacter ?

L'actualité de la santé en Afrique

Mars 2003

Communiqué de presse : Première étape importante franchie dans la croisade contre la méningite - Projet Vaccins Méningite - 18/03/2003
Un groupe d'experts scientifiques donne le feu vert pour le développement d'un vaccin à protection durable pour l'Afrique Des accords sont conclus avec le secteur privé pour développer le vaccin. Lire la suite

Restitution des résultats de la campagne de rougeole 2003 : Une moyenne de 97% de couverture vaccinale - Le républicain - Bénin - 18/03/2003
La salle de conférence du ministère de la santé publique a servi de cadre hier à un double événement. Il s'agit de la séance de restitution des résultats de la campagne de rougeole 2003 et de la cérémonie de remise de matériel par l'OMS. L'objectif était de porter à l'attention de l'opinion publique le taux de couverture vaccinale obtenu lors de la dernière campagne. Lire la suite

Fluctuation de poids : peu d'effet sur la santé - Fraternité Matin - Côte d'Ivoire- 18/03/2003
Le surpoids et l'obésité sont bien connus comme étant des facteurs de morbidité contrairement à ce qui était admis, une nouvelle étude anglaise menée par le Dr Goya Wannamethee (Londres) montre que les fluctuations de poids seraient sans grand effet sur le risque de décès. Ce travail a consisté à surveiller les variations de poids de 5 608 Anglais pendant 12 à 14 ans. La mortalité la plus faible a bien été retrouvée chez les hommes avec un poids stable. Mais la mortalité plus élevée, constatée en effet chez des hommes aux variations de poids marquées, s'explique en grande partie par des pathologies préexistantes et des facteurs de risques cardiovasculaires. Les auteurs en concluent qu'aucune preuve définitive ne plaide en faveur d'un risque lié aux variations de poids chez les hommes en bonne santé. Le mieux étant bien entendu d'éviter surpoids et obésité pour une alimentation saine.
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=18386

Institut Pasteur de Madagascar - L'express - Madagascar - 18/03/2003
La prochaine conférence scientifique de l'Institut Pasteur de Madagascar (IPM) aura lieu demain mercredi 19 mars de 16 à 17 h avec au programme :
- "Les infections nosocomiales, perspectives à Madagascar" par les Dr. Cécile Mourlan et Jules Randrianomenjanahary, du Centre hospitalier de Soavinandriana;
- "Les bactéries multirésistantes aux antibiotiques", par le Dr. Pierre Grosjean, de l'IPM.
Entrée libre.
Lire l'article original : http://www.lexpressmada.com/article.php?id=10773&r=4&d=2003-03-18

Contribution de la médecine traditionnelle à la santé des populations: Les découvertes médicinales du tradithérapeute Afodégonkou Joseph - Le matinal - Bénin - 17/03/2003
Le rôle de la médecine traditionnelle dans la résolution des problèmes de santé de nos populations n'est plus à démontrer. Dans l'Ouémé et le Plateau et plus précisément à Porto-Novo le sieur Afodégonkou Gbénoukpo Joseph, tradipraticien de son état apporte par ses recherches sa pierre à la lutte inlassable de l'homme contre la maladie. Entre autre découverte, il nous affirme la main sur le cœur, que ces médicaments (les produits «Titilayo») guérissent certaines maladies. Et que son produit «Gbahou-Gbahou,», guérit la drépanocytose. Tout un programme. Lire la suite

