Contactez_nous La_santé_tropicale_sur_internet L'actualité de la santé tropicale Mai 2002
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RADIOLOGIE AU SENEGAL : Bons praticiens cherchent matériel adéquat - Wal Fadjri - Sénégal - 27/05/02
Comme les autres branches de la médecine, la radiologie a fait l’objet de perfectionnements avec les nouvelles technologies. La radiologie est, rappelle t-on, la partie de la médecine qui utilise à des fins diagnostiques ou thérapeutiques les rayons X, les isotopes radioactifs et les radiations non ionisantes (ultrasons). La radiographie, la radioscopie et l’échographie entrent dans le cadre général de l’imagerie médicale qui permet l’examen interne du corps humain et l’obtention d’une image pour le diagnostic médical. Lire
Séminaire sur la maternité sans risque à Nouakchott - AMI - Mauritanie - 27/05/02

Un atelier technique sur la maternité sans risque, organisé par le ministère de la santé et des affaires Sociales avec la collaboration de l’OMS, a été ouvert à Nouakchott hier. Plusieurs experts nationaux et des pays voisins participent à cette rencontre qui vise la formulation et la mise en œuvre d’une stratégie de communication et de plaidoyer pour une maternité sans risque, inspirée du processus Reduce. Le processus Reduce constitue un modèle informatique basé sur l’analyse de la situation. L’atelier est destiné à renforcer les capacités des participants en matière de communication et de plaidoyer pour la santé maternelle. Le programme de l’atelier prévoit la présentation des exposés traitant les techniques de plaidoyer, ses termes de référence, la présentation du mode Reduce et la situation de la santé maternelle et mentale en Mauritanie. Prenant la parole à l’occasion du démarrage de l’atelier, le directeur de la protection sanitaire, Dr Idoumou Ould Mohamed Vall a souligné l’intérêt qu’accorde notre pays à la lutte contre la mortalité maternelle et infantile, précisant que cet intérêt se traduit à travers la mise en place des programmes régionaux pour les maternités sans risque.
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www.mauritania.mr/fr/actu/actualitesd%E9tail.asp?codenews=AMI_020527G

L'OLM-Ouaga Soleil organise un don de sang - sidwaya - Burkina Faso - 23/05/02
L'Organisation locale membre OLM-Ouaga Soleil a organisé en collaboration avec les étudiants de l'Université de Ouagadougou, un don de sang vendredi 17 mai 2002. L'opération a été précédée par la mise sur pied de l'Organisation spéciale membre (OSM) du campus de Zogona. Lire
GAMOU 2002 : 200 agents médicaux, sept ambulances et un hélicoptère pour le Gamou - Sud Quotidien - Sénégal - 23/05/02
A 72 heures du grand Gamou, Tivaouane est fin prêt à recevoir ses pèlerins. Le constat a été fait au cours de la réunion d’évaluation des préparatifs du Gamou annuel de Tivaouane tenue le mardi 21 mai, au domicile du Khalife général des Tidjane, Serigne Mansour Sy, " Borom daradji ". Lire
Lutte contre le Sida : Le Réseau Afrique 2000 se penche sur la gestion des associations membres - sidwaya - Burkina Faso - 23/05/02
Le Réseau Afrique 2000, constitué d'associations de lutte contre le Sida de sept pays d'Afrique et la France a réuni du 13 au 17 mai dernier, ses différents membres à Bobo-Dioulasso. Cette instance régulière de concertation et d'évaluation appelée regroupement, en sa 8e édition, s'est déroulée à l'hôtel Relax, diligentée par l'Association REVS+ du Burkina, une des associations de lutte contre le Sida dans notre pays. Lire
ENSEMBLE CONTRE LE SIDA : Bientôt un guide d'élaboration des plans d'action - sidwaya - Burkina Faso - 23/05/02
