Contactez_nous La_santé_tropicale_sur_internet L'actualité de la santé tropicale Novembre 2002
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Ensemble contre le sida : les universités du Nord et du Sud se donnent la main - sidwaya - Burkina Faso - 07/11/2002

"Université du monde", une ONG française organise conjointement avec l'université de Ouagadougou une série des conférences et des travaux dirigés sur la pandémie du Sida en Afrique du 28 octobre au 15 novembre 2002. L'Amphi B de l'université de Ouagadougou abrite les activités.
"Les maladies virales, bactériennes, parasitaires et émergentes", ce thème retient l'attention de cinquante (50) participants venus de douze (12) pays et de dix (10) organismes de chercheurs. Au total vingt (20) cours magistraux et dix (10) séances de travaux dirigés (TD) seront organisés au profit des étudiants des filières concernées. Pour le grand public, il est prévu trois conférences et trois rencontres-débats. Lire

Don de la Croix-Rouge au Centre de Santé de Dagbati - Le Togolais - Togo - 07/11/2002
L'équipe de la Croix -Rouge d'Alfortville, une ville de France a remis un don de produits pharmaceutiques au village d'Agbati, un village situé à 15 kms de la ville de Vogan. D'un coût total de 927.292FCFA, le don est composé de 35 catégories de produits et vise notamment à améliorer les conditions de vie des populations de cette zone.
Un lot de matériels médicaux a été remis l'année passée à cette même population. Ce qui a fait dire à un responsable de la ville : " hier c'étaient des matériels, aujourd'hui des produits, demain ce sera l'eau, merci à vous Français ". Les populations évidemment manque d'eau potable.
Lire l'article original : http://www.letogolais.com/article.html?nid=487
132 agents de santé de première prêtent serment à Bobo - sidwaya - Burkina Faso - 07/11/2002

Les structures de santé auront bientôt à leur disposition, de nouveaux agents. Ils ont reçu leurs attestations de fin de formation et prêté serment le 29 octobre dernier après deux années de scolarité à l'ENSP de Bobo-Dioulasso. Sur les 132 agents, il y a 51 agents itinérants de santé, 89 accoucheuses auxiliaires, 51 d'entre eux, inscrits à titre privé, attendent que l'Etat veille à leur embauche effective.
La cérémonie de sortie de promotion était présidée par le ministre de la Santé, Alain Yoda, et parrainée par le docteur-pharmacien, Alfred Sanou. Ces agents de 1re ligne, la 37e promotion de l'ENSP qui, à ce jour, a formé 900 agents, a pris pour nom de baptême "Docteur Paul Kambiré", médecin émérite décédé et représenté à la cérémonie par son épouse.
Aux lauréats de la promotion 2000 - 2002, le ministre de la Santé a promis d'être attentif à leurs doléances d'ensemble.
Le parrain, pour sa part, a exhorté les lauréats à ne pas négliger la médecine traditionnelle. Quant au directeur général de l'ENSP, Jean Bosco Dabiré, il a invité la promotion à toujours servir l'excellence, à l'image du parrain et du docteur Paul André Kambiré.
Jean-Luc BONKIAN
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2002_11_07/sidwaya.htm

Le grand chantier de la prévention - Le soleil - Sénégal - 06/11/2002

Appelée hier en consultation à la présidence de la République, la conservation du Pr. Awa Marie Coll Seck au poste de ministre de la Santé et de la Prévention dans le nouveau gouvernement du Premier ministre Idrissa Seck, est, si elle se confirme, révélatrice d'un fait précis. Cette Femme est à sa place.
Si on revisite l'histoire, de 1960, à l'avènement de Mamadou Diop (entre 1978 et 1984), de l'occupation de ce poste ministériel (qui détient, il faut le rappeler, avec celui de l'Education nationale, la plus grande part de la demande sociale), les médecins comme le Pr. Awa Marie Coll Seck, notamment les Drs Daouda Sow, Makhtar Ndiaye, Abdoulaye Ly, Amadou Cissé Dia (rappelé à Dieu récemment) et autres, n'ont pas eu à agir comme précurseur, sur la promotion du statut des personnels de santé.
Une planification réelle du développement de la santé n'a vu le jour qu'avec Mamadou Diop, qui a eu à asseoir durablement l'implication municipale dans ce secteur et le démarrage de programme sanitaire. Suivront Assane Diop et Ousmane Ngom, qui ont eu à leur tour respectif à faire avancer les choses à travers les programmes départementaux et régionaux de développement sanitaire, puis, en octobre 1997, la grande et ambitieuse planification sanitaire par la mise en oeuvre du PDIS, premier plan quinquennal du Plan national de développement sanitaire (1998-2007). Lire