L'ORDONNANCE : Détresse chronique … - Le Soleil - Sénégal - 17/03/2003
Au cours de ce week-end, c'était le tour de l'association de lutte contre l'épilepsie de sortir sur la voie publique pour une sensibilisation du public et montrer par la même voie que c'est une maladie non-transmissible, qui peut être soignée avec bonheur, surtout si l'affection est diagnostiquée à un stade précoce.
Il y a quelques jours, les hémophiles, leur association et leurs familles avaient occupé le devant de la scène pour crier leur désespoir face aux difficultés d'accès aux soins et les drames qu'ils vivent. D'autres comme les diabétiques, les cardiaques de " Cœurs Solidaires " et les drépanocytaires ne cessent, chaque année, eux aussi, à travers leurs associations respectives, de se faire entendre désespérément. Le dénominateur commun de cette détresse " chronique " de malades et des familles affectées par ces pathologies (la liste n'est pas exhaustive) repose sur le seul fait que ce sont des affections chroniques aux étiologies diverses, mais qui se retrouvent sur des nécessités inflexibles, celles de leur traitement à long cours. Ce dernier (le traitement) ne peut réussir que si le dépistage est effectué très tôt. Il faut toutefois que la sensibilisation du public soit permanente et large. Les braves associations, mises sur pied conjointement par des médecins spécialistes et les malades, n'ont pas de moyens. Et les familles de malades croulent sous le poids social et financier des soins. L'Etat devrait les aider à accéder aux médiats et par des subventions pour l'utilisation d'autres supports de sensibilisation dans les langues nationales. Pour certaines de ces maladies, les consultations doivent être périodiques et parfois à vie…Idem pour les traitements. Des associations ont depuis longtemps demandé que des médicaments, comme entre autres, les facteurs sanguins contre l'hémophilie, l'insuline des diabétiques, les produits contre les crises de drépanocytose et d'épilepsie, dont les malades ont fréquemment besoin, soient intégrés parmi les médicaments essentiels génériques, voire sur la liste sociale. Certains malades cardiaques attendent depuis des années de bénéficier d'une intervention chirurgicale lourde pour pouvoir survivre. Quelques uns ont attendu fatalement en vain… Enfin la chose la plus importante est que le malade épileptique, drépanocytaire, cardiaque, hémophile ou diabétique, puisse accéder de façon équitable, là où il se trouve, à Dakar ou dans une autre région, aux spécialistes, aux moyens thérapeutiques, dans les principales structures sanitaires et diagnostics dont les tests sanguins, le scanner, l'électroencéphalogramme, l'échographie, l'électrocardiogramme. Ce ne serait que justice auprès du paludisme et du VIH/SIDA qui, bien qu'ils tuent le plus, reçoivent le plus d'attention financière… Par Fara DIAW
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/santeenv/article.cfm?articles__id=25185

CENTRE MURAZ : Tenue du premier conseil scientifique - Sidwaya - Burkina Faso - 17/03/2003
Le premier conseil scientifique du Centre Muraz s'est tenu du 13 au 14 mars mars 2003 à Bobo-Dioulasso. Plusieurs projets de recherche terminés, en cours ou à venir étaient au centre de cette première session. Les sujets des projets de recherche examinés portaient sur le paludisme, la vaccinologie et l'épidémiologie d'intervention, le VIH. Le Centre Muraz est une institution de recherche appliquée en santé publique rattachée depuis 1960 à l'OCCGE (Organisation de coordination et de coopération pour la lutte contre les grandes endémies). Erigé en établissement public à caractère administratif (EPA), le Centre Muraz occupe une place de choix dans le dispositif national en matière de recherche en santé. Le statut du centre prévoit, outre le conseil d'administration, un conseil scientifique formé d'experts reconnus dans les thématiques d'intérêt de l'institution. Le rôle de ce conseil scientifique étant d'examiner les programmes scientifiques, d'évaluer les travaux des chercheurs, de faire des suggestions et des recommandations susceptibles d'améliorer les performances du centre. La cérémonie d'ouverture du premier conseil scientifique a été patronnée par le président du conseil d'administration du Centre Muraz, le Dr Théodore Larba Kangoye, en présence du directeur général du Centre Muraz, le Dr Hien Sié Roger et du directeur régional de la santé des Hauts-Bassins, le Dr Mété Bonkoungou. H.N
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2003_17_03/sidwaya.htm

Enquete sur l'epilepsie à Pikine: un facteur important dans la déperdition scolaire - Le Soleil - Sénégal - 15/03/2003
La ligue sénégalaise contre l'épilepsie (LES) vient de conduire une importante étude contre cette affection neurologique dans la région de Dakar, précisément dans le district sanitaire de Pikine. Lire la suite

Alimentation et prévention des maladies chroniques : Des experts de l'OMS et de la FAO tirent la sonnette d'alarme - L'Hebdo - Burkina Faso - 14/03/2003
La Consultation d'experts OMS/FAO sur l'alimentation, la nutrition et la prévention des maladies chroniques qui s'est tenue à Genève du 28 janvier au 1er février 2003 a porté sur les bases scientifiques de la relation qui existe entre l'alimentation et la pratique d'une activité physique et les principales maladies chroniques liées à la nutrition. Les experts ont formulé des recommandations pour aider à prévenir les décès et les incapacités dus aux principales maladies chroniques d'origine nutritionnelle. Lire la suite