Des représentants de structures de lutte contre le Sida sont réunis au stade du 4-Août du 20 au 23 mai 2002 pour réfléchir sur les mécanismes d'élaboration, de suivi et d'évaluation des plans d'action du secteur de la communauté. Ceci pour lui permettre de disposer d'un guide. La rencontre du stade du 4-Août ambitionne de définir un ensemble de données adéquates en vue de réaliser un guide sur la planification et le suivi-évaluation des activités des Organisations à base communautaire (OBC). Pour ce faire, la quinzaine de participants se sont penchés sur deux sous-thèmes : l'élaboration des plans d'action et leur suivi-évaluation. S'agissant du premier point, les participants ont dégagé les domaines prioritaires du secteur communautaire par axe stratégique (axe 1, 3 et 4) de manière simplifiée, étayés par des exemples d'activités. Ils ont proposé un canevas type d'élaboration des plans d'action aussi bien des associations de base de lutte contre le Sida que des coordinations des OBC. Ils ont également défini les périodes d'élaboration des plans d'action et celles des instances d'examen et d'approbation. Ils ont en outre déterminé des critères d'appréciation (juridiques, de forme et de fonds) des plans d'action des associations de base, des ONG, des communautés religieuses, des réseaux. Concernant le deuxième point, ils ont défini la périodicité et les organes de suivi et d'évaluation des activités des OBC et proposé un canevas type de présentation des bilans d'activités par domaines prioritaires : activités de prévention, de formation et de prise en charge. M. Pascal Ouédraogo, chef du département chargé des communautés coutumières et religieuses, OBC et ONG au SP-CNLS-IST a indiqué que cette rencontre entre en droite ligne des attributions du SP-CNLS-IST mais aussi fait suite au constat que les organisations de lutte contre le Sida rencontrent des difficultés quant à l'élaboration de leurs plans d'action. C'est pourquoi dira-t-il, il est nécessaire de les doter d'un instrument pour les aider dans leur combat quotidien. Le guide qui verra le jour bientôt, fera probablement l'objet d'une rencontre afin qu'il soit adopté par toutes les parties prenantes dans la lutte contre le Sida et les IST. Charles OUEDRAOGO
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www.sidwaya.bf/sid23_05_02/societe-7.htm
Campagne de sensibilisation : La Rue Princesse va “Dja foule sur le sida” - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 23/05/02
Témoignages, projection de film, marche, formation, conférences, concerts… sont au programme de cette grande campagne de sensibilisation que va vivre la Rue Princesse de Yopougon du vendredi 24 au samedi 26 mai prochain à l’initiative de Primus agence dirigée par M. Guillaume Kalou, en collaboration avec la mairie de Yopougon.
Durant trois jours, la Rue Princesse s’animera davantage, cette fois aux couleurs des slogans, des chansons et des messages sur le Vih/Sida.
“Dja foule”, c’est susciter un attroupement, mobiliser, faire adhérer, etc. en langage populaire.
“ Dja foule sur le sida à la Rue Princesse”, afin que ce lieu qui attire des milliers de jeunes ne batte plus le record de la propagation du sida, souhaitent les organisateurs.
“ Dja foule sur le sida à la Rue Princesse ” également pour que les personnes saines le demeurent et que celles qui sont malades vivent encore longtemps sans contaminer les autres. Lors de cette campagne de sensibilisation, la jeunesse, la cible visée, pourra se parler et discuter avec les Ong dans des points de rencontre dits “Des k ”.
Les bistrots et les maquis de la Rue Princesse ont accepté, selon les organisateurs, de diffuser en majorité pendant ces trois jours, des œuvres discographiques parlant du sida. Et régulièrement, des spots sur le sida seront projetés.