Des soins gratuis pour les malades du Noma - sidwaya - Burkina Faso - 06/11/2002

Le ministre de la Santé M. Alain Yoda et son excellence M. Maurice Portiche, ambassadeur de France au Burkina se sont rendus, jeudi 31 octobre 2002, à l'hôpital pédiatrique Charles de Gaulle pour rendre visite aux enfants malades du Noma en traitement. L'objectif affiché par cette visite était de s'imprégner du travail effectué par des associations et Organisations non gouvernementales (ONG).
Le Noma est une maladie d'origine infectieuse liée à une déficience immunitaire touchant en majorité les enfants. Les facteurs qui prédisposent à cette maladie sont généralement la malnutrition, le mauvais état bucco-dentaire ou encore un état infectieux. Lire

Vaccination : 50 médecins africains se forment à Ouidah - Fraternité Matin - Côte d'Ivoire - 06/11/2002

Les bases de la formation de cinquante médecins aux nouvelles techniques de la vaccinologie avaient été jetées à Abidjan en juillet dernier, lors de la réunion des partenaires. C'est en application de cet engagement que le premier cours a démarré, lundi, à l'Institut régional de la santé publique de Ouidah au Bénin. Il est dénommé " formation Epivac " et concerne quatre pays de la sous-région que sont le Bénin, le Mali, le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire.
Cinquante médecins, chefs de districts y participent. Lire

Sida : le remède synergique. La presse parisienne conviée au sommet des premières dames les 15 et 16 novembre prochain à Yaoundé
Cameroon Tribune - Cameroun - 06/11/2002

Urbain Olanguena Awono, très radieux, déclarait hier après-midi : " Je suis satisfait de cette conférence de presse qui a connu une participation nombreuse de la presse internationale basée à Paris et de la presse camerounaise". Le ministre de la Santé publique exprimait là tout son ravissement à la fin de la rencontre avec les journalistes pour le lancement du sommet des premières dames sur le sida, prévu dans deux semaines dans la capitale camerounaise. C'est clair, le rendez-vous de l'hôtel Plaza n'a pas été manqué. Le salon Marie Antoinette de l'hôtel Plaza Athénée, où se tenait l'échange, a fait le plein de journalistes.
Et pour donner tout de suite une idée de l'ampleur du problème, un documentaire vidéo d'une dizaine de minutes. Les invités ont pu y voir les ravages du sida au Cameroun. Et en réponse, une présentation de la nouvelle approche multi-sectorielle de lutte contre la maladie au Cameroun, l'implication du chef de l'Etat et de son épouse Chantal Biya. Avec en prime, beaucoup de chiffres pour que les choses soient plus visibles. Lire

Médecine Traditionnelle : les faux tradithérapeutes sabordent la pratique de la profession - Internetafrica - Gabon - 05/11/2002

Le ministre de la Santé, Faustin Boukoubi, a ouvert hier les travaux de la réunion du comité régional d'experts en médecine traditionnelle, convoquée à Libreville par l'OMS.
Après Harare (Zimbabwe) en 2001, Libreville accueille depuis hier matin les travaux du comité régional d'experts en médecine traditionnelle, mis en place par le Bureau régional de l'OMS Afrique. Venus du Burkina Faso, RD Congo, Ghana, Kenya, Madagascar, Nigeria, Ouganda, Swaziland .., ces participants, parmi lesquels d'éminents universitaires, vont, durant cinq jours, "Fournir des avis d'experts sur des documents techniques spécifiques à l'institutionnalisation de la médecine traditionnelle dans les pars de la Région africaine de l'OMS". Lire

Un cri d'alarme du pronanut : 90% des congolais souffrent de la malnutrition - Le Phare - R.D.Congo - 05/11/2002