Les objectifs du premier Congrès national de biologie réuni à Brazzaville - Les dépêches de Brazzaville - Congo - 14/03/2003
Le Congrès national de biologie, qui a débuté le 10 mars dans l'amphithéâtre Le Phénotype de l'Université Marien Ngouabi, à Brazzaville, s'est fixé comme objectif de réunir tous les biologistes présents au Congo, notamment ceux de l'université Marien Ngouabi, de la DGRST, de l'URPI et des ministères de la Santé, de l'Agriculture, de l'Environnement et de l'Economie forestière. Il vise en outre à instaurer une organisation capable de contribuer avec efficience à la résolution des problèmes de développement de la société congolaise. Le congrès se propose également de capitaliser les résultats des recherches menées ces dernières année, d'initier une dynamique du développement de la recherche en biologie, de contribuer à la promotion de l'enseignement dans ces matières et de créer une Société de biologie du Congo. " Cette institution serait un organe d'intégration des chercheurs du Congo. Il servirait d'interface entre les biologistes et les pouvoirs publics, mais aussi entre les biologistes et les communautés villageoises, et aurait un rôle d'évaluation de la recherche.
Lire l'article original : http://www.brazzaville-adiac.com/html/ba_article.php?DEP_CODE=2916

Congo-Brazzaville : campagne de lutte contre le paludisme - Cameroon-tribune - Cameroun - 14/03/2003
Les femmes invitées à veiller sur la salubrité de leur environnement. La ministre congolaise de la Promotion de la femme, Jeanne Dambendzet, a invité à Brazzaville les femmes de cette ville à plus de salubrité en vue de lutter contre le paludisme, qui constitue un frein au développement de la société. Intervenant lors d'une causerie à l'occasion de la commémoration de la Journée internationale de la femme, Mme Dambendzet a demandé à ses interlocutrices de prendre soin de leur entourage, en évacuant les ordures et en désherbant leurs milieux pour remédier à la maladie qui, aujourd'hui, tue plus que le VIH/sida. Outre la propreté, la ministre a promis aux femmes la vente, dans un proche avenir, de moustiquaires imprégnées à des prix abordables. Au cours de cette causerie portant sur le thème de la fête du 8 mars: "Pour un développement durable, femme du Congo, dans l'unité et la diversité, luttons contre le paludisme, la pauvreté et le VIH/sida", Mme Dembendzet a incité les femmes à la fidélité dans les foyers, à l'utilisation de préservatifs, de lames de rasoir et de seringues à usage unique en vue de lutter contre la prolifération de la pandémie, qu'elle considère comme une punition divine. Avec les terres fertiles, les eaux poissonneuses et les forêts dont regorge le Congo, la ministre, tout en stigmatisant la pauvreté qui est très compromettante pour le développement, a interpellé les habitantes des trois arrondissements de Brazzaville à œuvrer en vue de l'édification et la prospérité du pays. Mme Dambendzet a enfin invité les femmes à la prière et à l'amour puisque, a-t-elle dit, "nous sommes tous les enfants de Dieu", avant de lancer un appel aux mères à continuer à conscientiser et persuader les enfants d'abandonner les armes.
Lire l'article original :
http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j17032003&idart=6806&olarch=j14032003

Ministère de la Santé : 15 ambulances pour les districts sanitaires - Fraternité Matin - Côte d'Ivoire- 14/03/2003
Nous devons maintenant penser à la reconstruction du pays (…) Ces ambulances sont les prémices de l'abondance qui va se déverser sur la Côte d'Ivoire ". La Première dame, Simone Ehivet Gbagbo, en tenant ces propos mercredi dernier à l'occasion d'une cérémonie de remise de quinze ambulances à treize districts sanitaires du pays par le ministère délégué à la Santé sortant, à la Pharmacie de la Santé Publique (PSP), entendait faire partager son optimisme quant à la renaissance du pays après le tumulte de la guerre. Aussi, a-t-elle exhorté leurs bénéficiaires à "une gestion rigoureuse de ces outils précieux (…) et porter témoignage de la volonté du Président Laurent Gbagbo à aller de l'avant dans l'accomplissement de sa politique d'équipement sanitaire (…) en dépit de la grisaille et du stress extrême." Ces quinze véhicules de type "Pick-up" modulables en ambulances, traduisent au dire du ministre de la Santé, Pr Kadio Richard, "le symbole de secours et d'assistance". Et d'ajouter " qu'ils viennent renforcer la capacité opérationnelle des structures et améliorer l'accessibilité des populations aux soins". D'Adiaké à Dimbokro, en passant par Mama et Labokro, " ces ambulances par leur valeur inestimable seront utilisées avec efficacité", a indiqué le Dr N'Ko Marcel au nom des récipiendaires. Avant de voir dans ce geste du gouvernement un aperçu de l'AMU (assurance maladie universelle, et souhaiter que " vive une Côte d'Ivoire en bonne et heureuse santé". Cette attribution de véhicules utilitaires intervient après celle, le 12 février dernier, de huit autres à des districts sanitaires dont un bon nombre en zones occupées. RéMI COULIBALY
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=18292