A tout cela, il faut ajouter les conférences, un atelier de formation des disc-jockeys des maquis, bars et bistrots de la Rue Princesse de Yopougon sur les stratégies de sensibilisation et de lutte contre le sida et deux concerts gratuits. B.Z
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www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=11032
Lutte contre le VIH/Sida : De nouvelles dispositions pour les associations - L'observateur Paalga - Burkina Faso - 23/05/02
Bobo-Dioulasso a abrité du 13 au 18 mai dernier le 8e regroupement du Réseau Afrique 2000. Organisée sous l’égide de l’association REVS+
Cette rencontre a regroupé une quinzaine d’associations de lutte contre le VIH/Sida venues du Burundi, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, du Mali, du Niger, du Togo, du Burkina et de la France. Prenaient également part à cette rencontre, des organisations internationales telles que l’AIDES et l’ONUSIDA. Il s’est agi au cours des travaux de réfléchir sur le thème : La gestion des associations de lutte contre le Sida. Enjeux, méthodes, outils. Lire
Donneurs de sang : 23 mai: la reconnaissance pour ces sauveurs de vie - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 23/05/02
La Côte d’Ivoire compte environ 8000 anonymes dont 6000 à Abidjan, qui donnent un peu de leur vie pour sauver des vies. La Fédération internationale des organisations de donneurs de sang (FIOT) dont est membre l’Union nationale des donneurs de sang de Côte d’Ivoire dirigée par M. Adamou Maïga a décidé de célébrer ces bénévoles de la santé. Pour magnifier ces anonymes à qui toute l’humanité doit vouer une reconnaissance infinie, le ministère de
la Santé publique à travers le Centre national de Transfusion sanguine d’Abidjan dirigé par le docteur Saïdou Konaté veut leur préparer une fête digne de ce nom. Aussi a-t-il reporté la célébration de ce jour à une date ultérieure. B.Z
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www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=11033
Ensemble contre le Sida : Le RENAPEES au secours des orphelins-enfants-vulnérables (OEV) - sidwaya - Burkina Faso - 23/05/02
La pandémie du Sida n'épargne aucune couche sociale. Face à cette situation le Réseau national des associations pour la protection et l'éducation de l'Enfance contre le Sida au Burkina Faso (RENAPEES) mène des actions sur le terrain afin d'apporter sa modeste contribution à la lutte contre le VIH/Sida. Lire
LUTTE CONTRE LE SIDA, LA TUBERCULOSE ET LE PALUDISME : L’Oms crée un fonds mondial - Wal Fadjri - Sénégal - 23/05/02
Les travaux de l’Assemblée générale de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) ont été clôturés le week-end de Pentecôte à Genève. L’organisation a frôlé l’impasse qu’allait constituer la situation sanitaire dans les territoires occupés et en Palestine. Malgré l’opposition des Etats-Unis et d’Israël qui ne se déclare pas responsable de la situation de santé préoccupante des Arabes, les ministres de la Santé ont voté une résolution en faveur des Palestiniens pour que la «communauté internationale accorde beaucoup plus d’attention concernant la santé de ces populations», explique le ministre sénégalais de la Santé, Mme Eva Marie Coll Seck. Lire
«Moolaadé» ou droit d’asile : Sembène Ousmne, abolitionniste de l’excision - L'observateur Paalga - Burkina Faso - 23/05/02
Le premier clap du long métrage du cinéaste-écricain sénégalais Sembène Ousmane, «Moolaadé», a été donné le 18 mai 2002 à Djérisso, par le président de l’Assemblée nationale, M. Mélégué Maurice Traoré, député de la province de la Léraba. Pour la circonstance, on remarquait la présence du délégué général du FESPACO, M. Baba Hama, de cinéastes de renom tels que Gaston Kaboré et Bassouri Timité de la Côte d’Ivoire et du directeur de la production de Moolaadé, M. Bertrand Kaboré. Ce chef-d’œuvre en préparation coûtera plus d’un milliard de francs CFA. Lire
LUTTE CONTRE LE SIDA - Wal Fadjri - Sénégal - 23/05/02
