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Gabon : Le PLNS crée "Echos Sida"
Sénégal : Les cas de rage augmentent
Amélioration des structures de santé au Congo
Pratique illegale de la médecine.
Fête des vierges pour lutter contre le Sida.
Sénégal : Une case de santé et une maternité à Bokh
Médicaments reconnus dangereux
Epidémie de Shigeulose ou de Choléra au Bénin.
Le pouvoir de guérison des plantes en Afrique
Grève des médecins au Gabon.
Renforcer la couverture vaccinale contre la polio
Hôpital Le Dantec : La clinique chirurgicale s’ouvre à la télémédecine
Paludisme : Plus de 15.000 cas recensés à Fatick au premier trimestre de l’année
Diminution de 94 % du prix des médicaments antituberculeux indispensables
Appareils acoustiques à un prix abordable
Epidémie de Choléra au Togo.
Le marché illicite du médicament : L'exemple de la ville de Touba.
Progrès décisif dans l’accès aux grandes revues biomédicales

 Internet Gabon - 26 juillet 2001 - LUTTE CONTRE LE SIDA "Echos Sida" pour informer et prévenir
Le Programme national de lutte contre le Sida (PNLS) vient de se doter d'un périodique.

LE Programme national de lutte contre le Sida/MST (PNLS) vient d'ajouter une munition à son arme de combat.
Pour amplifier ses multiples activités, le Programme s'est doté, en effet, d'une revue "Echos Sida" dont le premier numéro vient tout Juste de sortir.
A tout seigneur tout honneur, cette première édition fait une présentation (sommaire) du PNLS/MST : son historique, depuis le premier cas de Sida découvert au Gabon en 1986 et la décision gouvernementale de créer un comité national de lutte contre le Sida et les maladies sexuellement transmissibles en 1987, son rôle et ses missions.
Ce premier numéro consacre également un "papier" sur le Centre de traitement ambulatoire (CTA) de Libreville ainsi qu'une analyse de la situation épidémiologique du VIH/SIDA au Gabon de 1997 à 2000.
Le dépistage a fait l'objet d'un dossier de trois pages. Le lecteur lira également avec intérêt l'interview que la présidente de l'Association gabonaise d'action et d'assistance aux séropositifs et sidéens (AGAASS) a accordée à la revue du PNLS.

Dans son éditorial, le directeur du PNLS, le docteur Gabriel Malonga Mouelet, en même temps directeur de la publication, a défini les missions de la nouvelle revue : "Au fil des numéros, nous essayerons, d'une part d'être les témoins de tout ce qui est entrepris dans le cadre de la prétention et la prise en charge du VIH/Sida et, d'autre part, d'apporter des informations, des témoignages et de susciter le débat afin qu'ensemble nous nous impliquions dans la lute, contre la pandémie du Sida".

De parution trimestrielle, "Echos Sida" compte consacrer régulièrement une rubrique aux dernières découvertes parues sur le sida.
Ce premier numéro donne des informations et des conseils pratiques sur l'usage du préservatif...
Le périodique du PNLS vient donc combler un vide. Puisse l'initiative perdurer, pour l'amélioration de la connaissance de la pandémie du Sida dans l'opinion nationale.
Source : Journal l'Union du 26/07/2001

Lire l'article original : www.internetafrica.com/gabon/actu/actu_26072001e.htm

 

Le Soleil - Sénégal - 25 juillet 2001 - Les cas de rage augmentent - LA MALADIE CONNAIT UNE AMPLEUR A LOUGA.