Epilepsie: 2003, une "année de sensibilisation" lancée par l'AMAEE - Midi Madagasikara - Madagascar - 14/03/2003
Avec la tenue l'an dernier, de la "Semaine de l'Epilepsie", la connaissance de cette maladie a sensiblement peu évolué. Sensiblement puisque malgré tout, un certain esprit de conservatisme dans la conception de l'épilepsie demeure. La mission que s'était fixée l'AMAEE, Association malgache pour l'aide et l'entraide des épileptiques, est ainsi de changer la situation tout en prenant en charge les malades eux-mêmes, notamment ceux issus des milieux défavorisés. Et pour cela, des animations de toutes sortes et autres manifestations de sensibilisation sont organisées par l'AMAEE, notamment l'an dernier lors de son cinquième anniversaire. Lesquelles seront à rééditer volontiers cette année. Lire la suite

Laquintinie : du matériel pour soigner les accidentés - Cameroon-tribune - Cameroun - 14/03/2003
Le don a été remis par le député Joseph Owona Kono mercredi 5 mars. L'hôpital Laquintinie de Douala a reçu un lot de matériel de traumato-orthopédie, d'une valeur de plus de quarante millions de francs CFA. Ce matériel, mis à disposition par le médecin français Dominique Poitont, de l'hôpital de Marseille-Nord, a été remis par le député Joseph Owona Kono. Du matériel de traumato-orthopédie ? On aurait dit de la ferraille de toutes dimensions bonne pour la poubelle. Pourtant, le chef d'unité de traumato-orthopédie de Laquintinie ne cachait pas sa joie. Le Dr. Jean Gustave Tsagadigui voyait en effet comme un manque d'intérêt pour la discipline, le faible niveau d'équipement de l'unité. Le Dr. Jérémie Solle, délégué provincial de la Santé et membre du comité de gestion de l'hôpital Laquintinie soulignait quant à lui, que le matériel nécessaire à cette discipline coûte cher. Ainsi, après l'accident d'Ebombé, 23 poly-traumatisés ont été reçus à Laquintinie. Le coût moyen de cette prise en charge est de l'ordre de deux millions cinq cent mille francs. Heureusement que ces soins ont été pris en charge par le gouvernement. Demain donc, si une catastrophe de la même ampleur devait survenir dans les environs de Douala, l'hôpital Laquintinie répondrait mieux. Le matériel remis cette semaine permet de réaliser un bon millier d'implants. Le député Owona Kono a promis que ce matériel s'enrichirait afin que l'unité de Laquintinie devienne un véritable centre de traumato orthopédie. Mais, au-delà des accidentés de la route qui arrivent à l'hôpital avec plusieurs fractures en plus des blessures, il y a le cas de Monsieur-tout-le monde. Chacun peut se fouler la cheville en glissant dans la salle de bain, se casser la jambe dans un jardin ou se luxer l'épaule en déchargeant des paniers de son véhicule, etc. Et que dire des gosses dont les jeux tournent mal et s'achèvent par une fracture ou même une double fracture ? Le préfet du Wouri, Laurent Minja, a salué cet acte qui vient soulager la souffrance et surtout, qui prolonge l'action du gouvernement. Au cours de cette cérémonie, le directeur de l'hôpital Laquintinie, le Dr Ntone Ntone Fritz, a donné lecture à tous d'une lettre de félicitations du ministre de la Santé publique et à tout le personnel de Douala et d'Edea qui s'est dévoué au chevet des accidents d'Ebombé. Des félicitations qui ont donné du baume au cœur de ceux qui ont soigné tant de poly-traumatisés.
Lire l'article original : http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j17032003&idart=6794&olarch=j14032003