En février dernier, le ministre de la Santé et de la Prévention annonçait un financement de 21 milliards de francs Cfa de la Banque mondiale pour lutter contre le Vih/sida au Sénégal. Une maladie sexuellement transmissible bien connue des Sénégalais. En tout cas, c’est ce qui ressort d’une campagne de mobilisation sociale de la lutte contre les infections sexuellement transmissibles (Ist) sida dans les dix régions du Sénégal entre août et novembre 2001. Cette campagne exécutée par Direct Marketing Communication pour le compte de Family Health International et l’Ademas, sur financement de l’Usaid, a permis d’atteindre 4 683 personnes par le système des niches. Lire
Tradipraticiens et herboristes de Ouagadougou : A l'école des chercheurs - sidwaya - Burkina Faso - 23/05/02
La salle de conférences du Centre national pour la recherche scientifique et technologique (CNRST) a abrité lundi 20 mai 2002, dans l'après-midi, une rencontre d'échanges entre tradipraticiens et chercheurs. La finalité est d'instaurer une meilleure collaboration entre ces deux acteurs dans la promotion de la santé. La médecine moderne et la pharmacopée traditionnelle se complètent dans le système de santé au Burkina. Consciente de cette réalité, l'association Promotion des médecines traditionnelles (PROMETRA) - Burkina s'investit sur le terrain pour valoriser les remèdes naturels. PROMETRA veut nouer des relations de collaboration entre chercheurs et praticiens de la médecine traditionnelle. Elle a initié une rencontre d'échanges avec le directeur de l'Institut de recherche en science de la santé (IRSS) le Pr. Blaise Sondo et des chercheurs du CNRST. Le Pr. Sondo s'est réjoui de l'initiative. Il a indiqué en préliminaire que c'est le ministère de la Santé qui a en charge la gestion de la santé humaine.
Le volet recherche qui les intéresse s'articule sur plusieurs axes. Il s'agit entre autres, de la valorisation du potentiel existant, de la sauvegarde du patrimoine existant. De la collaboration avec les tradipraticiens, le Pr. Sondo se dit disposé à en discuter. La finalité étant de comprendre la médecine traditionnelle, se rapprocher des tradithérapeutes détenteurs de plantes connues et dissiper la méfiance.
Les tradipraticiens rêvent déjà de voir leurs produits en comprimés et en sirop pour le bonheur des patients. M.I.
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www.sidwaya.bf/sid23_05_02/societe-3.htm
PRESERVATION DES FORETS : La menace des tradipratriciens - Wal Fadjri - Sénégal - 23/05/02
L’utilisation des plantes médicinales constitue une grande menace pour les ressources forestières. Dans les stratégies de lutte pour la protection et la préservation des arbres du Sénégal, les herboristes n’ont pas encore été mis à contribution. Pourtant, ceux-ci contribuent grandement au processus de déforestation. Ils mutilent des arbres pour en tirer des substances médicamenteuses. A ce sujet, un pharmacien de l’Université Cheikh A. Diop de Dakar, le Dr Modou Lô, est arrivé à des conclusions alarmantes. Lire
Aide en consommables médicaux : L'hôpital Yalgado reçoit un lot d'une valeur de 30 millions - sidwaya - Burkina Faso - 23/05/02
Du matériel et des consommables médicaux d'une valeur de 30 millions FCFA, c'est le lot que le Centre hospitalier national Yalgado Ouédraogo a reçu de l'organisme français dénommé Assistance médicale inter sanitaire (AMIS). Vendredi 17 mai 2002, les responsables de l'hôpital Yalgado, avec à leur tête, la directrice générale, Mme Christine Naré, ont réceptionné du matériel et consommables médicaux. Ces produits hospitaliers d'une valeur de 30 millions, remis par le médecin-colonel Zidouemba S. Clément, directeur de la médecine préventive devra "profiter aux malades les plus démunis", selon le donateur. Ces produits divers composés de compresses de gaze, de pansements absorbants et bandes extensibles, d'ouate en rouleaux, de stérilisateurs, tubes d'aspiration, de seringues, d'acide pour dialyse... utilisés dans les grands centres hospitaliers étaient initialement destinés aux populations du Namentenga. L'association dénommée Assistance médicale intersanitaire (AMIS) animée par des médecins et pharmaciens français avec lesquels le médecin colonel Zidouemba maintient des relations d'amitié depuis plus de vingt ans est le maître-d'œuvre