La prise en charge de la malnutrition aiguë a été au centre des débats, la semaine passée, entre le Programme national de nutrition, Pronanut et une vingtaine de structures intéressées à ce phénomène.
Au nombre desquelles, l'Unicef, le Hcr, le Pam, Save the Children, Action contre le faim, Caritas, Bdom etc.. Cadre choisi pour la circonstance: le centre Nganda. La clôture desdits travaux, intervenue d'ailleurs le samedi passé, a été sanctionnée par l'élaboration d'un protocole national unique.
Dans la foulée de ces travaux, les formateurs kinois et provinciaux ont suivi un cours de formation relatif à la thérapeutique de la malnutrition. Intervenant en liminaire, le directeur du Pronanut, le Docteur Tambwe Kibambe, a esquissé la configuration et les lignes maîtresses dudit rapport. Lequel devrait faire un état des lieux, définir des objectifs, élaborer des stratégies de lutte et une meilleure structuration etc. Lire

Lutte contre les mutilations génitales féminines : les parlementaires sur les pistes de Foundiougne - Le soleil - Sénégal - 05/11/2002

Les populations de Némanding, village-carrefour de forte tradition dans le département de Foundiougne, ont accueilli, mercredi dernier, le réseau des parlementaires sénégalais sur la population et le développement, engagé depuis quelques mois dans la mise en oeuvre d'un programme de sensibilisation sur les effets néfastes des mutilations génitales. D'ailleurs, ce programme est intitulé : "les parlementaires du Sahel se mobilisent dans la lutte transfrontalière contre les mutilations génitales féminines au Sénégal, en Gambie et en Guinée-Bissau". Après Kaboa (région de Kolda) et Kambadio (Guinée-Bissau), une séance publique de sensibilisation contre ces pratiques néfastes à la santé de l'enfant, notamment les mutilations génitales féminines, a été organisée dans ce village de Toubacouta. Elle a été présidée par le directeur de Cabinet du ministre de la Famille et de la Petite Enfance, Amadou Yoro Ndiaye, en présence du préfet de Foundiougne, Léopold Wade, des parlementaires sénégalais et gambiens, des partenaires au développement (ONG Tostan, FNUAP, UNICEF, Equilibre et Population de Paris, Réseau "Islam et Population") et les populations du Niombato, fortement mobilisées.
Au nom des femmes de Némanding, Mme Fatou Sarr a salué l'initiative du réseau des parlementaires de venir sensibiliser les populations sur les questions de santé, notamment sur l'excision, qui a été abandonnée dans ce village. Aussi, devait-elle magnifier les multiples actions de l'ONG Tostan qui intervient dans leur terroir dans les domaines de la santé, de l'assainissement, de l'éducation. Lire

90 % des malgaches ont des problèmes dentaires : un projet de fluoration du sel pour prévenir les caries - Midi Madagasikara - Madagascar - 05/11/2002
"Si le taux normal de CAO (dent cariée, absente ou obturée) est de 3, pour la plupart des Malgaches, il est de 12. 90% des Malgaches ont des problèmes dentaires". L'information est du président de l'Ordre National des Odonto-Stomatologistes, le Dr. Andriamasy Eugène. C'était, hier après-midi au Motel de Tana Anosy, pendant la conférence de presse des dentistes à l'occasion du XIIème séminaire national des Odonto-Stomatologistes de Madagascar. Plus de 300 dentistes venant des quatre coins de la Grande Ile sont attendus à ce regroupement dont les travaux se dérouleront au même endroit les 7 et 8 novembre 2002 prochains. Lire
Alain Yoda dit merci aux combattants du noma - Visite au CHNP Charles de Gaulle - L'observateur Paalga - Burkina-Faso - 04/11/2002