Ensemble contre le Sida : SFPS évalue ses activités - Sidwaya - Burkina Faso - 13/03/2003
Le projet "Santé familiale et prévention du Sida" (SFPS) tient un atelier régional de dissémination des outils et approches en matière de lutte contre le Sida du 10 au 13 mars à Ouagadougou. "Les populations et les comportements à risques ; les jeunes, les services IST VIH/Sida, soins et soutien aux personnes vivant avec le VIH" sont les thèmes autour desquels plus de cent (100) participants venus de l'Afrique de l'Ouest et du Centre vont discuter afin de relever les acquis et les faiblesses des activités de terrain. Au centre des débats, deux programmes non moins importants : la prévention du Sida sur les axes migratoires de l'Afrique de l'Ouest et du Centre (PSAMAO) et la mise en œuvre en 1998 des activités de prévention du VIH/Sida/IST en direction des chauffeurs routiers, des professionnelles du sexe et tout ce qui tourne autour de cette cible. Ce sont l'implantation de panneaux de sensibilisation sur les routes interafricaines, la production et la diffusion de cassettes audio et vidéo de sensibilisation sur l'utilisation du préservatif. Quant à la campagne "Lamour sans risque c'est P.L.U.S" lancé simultanément en Côte d'Ivoire et au Burkina et la campagne "Jeune à 100%" au Togo, il s'agit aussi de faire le point sur la caravane qui a sillonné plusieurs grandes villes de ces pays, les projections de vidéo de sensibilisation sur l'abstinence, le report des rapports sexuels. "Le présent atelier intéresse le Burkina Faso à plus d'un titre quand on sait que notre pays occupe le 2e rang en matière de taux de prévalence" indiqué le secrétaire permanent du Conseil national de lutte contre le Sida et les IST, le Dr Joseph André Tiendrébéogo. Mamina SAM
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2003_13_03/societe_2.htm

PREVALENCE DU VIH/SIDA : Maintenir le taux à moins 3% d'ici 2006 - Le Sud - Sénégal - 13/03/2003
Les maladies associées au Vih continuent de faire payer un lourd tribut au Sénégal malgré son faible taux de prévalence. C'est pour maintenir la prévalence des infections par le Vih sous la barre des 3% d'ici à 2006, qu'un projet de prévention et de contrôle du Vih/Sida financé par l'Ida a été présenté lundi 11 mars aux différents départements ministériels à l'Enam. Le but du projet est d'aider le gouvernement à prévenir la propagation du Vih/sida en réduisant la transmission dans les groupes à haut risque, d'élargir l'accès aux traitements, aux soins et procurer une assistance aux personnes infectées par le vih au Sénégal dans le cadre d'une opération pilote de traitement anti-rétroviral en Afrique subsaharienne. Le projet doit en effet appuyer l'exécution du Plan national de lutte contre le sida formulé par le Sénégal pour la période 2002-2006 et promouvoir les initiatives de la société civile et des communautés dans le domaine de la prévention et des soins. Selon le Dr. Ibra Ndoye, secrétaire exécutif du Comité national de lutte contre le Sida, il s'agira grâce au projet, de maintenir la prévalence en dessous de 3 % d'ici 2006, de réduire l'impact sanitaire et socio-économique du Vih/Sida au niveau des individus, des ménages et des communautés et surveiller les tendances évolutives de l'épidémie. Pour cela, il estime qu'il faudra renforcer les capacités des organismes d'exécution et des structures de coordination et appuyer la société civile et les initiatives communautaires dans le domaine de la prévention, des soins, de l'assistance sociale et des mesures d'atténuation de l'impact de la maladie. Ismaïla SARRE
Lire l'article original : http://www.sudonline.sn/archives/13032003.htm

Santé de la mère et de l'enfant : Des plans d'action pour l'espace CEDEAO - Sidwaya - Burkina Faso - 13/03/2003
L'atelier régional sur "Les meilleures pratiques en santé maternelle et néonatale et les stratégies de réduction de la mortalité et de la morbidité maternelle et néonatale" a clos ses portes vendredi 7 mars à l'hôtel Relax. Les participants ont élaboré un plan d'ensemble pour la prise en charge de la mère et de l'enfant dans les pays ouest-africains. Les participants, des responsables des ministères de la Santé, des enseignants des facultés de médecine, des écoles de santé, des décideurs politiques, des experts en santé de la reproduction sont venus de 10 pays de la sous-région. Une équipe pluridisciplinaire qui a débattu cinq jours durant sur les pratiques cliniques, les outils et approches permettant de réduire la mortalité et la morbidité maternelle et néonatale. Ils ont partagé les leçons apprises, des formations des prestataires et de la mobilisation des communautés. Les travaux se sont déroulés en exposés suivis de débats en séances plénières, en discussions lors des panels et aussi en mini-université ou sessions concurrentes entre les spécialistes. A travers cette méthodologie de travail, les participants ont pu accroître leurs connaissances sur les soins prénataux; la prise en charge de la prééclampsie et de l'éclampsie, les soins pendant et après l'accouchement aussi bien de la mère que du nouveau-né. La rencontre a aussi permis aux spécialistes ouest-africains de faire l'état de la situation de la santé de la mère et de l'enfant à travers les projets pilotes. Malgré les efforts louables, il ressort que des difficultés existent. Il s'agit du manque de coordination des interventions des partenaires, la morbidité du personnel, etc. Le rapporteur de l'atelier, le Pr Blami Dao a dit que la rencontre a été très riche en enseignements. Cependant pour qu'il soit profitable, elle doit être considérée comme le début d'un long processus. Le directeur général de la Santé, Sosthène Zombré a souhaité qu'au-delà de cet atelier, les plans d'action qui ont été élaborés soient traduits en interventions concrètes sur le terrain. Emmanuel BOUDA
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2003_13_03/societe_1.htm