de cette action humanitaire. La directrice générale du Centre hospitalier national Yalgado Ouédraogo, Mme Christine Naré, en réceptionnant le don a dit que son contenu "correspond bien au type de consommables que notre centre hospitalier a l'habitude d'utiliser". Et ce n'est pas l'unité de dialyse qui "me contredira", ajoute-t-elle. Pour elle, demain, ce pourrait être des équipements biomédicaux ou mieux, un échange de professionnels de la santé pour un perfectionnement plus poussé dans le domaine de la prise en charge de certaines pathologies. Au président de l'AMIS, M. Jean Couturier et des membres de son association, la directrice générale réitère tous ses remerciements. Souleymane SAWADOGO
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CENTRE DES ŒUVRES UNIVERSITAIRES DE DAKAR : Le corps médical exige des primes de motivation - Wal Fadjri - Sénégal - 23/05/02
Le personnel médical du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud) affilié au Syndicat national des travailleurs de la santé (Syntras) réclame sa part des primes de motivation accordées par l’Etat à leurs collègues de la Fonction publique et des travailleurs municipaux de la santé. Lire
La Côte d’Ivoire perd 24 milliards - Notre voie - Côte d'Ivoire - 22/05/02
La Côte d’Ivoire avec l’affaire des 18 milliards survenue en 1998 au ministère de la Santé a fortement émoussé la volonté de ses partenaires de l’Union européenne (UE) à s’engager dans le secteur de la santé.
M. Patrick Lambrechts, attaché financier de la délégation de l’Union européenne (UE) à Abidjan, a révélé récemment dans un entretien avec la presse à San Pedro (il y était en tournée de travail avec le directeur de cabinet du ministre de la Santé pour ouvrir des centres de santé ruraux) que la Côte d’Ivoire a perdu le 8ème Fonds européen de développement (FED) c’est-à-dire 38 millions d’euros soit 24890000000 FCFA. Cette somme était consacrée au financement du secteur de la santé. De l’avis du coopérant européen, cette grosse perte est due à l’affaire des 18 milliards qui avait éclaté en 1998 sous M. Maurice Kakou Guikahué, alors ministre de la Santé publique de Henri Konan Bédié. Pourtant, cet argent devait, selon l’attaché financier de l’UE à Abidjan, renforcer les réalisations du 7ème FED dans son volet “appui santé”. En effet, le 7ème FED a consacré 11,3 milliards FCFA à la santé pour la construction de 25 nouveaux centres de santé, la réhabilitation de 96 centres de santé et de huit hôpitaux généraux. Par ailleurs, le 7ème FED a permis la réhabilitation de la pharmacie de la santé publique (PSP) et de l’Institut national de l’hygiène publique (INHP). Pour M. Lambrechts, après l’affaire des 18 milliards qui, inutilement, a duré 10 ans (1992-2002) et fait perdre à la Côte d’Ivoire le bénéfice du 8ème FED, “les Etats membres de l’UE sont assez sceptiques quant à financer à nouveau le secteur de la santé”. Pour renforcer la confiance des bailleurs de fonds, il faut travailler, selon notre interlocuteur, à renforcer d’abord les capacités du ministère de la Santé à mieux gérer les ressources financières, humaines et logistiques. Notamment, la direction des ressources humaines ; le bureau d’exécution des projets ; la direction de l’équipement et du matériel… En plus, précise M. Lambrechts, une réflexion est en cours pour la création d’une sorte de panier qui va regrouper tous les fonds alloués à la santé par les partenaires au développement (UE; Banque mondiale, FMI…). Il sera défini une procédure unique de décaissement de ces fonds pour les besoins qui seront définis par le ministère de la Santé. C’est par ce travail préalable que l’attaché financier de l’UE à Abidjan pense que le secteur de la santé pourra bénéficier d’une part suffisante dans le 9ème FED estimé pour la Côte d’Ivoire, sur la période 2002-2006, à 264 millions d’euros soit plus de 172 milliards FCFA. “Nous avons constaté que certains centres de santé qui étaient construits sur papier, ne l’étaient pas sur le terrain, dans la réalité”, a affirmé M. Patrick Lambrechts pour justifier le retrait de l’UE de la Côte d’Ivoire à la suite du scandale des 18 milliards.