Le jeudi 31 octobre 2002 a eu lieu au Centre hospitalier national pédiatrique Charles-de-Gaulle une visite guidée du ministre de la Santé, Alain Yoda. Initiée par le ministère de la Santé, cette visite avait pour objet de constater de visu le travail abattu par une délégation d'associations et d'ONG pour venir à bout du noma. L'ambassadeur de France, Maurice Portiche, et son épouse étaient de ce rendez-vous.
Une délégation issue d'une dizaine d'associations et d'ONG françaises, belges, suisses..., en mission à Ouagadougou, a bataillé dur pour soigner les enfants victimes du noma. Le noma, faut-il le rappeler, est une maladie qui se manifeste par des légions au niveau de la bouche, la joue, les lèvres ou le nez, et finit,
si elle n'est pas soignée, par ronger toute la partie atteinte. Le noma, comme l'a dit le docteur Lassara Zala, est causé notamment par le manque d'hygiène.
Pour soigner cette maladie, il est prescrit au patient des antibiotiques (pour les cas jugés non graves) ou alors on procède à une intervention chirurgicale (pour les cas graves). Le travail de l'équipe des soigneurs du noma de l'hôpital pédiatrique Charles-de-Gaulle a consisté à la chirurgie.
Cette équipe composée d'hommes avertis de ce mal a bossé avec des docteurs de Ouagadougou afin de les rendre plus aptes à guérir le noma. Ensemble, ils ont pu
souligner nombre d'enfants qui souffraient de cette maladie longtemps ignorée par les populations. Un tour des malades a permis au ministre Alain Yoda d'être satisfait des résultats de cette mission. Il a ainsi remercié et encouragé la mission pour le boulot abattu et a souhaité la continuation d'une telle collaboration profitable à la population. Notons que la délégation de ces associations et ONG, qui trouve que les docteurs ouagalais auront à présent moins besoin de son assistance pour soigner le noma (la délégation est à sa troisième mission à Ouagadougou), envisage de construire un centre médical à Ouahigouya. Dans cette ville, la mission compte initier également le corps médical de la localité aux soins du noma.
Au regard des dommages que cause cette maladie, on ne peut que souhaiter que cette collaboration puisse permettre à nos médecins d'être plus prompts à guérir ce mal rongeur.
Nankoita Dofini
Lire l'article original : http://www.lobservateur.bf/debq.htm

Lutte contre les IST/VIH/SIDA : le préservatif féminin arrive à Diamniadio - Le soleil - Sénégal - 04/11/2002

Dans l'arrière-cour d'un bar de Diamniadio, nous avons assisté, l'autre samedi, à une séance de sensibilisation des prostituées sur les infections sexuellement transmissibles et le VIH/SIDA. Le port du préservatif entre petit à petit dans les mœurs. Les clients qui refusent d'en faire usage sont désormais montrés du doigt. Le patron de l'hôtel n'hésite pas souvent à envoyer un gros bras retirer sans ménagement un client récalcitrant des entrecuisses d'une prostituée. Choses vues et entendues à Diamniadio.
Un samedi après-midi ordinaire. Nous sommes à Diamniadio, une bourgade en pleine expansion située à une quarantaine de kilomètres à l'Est de Dakar. C'est là que les deux principales routes nationales se rejoignent pour n'en former qu'une par laquelle hommes, véhicules et marchandises rallient l'agglomération dakaroise. Les routiers y font halte. Gargotes, bars, restaurants, hôtels et maisons closes offrent aux routiers et à tant d'autres hommes et femmes les plaisirs de la table et de la chair. En certains endroits, la bière et le vin coulent à flot. Des prostituées de tous âges et de toutes nationalités y officient. Beaucoup d'entre elles sont des professionnelles et disposent d'un carnet sanitaire. Lire

Fin de la réunion sur l'initiative "Faire reculer le paludisme " : Pour une intensification des efforts - Internetafrica - Gabon - 02 et 03/11/2002

Les experts de huit pays du bloc épidémiologique de l'Afrique centrale qui viennent de se séparer à Libreville ont mis cette préoccupation dans leur plan d'action pour l'année 2003.
Ouverte en début de semaine, la réunion de revue et de planification des activités de l'initiative "Faire reculer le paludisme (FRP)" s'est achevée jeudi dernier, à l'hôtel Atlantique, cadre des travaux de cette rencontre sanitaire sous-régionale.
Organisée par le Bureau régional de l'Organisation mondiale de la santé pour l'Afrique (OMS/AFRO), cette assemblée a réuni à Libreville, une vingtaine d'experts venus de huit pays d'Afrique centrale (Cameroun, Congo, Gabon, Guinée-Équatoriale, République centrafricaine, RD Congo, Sao Tomé et Principe, Tchad). Il s'agissait pour eux, à partir des progrès accomplis au cours de l'année 2002, d'élaborer un plan d'action pour l'année 2003. Lire