VIRUS EBOLA : 328 millions de FCFA d'aide humanitaire d'urgence pour le Congo - Internet Gabon - Gabon - 11/03/2003
Ce programme mis à la disposition de l'OMS par l'Union européenne vise un meilleur contrôle de l'épidémie dans la zone frontalière avec le Gabon.
DEPUIS janvier 2003, une épidémie de fièvre hémorragique Ebola sévit dans le département de la Cuvette Ouest au Congo, frontalier avec notre pays. Le nouveau bilan officiel, rendu public samedi dernier par les autorités congolaises faisait état de 98 décès et 135 cas détectés. Des chiffres sans cesse croissants qui ont conduit l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à solliciter une assistance rapide de l'Union européenne. Lire la suite

Sida : on a dépisté un nouveau test - Cameroon-tribune - Cameroun - 11/03/2003
Le " Bispot " vient d'être présenté aux médecins et responsables d'hôpitaux camerounais. C'est une quatrième génération de tests de dépistage du VIH, qui a été présentée et expliquée le 28 février à Douala, et mardi dernier, 3 mars à Yaoundé. Le test dénommé Bispot, homologué par l'Organisation mondiale de la santé, a fait l'objet de sessions de formation à l'intention des futurs utilisateurs. Les représentants des formations sanitaires publiques, et privées, les médecins, et les techniciens de laboratoires ont été réunis pour cette série échanges qui visait une vulgarisation efficace et une manipulation optimale du nouveau produit de la société PBS/Orgenics France. Le partenaire technique français a d'ailleurs dépêché au Cameroun, trois de ses experts pour animer le séminaire. Issu de la gamme Immuno Comb, le nouveau test Bispot est en réalité une synthèse des deux principales méthodes de dépistage utilisées jusqu'ici pour déterminer la sérologie des patients dans les hôpitaux. Il intègre donc en même temps les qualités du test rapide et du test Elisa. Avec deux principaux avantages : le résultat est connu au bout de 34 minutes, et il est précis. On peut donc après ce test savoir distinctivement le type de VIH du malade lorsque le dépistage s'avère positif. Les promoteurs du test Bispot ajoutent à ces vertus, que ce produit peut être utilisé sans problème aussi bien dans les formations sanitaires des villes, qu'en campagne. La nouvelle méthode de dépistage est légère, d'après ce qu'on a pu entendre mardi dernier au Hilton. Car, contrairement aux investissements lourds en termes d'appareillages, commandés par la méthode Elisa classique, le Bispot ne nécessite pas l'équipement des grands laboratoires. On peut donc s'en servir dans un dispensaire de n'importe quelle localité. C'est ce que le distributeur du produit au Cameroun appelle " diagnostic essentiel, test rapide à moindre coût. " Le Bispot a été introduit au Cameroun par le groupe Médical International, dont le président-directeur général, le Dr Pierre Nguefack, pense que " toute prévention efficace du sida passe par le dépistage qui permet à l'individu de connaître son statut sérologique. " Pour lui, le dépistage est la première étape du traitement. Peut-être d'abord par curiosité, mais on a vu que les spécialistes invités à ces sessions de formation, ont répondu nombreux à l'appel. Et si désormais à l'hôpital, on vous fait un test de sida avec résultats dans la demi-heure qui suit, c'est que nos médecins ont été convaincus par cette méthode.
Lire l'article original :
http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j17032003&idart=6730&olarch=j11032003&ph=y