Coulibaly Zié Oumar
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www.notrevoie.ci/story.asp?ID=5309
PROJETS A RISQUE : La santé, l’agriculture, les transports, l’énergie... sur la tablette - Wal Fadjri - Sénégal - 22/05/02
A la mi-mars 2002, le portefeuille de la Banque mondiale (Bm) pour le Sénégal comprenait vingt-et-un projets, représentant un volume d’engagements de 881 millions de dollars. Le tout pour un montant décaissé de 212 millions de dollars. Le «solde» reste fort négatif, mais le projet Vih/ sida approuvé en février 2002 et le Programme d’amélioration de la nutrition qui l’a été en mars dernier ne sont pas encore entrés en vigueur. Lire
Première logique conjointe des groupes spéciaux "Faire reculer le paludisme/Prise en charge intégrée des maladies de l'enfant" : faire reculer le paludisme - Bénin Gate - Bénin - 22/05/02
Une réunion conjointe des groupes spéciaux "Faire reculer le paludisme/Prise en charge intégrée des maladies de l'enfant" (Frp/Pcime) au Bénin s'est tenue le mercredi 22 mai 2002 au Centre international de conférences (Cic) de Cotonou. Cette rencontre permettra aux participants de passer en revue les progrès réalisés dans la mise en œuvre de Frp/Pcime, d'échanger les expériences avec les partenaires au développement et de déterminer un cadre de collaboration. Le secrétaire général du ministère de la Santé publique, M. Dossou Togbé Pascal, a déclaré que ces assisses marquent une étape fondamentale vers la définition de nouveaux objectifs pour les groupes spéciaux Frp/Pcime. Il a ajouté que la lutte contre le paludisme requiert une action concertée. (Le Matinal)
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A PROPOS DU RÉFECTOIRE DU CENTRE HOSPITALIER DE LIBREVILLE : La direction générale et Entrebat en procès - L'union - Internetgabon.com - 22/05/02
Au sujet du marché conclu entre les deux parties pour la construction du réfectoire du CHL, les conseils juridiques ont été saisis et l'établissement sanitaire a même été traduit en justice. Lire
VIH/SIDA : 70 millions d’Africains menacés d’être affectés d’ici 2010 - Wal Fadjri - Sénégal - 22/05/02
L’avenir de l’Afrique en matière de prévention du Vih/sida n’est pas radieux. Plus de 70 millions d’Africains sont menacés par ce virus si, d’ici 2010, rien n’est fait dans le sens de la prévention. L’avertissement est du directeur du bureau de la communication du Programme des Nations-Unies pour le développement (Pnud) basé à New York. Selon M. Djibril Diallo qui faisait une présentation sur les implications économiques, sociales et politiques de la situation sanitaire en Afrique, lors d’un séminaire sur la santé et la sécurité, «cinq millions d’Africains sont affectés chaque année, ce qui veut dire l’équivalent de 600 personnes par heure». Et pour faire face à la gravité de cette situation, le directeur du bureau de la communication onusienne préconise aux Africains de «ne pas laisser le public sur ces horreurs, mais de continuer plutôt à la recherche de solutions positives». Pour le Pnud, il s’agit «de faire ressortir les efforts des Africains pour que la communauté internationale puisse les accompagner». Bien entendu, cela suppose beaucoup de moyens que Djibril Diallo a libellés à deux niveaux, à savoir celui de l’Afrique et celui de la communauté internationale. Au niveau africain, M. Diallo voit la nécessité d’associer le secteur privé au financement de la lutte conte le Vih/sida. «Il faut que l’on donne l’espace pour une meilleure implication du secteur privé africain dans la lutte contre le sida», a-t-il martelé. D’autant que M. Diallo a jugé insuffisants les efforts de la communauté internationale. «Il faut encourager la communauté internationale à accroître les ressources pour l’Afrique. Pour le moment, les ressources qui viennent hors de l’Afrique pour la lutte contre le sida ne suffisent pas», a-t-il déploré. Il a, en outre, invité les Africains à donner le bon exemple, notamment en mobilisant davantage de ressources à l’intérieur du continent. Ndakhté M. GAYE