L'OMS affirme que le tabagisme tuera 8,4 millions de personnes par an d'ici 2020 - Le Phare - R.D.Congo - 01/11/2002
Une étude de l'Organisation mondiale de la santé affirme que le tabagisme, qui tue déjà quelque 4,9 millions de personnes par an, sera responsable de la mort de 8,4 millions de personnes d'ici à 2020 si des mesures strictes ne sont pas appliquées pour le contenir.
L'étude, intitulée "Atlas du Tabac", a été réalisée avec la coopération des Centres des Etats-Unis pour le contrôle et la prévention des maladies. Le document affirme par ailleurs que la moitié des jeunes fumeurs d'aujourd'hui mourront de maladies liées au tabac, et que 70% de ces décès prévus se produiront dans les pays en développement.
La publication de l'étude intervient alors qu'ont lieu à Genève des négociations sur la rédaction d'une Convention-cadre relative au contrôle du tabagisme.
Lire l'article original : http://fr.allafrica.com/stories/200211010046.html
Le Ministre de la Santé lance à Pointe-Noire la campagne d'imprégnation des moustiquaires - Les dépêches de Brazzaville - R.D.Congo - 01/11/2002
Alain Moka a procédé le 29 octobre, à Pointe-Noire, au lancement de la campagne d'imprégnation des moustiquaires. La cérémonie s'est déroulée dans l'enceinte de l'Hôpital Adolphe Sicé en présence du représentant de l'OMS au Congo, Lamine Cissé Sar, et du directeur régional de la Santé du Kouilou, Louis Goma.
Après la remise de plusieurs moustiquaires imprégnées par le ministre, une équipe de techniciens a expliqué au public les méthodes d'imprégnation. Puis le directeur régional de la Santé a déclaré que la lutte contre le paludisme est désormais lancée de manière efficace dans la région grâce à la conjugaison de stratégies d'harmonisation des attitudes thérapeutiques par un personnel formé spécialement, des efforts d'assainissement entrepris par la mairie de la ville de Pointe-Noire et de la protection individuelle par la fourniture de moustiquaires imprégnées. Louis Goma a annoncé que cinq centres d'imprégnation sont déjà en fonctionnement dans la région : à Loandjili, à Mawata, dans le quartier Ndaka-soussou, à Mbota et à Bilala, une gare du Chemin de fer Congo-Océan (CFCO).
Rappelons que le paludisme constitue la première cause de consultation et d'hospitalisation au Congo, avant les maladies diarrhéiques et le sida. Il est la principale cause d'avortement car il frappe essentiellement les femmes enceintes et les enfants.
Lire l'article original : http://www.brazzaville-adiac.com/
Hôpital National de Niamey - Le personnel soignant en grève de 3 jours - Le Républicain - Niger - 01/11/2002
Gestion cavalière, patrimoniale et irrationnelle à l'hôpital national de Niamey.
La sonnette d'alarme vient d'être tirée par le comité syndical de l'hôpital national de Niamey, relevant du syndicat unique de la santé et de l'action sociale (SUSAS) à travers une grève de 72 heures avec service minimum qu'il observe depuis hier mercredi. Selon les responsables syndicaux, contrairement aux établissements publics à caractère administratif (EPA) que sont l'hôpital national de Lamordé, l'hôpital national de Zinder, l'ENSP de Niamey, l'ENSP de Zinder et l'ISP de Niamey, l'hôpital national de Niamey
demeure le seul établissement à ne pas appliquer le statut particulier du personnel. Lire
SAI-Pharma s'engage à fournir des médicaments anti-rétroviraux contre le SIDA au Congo - Les dépêches de Brazzaville - R.D.Congo - 01/11/2002
Le gouvernement congolais et la société Chemical industrial and pharmaceutical ont signé la semaine dernière une convention de partenariat portant sur la fourniture au Congo de médicaments anti-rétroviraux contre le sida. Le document a été paraphé par le ministre de la Santé et de la population, Alain Moka, et le directeur général de SAI-PHARMA, M. Sippy Vinod, représentant de la CIPLA au Congo.
Par cette convention, la société s'engage à fournir au ministère congolais de la Santé des médicaments anti-rétroviraux conformes aux normes internationales de fabrication. Le ministère de la Santé, par l'entremise de la Centrale nationale d'achat des médicaments, consommables et vaccins essentiels (CENAMES), s'engage quant à lui à distribuer ces médicaments aux malades pris en charge par le Programme national de lutte contre le SIDA (PNLS) et à promouvoir l'accessibilité de ces produits pour les populations concernées.
SAI-PHARMA, qui est une filiale de la CIPLA, est basée à Pointe-Noire (Kouilou).
Lire l'article original : http://www.brazzaville-adiac.com/
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