KOLDA - EVA MARIE COLL SECK EN TOURNEE : Le ministre ausculte les structures sanitaires - Le Sud - Sénégal - 11/03/2003
Le ministre de la santé et de la prévention, le Professeur Eva Marie Coll Seck a visité pendant trois jours les structures sanitaires de la région de Kolda. Elle a d'abord inauguré la pharmacie régionale d'approvisionnement logée à l'hôpital régional. Une structure qui permettra aux Koldois d'en finir avec les ruptures de stocks de médicaments. Mme le ministre s'est ensuite rendue à Sédhiou et est allée jusqu'à Banbali pour voir les conditions de travail des postes de santé enclavés. Tirant le bilan de sa visite au cours d'un point de presse, Eva Marie Coll Seck s'est réjouie de cette confrontation à la réalité dans une région défavorisée comme Kolda. Celle-ci souffre en effet d'un déficit énorme en ressources humaines, à l'image de Sédhiou où le médecin chef n'a pas d'adjoint. Le ministre a révélé que l'Etat poursuit ses efforts dans le recrutement et que 25 agents vont être affectés dans la semaine. Parallèlement à cette stratégie de contractualisation, Kolda aura bientôt un centre de formation où un personnel autochtone sera formé. Cela permettra de régler le problème des agents extérieurs, qui refusent souvent de servir dans la région. Les premiers centres verront le jour cette année à Tambacounda, Saint-Louis et Kaolack. Une rencontre sera organisée prochainement pour évoquer avec les différents acteurs de l'hôpital régional la question de la réforme hospitalière. L'hôpital de Kolda va passer à un statut d'établissement public de santé pour une meilleure implication des populations dans la gestion. Au chapitre des promesses, la mise en place d'un autre district de santé dans le département de Sédhiou est prévue. Le processus devrait être bouclé rapidement. Parlant du Sida, le ministre a indiqué que Kolda se situe dans la moyenne nationale mais que la vigilance doit être de rigueur. Abdou DIAO
Lire l'article original : http://www.sudonline.sn/archives/11032003.htm

Conseils pratiques pour les donneurs de sang - Sidwaya - Burkina Faso - 11/03/2003
Toute personne en bonne santé doit savoir qu'elle peut être utile à ceux qui souffrent. Elle a même ce pouvoir de leur sauver la vie. Ceci par un geste simple (sans répercussion sur sa santé) qui ne lui prendra qu'une demi-heure de son temps : le don de sang. Il se fait à l'aide d'un matériel de prélèvement à usage unique. Un examen de santé exclura celui qui pourrait présenter une contre-indication. Cet examen comprendra une pesée, une prise de la tension artérielle et un interrogatoire détaillé auquel le donneur répondra sincèrement pour son propre intérêt et celui du receveur. La quantité du sang prélevée sera fonction de son poids 450 ml pour les plus de 50 kg et une poche pédiatrique pour les moins de 50 kg. Après ce prélèvement, plusieurs examens biologiques y sont pratiqués. La détermination du groupe sanguin, la recherche d'infections par les virus de l'hépatite B, de l'hépatite C et par le VIH. Des examens qui s'effectuent de façon complètement anonyme. L'anonymat ne sera levé que lorsque le donneur part prendre connaissance des résultats. Que se passe-t-il en cas de présence d'un quelconque virus ? La présence du virus de l'hépatite B, très répandue dans la population, fera éliminer un certain nombre de poches et exclure environ un sixième des donneurs. Ce virus, le plus souvent bien toléré dans le sang des adultes, serait dangereux s'il était passé à des jeunes enfants. La présence du virus de l'hépatite C fera exclure un faible nombre de donneurs, et plus rarement encore celle du VIH. Dans ce cas sus-cités le donneur sera adressé à un service spécialisé. Ce qui signifie que ne pas pouvoir être donneur ne veut pas forcément dire qu'on est infecté par le VIH/Sida. Ceux qui répugnent alors à donner leur sang par peur du résultat de la sérologie VIH, seront à plus de 95 % des cas soulagés. On ne peut devenir donneur qu'à l'issue de tous ces examens s'ils sont négatifs. Etre donneur régulier, c'est donner au moins deux fois par an et chaque fois qu'on lui demande son sang.
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2003_11_03/societe_2.htm

Centre : Relations tendues entre le personnel de l'hôpital de Ngoumou - Cameroon-tribune - Cameroun - 11/03/2003
Ngoumou (Mefou-et-Akono) - L'hôpital de district de Ngoumou connaît depuis des mois une situation de tension susceptible de dégénérer en crise aiguë. En effet, il y a quelque temps, une commission de contrôle venant de Yaoundé avait mis la main sur un important stock de médicaments au sein duquel il y avait des produits périmés, selon les responsables chargé du contrôle. Aujourd'hui, c'est le leadership qui fait l'objet d'un conflit ayant divisé le personnel en clans rendant ainsi l'approche du malade du médecin traitant assez difficile. Le chef BAAF pour des raisons évoquées plus haut est écarté de toute gestion administrative au sein de l'hôpital. Le chef de service de district de santé et le médecin-chef de l'hôpital de Ngoumou sont diamétralement opposés. Le personnel est également divisé. Pour le moment, le même personnel se plaint de l'utilisation abusive du crédit de fonctionnement et du matériel de l'hôpital. C'est tous ces comportements, tout ce flou qui suscitent des tensions au sein de l'hôpital de Ngoumou. Les malades en sont malheureusement des pauvres victimes. Les autorités compétentes sont saisies de la situation.
Lire l'article original :
http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j17032003&idart=6726&olarch=j11032003