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www.walf.sn/archives/article2.CFM?articles__num=9542&unelocale__edition=3054
Affaires les 18 milliards de l'U.E : Guikahué s’expose au tintamarre de ses casseroles - Notre voie - Côte d'Ivoire - 22/05/02
Guikahué, quel Ivoirien ne connaît ce nom ? Pour ceux qui ne le connaîtraient pas, c’est l’ex-ministre de la Santé publique (déc.1993-août 1999) de Monsieur Bédié, sous qui a éclaté le scandale des dix huit milliards (18.000.000.000) FCFA de l’Union européenne (UE) en 1999. Il a tellement bien géré ces fonds que l’UE s’est vu obligée d’arrêter toute assistance financière à la Côte d’Ivoire, qui a été du reste contrainte de rembourser ce qui n’était qu’un don au départ. Cet argent destiné à soigner les Ivoiriens a servi à autre chose que seul, le professeur Guikahué et ses complices nous expliqueront certainement un jour. Un homme qui a causé un tel tort à notre pays s’offusque qu’on parle de sa gestion chaotique, sans repère, donc désordonnée du ministère de la Santé publique. Lire
Lutte contre les mutilations génitales féminines au Bénin : le ministre Ayémonna va en guerre contre les exciseurs - Bénin Gate - Bénin - 22/05/02
Le ministre de la Famille, de la protection sociale et de la solidarité, Claire Houngan Ayémonna, a déclenché une croisade contre les exciseuses du Bénin. Mme Ayémonna a déclaré le 16 mai dernier à Natitingou son intention de les poursuivre devant les tribunaux.
Les mutilations génitales féminines constituent des coups et blessures volontaires entraînant une incapacité de travail pendant plus de 20 jours. Aussi leurs auteurs sont-ils passibles d'une peine d'emprisonnement de 2 à 5 ans et d'une amende de 4.000 à 480.000 francs Cfa suivant l'article 309 du Code pénal.
Tels ont été les propos de Mme Claire Houngan Ayémonna le 16 mai dernier lors d'une croisade déclenchée contre les exciseurs à Natitingou. Le ministre de la Famille, de la protection sociale et de la solidarité compte enclencher cette démarche judiciaire à l'encontre de tous les exciseurs qui s'entêtent à exercer ce métier.
Selon le préfet de l'Atacora-Donga, Edouard Ouin Ouro, le poids des traditions, la pauvreté, la non scolarisation, l'enclavement des zones endémiques constituent les principales causes des mutilations génitales féminines. (Le Matinal)
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PROFESSEUR LAMINE GUEYE : Faire attention avec les genoux et les chevilles - Wal Fadjri - Sénégal - 22/05/02
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CHU de Cocody: les ascenseurs en panne - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 22/05/02
Dix heures 30 minutes, hier matin. Les deux liftiers en service devant l’unique ascenseur encore fonctionnel au départ, au premier étage, ont du mal à imposer de la discipline à la foule d’usagers qui fait le pied de grue. M. T Benson est parmi eux. Malade des articulations, il doit aller chercher des résultats au quatrième étage. L’attente est dure pour lui. Pénible. Il ne tient que difficilement sur ses pieds.
Faut-il aller souffler dans les escaliers non loin, au risque de rater le prochain ascenseur qui n’échappera pas à la surcharge, ou faut-il continuer de souffrir le supplice ?.. Soulagement pour lui quand l’ascenseur annonce son arrivée enfin. Et dans une bousculade contrôlée avec difficulté par les liftiers tout le monde (ou presque) s’y entasse. Le calvaire des usagers du CHU de Cocody dure ainsi depuis plusieurs mois. Et tout le monde en souffre, des malades aux visiteurs, en passant par les médecins, les étudiants et le personnel de cuisine. Les ascenseurs dévolus aux uns ne sont pas toujours fonctionnels et ils sont très souvent obligés de se rabattre sur ceux des autres. Bien entendu, ils sont tenus de … renvoyer l’ascenseur à ceux-ci lorsque leurs machines à leur tour feront des siennes. On en vient ainsi à être témoin de scènes où malades sur des brancards et leurs accompagnateurs, matériel de cuisine et visiteurs font le voyage ensemble d’un étage à un autre.