Depuis quelques mois, la rage communément appelée “ Say ” connaît une certaine ampleur dans la région de Louga.
De l'avis du chef du service régional de l'Elevage, le Dr. Mamadou Moustapha Thiam, la rage est une maladie très grave car elle est mortelle.
Selon lui, tout cas de rage déclaré connaît une issue fatale.
“ Donc, mieux vaut prévenir que guérir car il n'y a pas de possibilité de guérir un cas de rage ”, a-t-il laissé entendre.
Pour donner une idée de l'ampleur de la maladie dans la région de Louga, il a fait savoir que durant les quatre derniers mois, 32 cas de morsures par chiens ont été recensés et ce qui fait en moyenne 8 cas de morsures par mois.
Pour faire face à cette situation, Dr. Thiam a annoncé qu'il est prévu une campagne de vaccination des chiens et des chats dans les prochains jours.
Selon lui, la région de Louga a déjà reçu 1000 doses de vaccin contre la rage et la dose va coûter la symbolique somme de 500 frs.
Ensuite un collier servira à identifier de tout animal vacciné. Après cela, selon le Dr. Thiam, il sera procédé à une campagne d’éradication des chiens errants au niveau de toute la région de Louga.
O.N. BA

Lire l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=5885&index__edition=9345

 

Les dépêches de Brazzaville - Congo - 24 juillet 2001 (DB1603) - L’amélioration des structures de santé au coeur du programme intérimaire Congo-FNUAP

Le gouvernement congolais, représenté par le ministre de la Santé et de l’action humanitaire, Léon-Alfred Opimbat, et le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), représenté par Fidelis Zamachis, ont signé hier, en présence des représentants des organismes internationaux basés au Congo, le programme intérimaire d’assistance du FNUAP à la population congolaise.
Conçu pour deux ans (2001-2002), ce programme a pour but de lutter contre la pauvreté et s’inscrit dans le cadre d’un plan global mis au point par la direction générale de la Population.
Il est composé de deux sous-programmes dont l’un concerne la santé de la reproduction et l’autre la stratégie en population et développement.
- Le premier sous-programme vise à la prise en charge des femmes victimes de violences sexuelles, le FNUAP s’engageant à aider le gouvernement à réhabiliter vingt-sept centres de santé intégrés, à renforcer les services compétents dans les différentes régions du Congo et à apporter une assistance médicale et psychologique aux femmes victimes de violences sexuelles. Il est prévu, par ailleurs, que le fonds des Nations unies mettra à la disposition des jeunes des informations relatives à la santé de la reproduction et les fera participer aux activités de prévention contre les maladies sexuellement transmissibles.
- Le deuxième sous-programme vise à réaliser des études multi-sectorielles sur la population, mais également à sensibiliser les autorités compétentes dans le cadre de la politique nationale. Il prévoit, notamment, l’inventaire et l’analyse des textes juridiques existants afin d’améliorer le statut de la femme au Congo. Sur le plan financier, le Fnuap contribuera à la réalisation de ce programme à hauteur de 1 million de dollars US, soit un peu plus de 700 millions de francs CFA, la contribution du gouvernement congolais s’élevant à 846, 2 millions de francs CFA.
Léon-Alfred Opimbat a précisé que ce programme sera lancé le plus tôt possible, des experts allant sur le terrain pour identifier ses bénéficiaires : femmes victimes de violences sexuelles, mais aussi jeunes filles en âge de procréer et désireuses de se prémunir contre les MST.

Lire l'article original : www.brazzaville-adiac.com/Default.htm

 

SoirInfo - Côte d'Ivoire - Jeudi le 26 Juillet, 2001 - Alain Bouabré - Pratique illégale de la médecine à Gagnoa. Sans être chirurgiens, ils opèrent des patients. Une personne au moins tuée.

Ces individus sont ressortissants de la Guinée. Ils n'ont jamais mis les pieds dans une école de médecine.
Ils ne savent rien de la chirurgie et pourtant, la conscience tranquille, ils la pratiquent dans l'infirmerie privée qu'ils ont ouverte à Gagnoa, avec la complicité d'un infirmier ivoirien à la retraite.
Beaucoup de patients ont été opérés par eux et une personne au moins est morte des suites de leurs soins, rapporte l'Agence ivoirienne de presse qui, elle tient l'information de la police.
En effet, c'est avec une autorisation d'exercer la profession de médecin à titre privé appartenant à leur complice infirmier à la retraite que ces ressortissants Guinéens, ont ouvert leur cabinet à Dioulabougou, un quartier de la ville de Gagnoa.
C'est sur dénonciation du directeur départemental de la Santé, Dr Konaté Ali Badara que ces faux praticiens ont été arrêtées.
"Au moment de leur interpellation, nous avons découvert une dame qui venait d'être opérée d'une appendicite, couchée dans leur clinique" selon les propos du commissaire Flindé Guéu, recueillis par l'AIP.
De fait, le ministère de la Santé que cette situation interpelle gagnerait à mener des actions énergiques pour assainir le milieu des cliniques privées infestées de truands.