Sud : Le centre de santé intégré de Doum réfectionné - Cameroon-tribune - Cameroun - 11/03/2003
Ngoulémakong (Mvila) - Les populations du secteur du centre de santé intégré de Doum chefferie, dans l'arrondissement de Ngoulémakong, renouent avec leur unité de santé c'est à la suite de travaux de réfection réalisés par le gouvernement, sur une enveloppe de 14 millions de F CFA. Le centre a été non seulement refait, mais en plus équipé. La capacité de service de la pharmacie a été renforcée. Les patients peuvent s'y faire hospitaliser et y obtenir des produits pharmaceutiques à moindre coup. L'infirmier du centre de santé, M. Mvondo Marcellin, procède aussi à moindre coup aux différents examens de laboratoire. Ici, le paludisme est une véritable endémie. Cependant, les populations essayent à leur niveau, d'observer des règles d'hygiène et de salubrité. La campagne de prévention contre le Sida n'est pas en reste. Une fois par mois, des causeries éducatives ont lieu dans les villages sur cette autre endémie. L'infirmier-chef estime que l'adhésion des populations à la campagne contre le sida, explique la faible présence du VIH/Sida dans la localité. Des campagnes de vaccination sont organisées régulièrement sur place et dans des villages.
Lire l'article original :
http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j17032003&idart=6725&olarch=j11032003&ph=y

Congo-Brazzaville : le nouveau bilan d'Ebola fait état de 98 morts - Cameroon-tribune - Cameroun - 10/03/2003
Au moins 98 personnes ont été tuées par l'épidémie de la fièvre hémorragique d'Ebola dans le département de la Cuvette Ouest au nord-ouest du pays, d'après un nouveau bilan officiel rendu public samedi. Le nombre total de cas détectés est passé à 135 depuis le déclenchement de la maladie le 4 janvier dernier dans les districts de Kellé et de Mbomo respectivement à 700 km et 800 km de la capitale, à la frontière gabonaise. Vendredi, le bilan était de 94 morts pour 112 cas détectés pour les deux districts. Selon le directeur de la lutte contre la maladie au ministère congolais de la Santé et de la population, Joseph Mboussa, de nouveaux cas ont été découverts dans plusieurs villages du district de Kellé qui constitue le principal foyer de l'épidémie. Un collectif de parlementaires originaires de la Cuvette Ouest a reproché au gouvernement de ne pas gérer cette épidémie "dans l'équité et l'égalité" et de ne pas avoir débloqué les fonds à temps pour aider les populations victimes d'Ebola. L'augmentation du nombre de cas et de victimes s'expliquerait par le fait qu'à Kellé, les populations se sont montrées hostiles aux campagnes de sensibilisation et de prévention menées par des équipes de santé sur les moyens de se protéger contre le virus. Les populations de Kellé ont cru que l'épidémie était un mauvais sort jeté par Dieu ou la conséquence des pratiques magiques. Par contre, à Mbomo, les populations ont accepté les campagnes. Au début de l'épidémie, les populations ont caché des cas ou manipulé les corps des victimes. Jeudi dernier, le ministre de la Santé et de la population, Alain Moka, a indiqué que face au désastre causé par le virus, les populations de Kellé commençaient à être "réceptives" aux messages de prévention. Moka a également indiqué que le gouvernement a envoyé 30 tonnes d'aide alimentaire aux populations victimes d'Ebola. Le programme alimentaire mondial (PAM) a fourni 7 tonnes supplémentaires de riz et d'huile végétale. Le virus d'Ebola est très contagieux. La contamination se fait par les contacts avec les secrétions du malade : (sang, salive, urines) - ou par la manipulation des corps des victimes. L'épidémie a déjà sévi une première fois en 2001-2002 dans les districts de Kellé et de Mbomo. Comme lors de la première épidémie, celle qui est actuellement en cours fait suite à la consommation par les populations de la viande des gorilles trouvés en forêt ou par la manipulation de leurs carcasses. Des centaines de gorilles sont morts dans le sanctuaire de la Lossi situé entre les districts de Kellé et de Mbomo, qui abrite le parc national d'Odzala, le plus vaste d'Afrique centrale qui compte 20.000 gorilles, soit la plus importante population de gorilles d'Afrique centrale.
Lire l'article original :
http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j17032003&idart=6681&olarch=j10032003

 

Page précédente Accueil actualités Page suivante

Copyright © 2003 NG COM Santé tropicale. Tous droits réservés. Site réalisé et developpé par NG COM Santé tropicale - Présentation du site