Les sept ascenseurs de service (dont deux pour les étudiants, un pour le corps professoral, un pour la cuisine et un pour les urgences) ne fonctionnent plus sur le même rythme, témoigne M. Jean D. devenu un habitué du CHU de Cocody, depuis l’hospitalisation de sa fille. “ En général, il n’y en a que deux qui marchent ; dans le meilleur des cas, trois ”, renchérit un membre du corps médical sous le couvert de l’anonymat. Hier, il n’y en avait qu’un seul qui fonctionnait. Comment s’appelle donc cette maladie des ascenseurs qui frappe le CHU de Cocody, établissement rénové à la satisfaction de tous, il n’y a pas très longtemps encore ? “ C’est le mal des galets ”, nous a fait savoir M. Soro Zoumana, le sous-directeur de la maintenance, de la gestion du patrimoine. Les galets sont de petites roues sur lesquelles reposent l’ouverture et la fermeture des ascenseurs.
Les ascenseurs du CHU étant soumis à rude épreuve du fait d’une utilisation intensive, leurs galets sont presque tous usés, souligne M. Soro. A cela, il faut ajouter, dit-il, la “mauvaise utilisation ” même des ascenseurs, souvent forcés par les usagers. La direction du CHU en est consciente, qui a fait recruter deux liftiers pour veiller sur leur utilisation. Mais ils sont en nombre insuffisant pour un travail efficient, fait observer M. Soro.
“Cela dit, nous sommes conscients des désagréments que vivent les usagers au CHU de Cocody du fait de ces problèmes d’ascenseurs”, ajoute-t-il. “ Et avec la société prestataire chargée de leur maintenance, nous faisons des mains et des pieds pour y apporter une solution le plus rapidement possible ”. Cette société liée au CHU par un contrat de garantie totale est toutefois confrontée à un problème de pièces de rechange. Elle est obligée de fabriquer par elle-même ces galets, indisponibles sur le marché local ”. Ces pièces made in Abidjan, bien entendu, ne tiennent guère la route. Il ne reste donc plus qu’à se tourner vers le fabricant japonais de ces ascenseurs pour les pièces d’origine. Combien de temps mettra-t-on pour le faire ?
Le calvaire des usagers du CHU de Cocody n’est certainement pas pour demain. ELVIS KODJO
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ZIGUINCHOR : Vingt-six pour cent des prostituées sont séropositives - Wal Fadjri - Sénégal - 22/05/02
Les autorités médicales ont tiré, samedi dernier, la sonnette d’alarme. Le sida fait des ravages chez les prostituées. L’annonce a été faite au cours d’un atelier d’évaluation de la campagne de mobilisation sociale de lutte contre le Sida qui s’est tenu à la case foyer de Tilène à Ziguinchor. Lire
Agnibilekrou : Le palu fait plus de 9600 morts en 2001 - Fraternité matin - Côte d'Ivoire - 22/05/02
La seule année 2001 révèle plus de 16.000 cas de paludisme dans les formations sanitaires du département d’Agnibilékrou. Soit environ 80% des consultations et plus de 60% des décès.
La deuxième journée africaine de lutte contre paludisme tenue il y a quelques semaines, sous le thème : “ utiliser les traitement de palu et les moustiquaires imprégnées chez soi ” a permis au docteur Kouakoussui Konan Lambert, directeur départemental de la santé à Agnibilékrou, d’inviter les collectivités locales à l’enlèvement régulier des ordures ménagères qui constituent de véritables gîtes larvaires, vecteurs de transmission du palu. Il a également mis l’accent sur la lutte biologique par l’utilisation des moustiquaires imprégnées.
Pour sa part, le préfet Ano Léopold a insisté sur l’impérieuse nécessité d’assainir le cadre de vie pour une lutte efficace contre le palu. TRAORE MOUSSA
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