Lire l'article original : www.presseci.com/soirinfo/

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AFRIK INFO.COM - 24 juillet 2001 - UN CHEF LANCE UNE FÊTE DES VIERGES POUR LUTTER CONTRE LE SIDA
par Rangarirai Shoko Correspondant de la PANA Mutare, Zimbabwe (PANA)

Préoccupé par le nombre croissant des décès dus au Sida dans son district, le chef traditionnel de Makoni, dans l'est du Zimbabwe, a organisé une réception pour les filles vierges de sa localité en vue de promouvoir l'abstinence sexuelle.
Le chef Norbert Makoni a donné à 2.000 vierges, qui ont été examinées par des femmes âgées et des médecins du district, des certificats de virginité et leur a dit qu'il organiserait régulièrement des fêtes en leur honneur.
En raison de la forte prévalence du Sida dans le district, explique-t-on, les autorités traditionnelles ont trouvé d'autres moyens, en plus des campagnes anti-Sida du gouvernement, pour combattre la pandémie.
"On nous dit que le district de Makoni a le plus grand nombre de cas de VIH/Sida de tout le pays, d'où nos efforts pour sauver nos enfants", a dit le porte-parole du chef lors de cette soirée insolite.
Quelque 2.007 jeunes filles, âgées de 12 à 30 ans, ont pris part à ces tests de virginité, auxquels sept seulement ont échoué.
La majorité des filles étaient âgées de 12 à 18 ans. Seules cinq avaient entre 25 et 30 ans.
"Nous étions en fait surpris de découvrir qu'il y avait des vierges dans ce groupe d'âge compte tenu du fait que les gens pensent que à cet âge la plupart des femmes devraient être mariées", a dit le porte-parole du responsable des jeunes filles vierges plus âgées.
Le Zimbabwe est classé parmi les pays les plus affectés par le VIH/Sida, avec un nombre estimé à 5.000 personnes succombant toutes les semaines à la maladie.
Le chef de Makoni a déjà fixé provisoirement la date de la prochaine réception pour les vierges à la fin du mois d'août.

Lire l'article original : www.afrikinfo.com/news/mar/1.htm#9

 

Le Solieil - Sénégal - 23 juillet 2001 - Thiès : Une case de santé et une maternité à Bokh

LES VILLAGEOIS DE BOKH ET DE SES ENVIRONS ont étrenné ces derniers jours, une case de santé et une maternité, financées par le Fonds Canadien d’Initiatives Locales (FCIL) pour une contribution de 21.778.930 de francs CFA et par les bénéficiaires pour un montant de 1.980.1OO F CFA, soit un coût global de 23.759.030 F CFA.
L’inauguration de ces infrastructures sanitaires, s’est déroulée en présence du chef de cabinet du ministre chargé des Relations avec les Assemblées, Babacar Fall, du représentant de Mme Viviane Wade, de la coordonnatrice du FCIL, Mme Johanne Journeault et de la présidente de l’association “ Enfance Pour Tous ”.
C’est en 1993, que le comité de santé de Bokh avec l’appui des villageois ont entrepris, sur fonds propres, la construction de cette case de santé, située à 4 km du village de Kaba et sur le tronçon Khombole-Bambey.
Les travaux étaient arrêtés en 1999 par manque de fonds.
Ainsi, une requête fut déposée au Fonds Canadien d’Initiatives Locales, pour d’une part, compléter la construction de la case de santé et d’autre part à y ajouter une maternité et par la suite à équiper les deux bâtiments en mobilier médical et en équipement médical de base.
L’association “ Enfance Pour Tous ”, une association humanitaire s’est aussi engagée à compléter le matériel médical de cette structure sanitaire, afin de permettre à ses agents de travailler dans les meilleures conditions.
C’est pourquoi, sa présidente fait appel à toutes les bonnes volontés de participer à cette action en direction des populations.
L’association “ Enfance Pour Tous ” a aussi décidé de venir en aide très prochainement à la maternité de Grand-Dakar de Ziguinchor.
P.S. MBODJE

Lire l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=5816&index__edition=9343

 

AFRIK INFO.COM - 23 juillet 2001 - BÉNIN: SANTÉ / PHÉNOBARBITAL: PRENOXAN, GARDENAL, NATISEDINE, ATRICUM, ALEPSAL... RECONNUS DANGEREUX. PARAKOU (ABP)

Les médicaments fabriqués à base du phénobarbital (produit barbiturique, sédatif et hupnotique) utilisés souvent comme antipasmodique, se revèlent aujourd'hui très dangereux à l'organisme humain et auraient même déjà fait de nombreuses victimes, selon une correspondance de la direction des pharmacies et des explorations diagnostiques adressée aux officines du Borgou et de l'Alibori.
Tous les produits à base du phénobarbital préconisés dans les indications autres que celle de l'epilepsie, sont désormais proscrits au Bénin, de même que l'importation et la commercialisation de la spécialité sédatonyl, précise la correspondance.
Selon le docteur Delphin Ayidéwou, directeur départemental des pharmacies du Borgou, ces mesures concernent le Prénoxan 1cg et 2 cg suppositoire, gar-dénal tédralan, Natisédine, Atricum 100 mg et 300 mg, Alepsal et Kaneuron.
Ces produits, en l'occurence Prénosan 1 cg et 2 cg et Gardénal injectable previennent les risques de convulsions et font baisser la température chez les enfants en cas du paludisme. Et ils sont largement utilisés sur le continent africain.
La raison d'une telle mesure à l'encontre de ces produits serait la non maîtrise de leurs effets secondaires avant leur mise sur le marché.
Ainsi, ils ont fait beaucoup de victimes parmi cette couche vulnérable.
Ils sont plus dangereux dans le traitement du paludisme cérébral.
Un essai randomisé phénobarbital par voie injectable versus placebo, mené en double aveugle chez 340 enfants de moins de 4 ans souffrant de paludisme cérébral au Kenya, a permis de constater que ce produit est très efficace dans la réduction de la fréquence des convulsions chez les malades traités.
Mais au même moment, 18% des personnes traitées sont décédées par arrêt respiratoire, indique-t-on.
Selon les spécialistes, une interaction entre le phénobarbital et le diazépam (valium et autres) administrés en cas de survenue d'un état de mal convulsif, expliquerait ce résultat.
ABP/AML/SA

Lire l'article original : www.afrikinfo.com/news/lun/1.htm#1

 

AFRIK INFO.COM - 26 juillet 2001 - EPIDÉMIE DE SHIGEULOSE OU DE CHOLÉRA: PARAKOU PLONGE DANS LA PSYCHOSE
(Par Mathias Léandre Atignon )

Une psychose perdure, depuis quatre jours à Parakou à propos d'une éventuelle épidémie de shigeulose ou de choléra.
Elle continue de décimer la population et ses victimes sont importantes.
Face à l'angoisse des Parakois, les autorités sanitaires du centre hospitalier départemental (CHD) attendent que les prélèvements des selles envoyés à Cotonou dévoilent leur secret pour poser un réel diagnostic.
L'alerte a été donnée lorsque le docteur Delphin Ayidéwou a reçu samedi dernier en urgence trois patients souffrant de diarrhée chronique et de vomissement au service de médecine du CHD/Borgou.
Depuis ce jour, le nombre de malades présentant les mêmes symptômes est passé à 43 soit 8 en pédiatrie et 35 en médecine.
Trois personnes ont déjà rendu l'âme, précise-t-on de source hospitalière.
Certains patients ont des selles fluides couleur jaune ocre ou des selles glaireuses. D'autres libèrent des matières fécales qui ont l'aspect de l'eau de riz indicateur manifeste de la présence de choléra, a expliqué docteur Ayidéwou avant d'ajouter que pour le moment, il est dificile de poser un diagnostic sans risque de se tromper.
Mais deux hypothèses pointent à l'horizon : le shigeulose (une maladie déclarée à potentiel épidémique qui se manifeste par de diarrhée profuse de sang) provoqué par les shigelles ou le choléra, a- t-il fait observer.
Pour l'instant, une coproculture est en cours pour situer davantage sur cette épidémie qui a déjà fait trois morts et la réhydratation des malades se poursuit. A la question de savoir si la probabilité de ces deux hypothèses est écartée, docteur Ayidéwou n'exclut pas le cas d'une intoxication alimentaire étant donné que la plupart des patients sont venus du quartier Kérou Guéra où a eu lieu une cérémonie grandiose à laquelle ils ont assisté.
Pour le moment, tous les sujets malades sont soumis à l'isolement. Le système de mesures d'hygiène est établi.
Le CHD et la direction départementale de la santé du Borgou ont fourni assez de serum ringer lactate pour faire face à la situation.
Mais les résultats des prélèvements de selles se font attendre et la psychose persiste.
ABP/AML/SA

Lire l'article original : www.afrikinfo.com/news/jeu/1.htm#3

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Internet Gabon - 24 juillet 2001 - CONFÉRENCE SUR LA MÉDECINE TRADITIONNELLE - Le pouvoir de guérison des plantes en Afrique

Avant de publier un opuscule, lorsqu'il servait le Gabon en qualité de diplomate en Corée du Sud, S.E. Joseph Bill Mambounqou a animé une conférence au pays du Matin calme sûr les vertus médicinales de la forêt.
FILS de la forêt équatoriale et donc des plantes, Mamboungou a vécu les dix premières années de sa vie au contact des feuilles, des fruits et des écorces.
II en a respiré = grâce à son ère éponyme, "Ngang a" guérisseur) à Koula-Moutou - les parfums et les essences cachées.
De ce temps, il garde de bons souvenirs et surtout les noms des plantes "utiles" et leurs vertus thérapeutiques.
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Internet Gabon 24 juillet 2001 - SANTÉ/GREVE DE 48 HEURES DES MÉDECINS DE L'HPO

La médiation de la direction générale est attendue.
Celle-ci: doit trancher entre "l'intransigeance" du directeur de l'HPO qui, selon la présidente de la délégation du syndicat Hippocrate, le Dr Solange Bongo, 'persiste" à ne pas appliquer une de leurs revendications, et la détermination de ces derniers de voir leur préoccupation aboutir.

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AMI - 22 juillet 2001 Mauritanie-Vaccination - Du porte à porte dans six wilaya pour renforcer la couverture vaccinale contre la polio

Une campagne de ratissage de porte à porte afin de renforcer la couverture vaccinale contre la poliomyélite a débuté dimanche 15 juillet pour finir le mercredi 18 juillet au niveau des wilaya du Guidimakha, de l'Assaba, du Gorgol, du Trarza, du Brakna et de Nouakchott.
2000 vaccinateurs constitués en 948 équipes sous la supervision de 135 encadreurs ont été déployés pour cette campagne qui a duré quatre jours.
Les équipes de vaccination ont fait du porte à porte afin de renforcer les résultats obtenus lors de la précédente campagne.
Le choix de ces wilaya se justifie par la faiblesse de la couverture vaccinale.
Le coup d'envoi de l'opération a été donné par le Dr Mohamed Idoumou Ould Mohamed Vall, directeur de la Protection Sanitaire (DPS).
Le bilan est positif.
Au niveau de Nouakchott, 123.603 enfants ont été vaccinés soit une couverture vaccinale de 98,4 %.

Lire l'article original : www.mauritania.mr/ami/

 

Le Soleil - Sénégal - 21 juillet 2001 - Hôpital Le Dantec : La clinique chirurgicale s’ouvre à la télémédecine

Une opération chirurgicale en vue de combler l’insuffisance rénale d’un patient.
L’opération de dialyse (rein artificiel), effectuée par le Pr. Ndiaye, depuis l’hôpital Aristide Le Dantec, a été commentée, de Bruxelles, par le Dr Jean de Bruynes qui suivait les soins administrés.
Cette démonstration a été rendue possible grâce à la première unité de télémédecine installée en Afrique de l’Ouest par le Pr. Cheikh Tidiane Touré, chef de la clinique chirurgicale de l’hôpital A. Le Dantec.
Une salle de visioconférence dotée de caméras, de vidéo projecteurs, de moniteurs TV et d’autres équipements a permis les échanges à distance.
Reliée au réseau RNIS de la Sonatel, la salle peut être connectée, en composant un simple numéro de téléphone, à tout autre centre disposant du même équipement.
La science au service de la médecine !
Ce système facilitera, à en croire le Pr. Touré, “la communication et l’accès à l’information, deux aspects fondamentaux aux trois domaines d’activité des universitaires que nous sommes. Je veux nommer les domaines des soins, de l’enseignement et de la recherche”.
De cette logique devrait découler une révolution dans la pratique de l’art médical, jusque-là marqué par la “communication de proximité entre le formateur et l’apprenant (compagnonnage)” par une circulation de l’information écrite, imagée et audible.
Ainsi, l’apport des nouvelles technologies de l’information et de la communication introduira un “recours à la collégialité et à l’expertise, en permettant la transmission d’exposés théoriques, en rendant possible l’apprentissage gestuel grâce à un rapprochement virtuel des acteurs, réalisant ainsi un “compagnonnage à distance”, enfin, en autorisant un accès à l’information sous toutes ses formes”, selon Cheikh Tidiane Touré.
Au-delà de la perception à temps réel des différents services obtenus à partir de la télémédecine, des déplacements coûteux vers les pays du Nord pour des sessions de formation ne seront plus nécessaires et un grand nombre d’apprenants et des professionnels de la médecine devraient retirer le maximum de bénéfices.
Les souhaits du Pr. Touré vont dans le sens d’une multiplication de la télémédecine dans différents centres médicaux du pays.
Cela est parfaitement réalisable eu égard à l’accès qu’offre, pour une trentaine de millions de francs, cet équipement qui se passe d’une antenne satellite au coût prohibitif (une centaine de millions).
Bien que le centre soit le fruit d’une initiative personnelle, appuyée par les universités de Strasbourg, Toulouse, Marseille et l’université Libre de Bruxelles, le Pr. Touré n’en reste pas moins disposé à l’ouvrir à ses collègues universitaires et aux professionnels de l’hôpital.
I. K. NDIAYE

Lire l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=5786&index__edition=9342

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Le Soleil - Sénégal - 21 juillet 2001 - Paludisme : Plus de 15.000 cas recensés à Fatick au premier trimestre de l’année

L’analyse des statistiques du premier trimestre de l’année 2001 montre que 15 725 cas de paludisme dont 680 jugés graves ont été enregistrés dans les structures sanitaires de la région de Fatick.
M. Mamadou Ndoye, superviseur régional des soins de santé primaires (SSP) à la région médicale, souligne que 07 cas de décès ont été notés.
Ce qui représente 05 décès pour 10.000 cas de paludisme.
Selon lui, il s’avère dès lors nécessaire d’organiser une campagne de mobilisation sociale pour lutter d’une manière plus efficace contre la maladie, en mettant surtout l’accent sur les activités hivernales.
M. Ndoye s’exprimait au cours de la cérémonie de lancement de la campagne de lutte contre le paludisme dans la région de Fatick.
C’était en présence du gouverneur, El Hadj Diallo, des imams, des responsables de groupements de femmes et d’associations de jeunes.
Pour Seynabou Diakité, responsable régionale de la santé de la reproduction, “chez la femme enceinte, le paludisme agit sur la grossesse en créant des complications chez la mère et le nouveau-né.
L’autre caractéristique est que la femme enceinte a ses défenses diminuées. Ce qui fait que la maladie évolue vers la sévérité et peut en entraîner d’autres comme l’anémie, surtout dans les zones où elle est fréquente”.
Les autorités sanitaires comptent mettre l’accent sur la prévention dans la lutte contre le paludisme.
Un accent particulier sera mis sur l’utilisation des moustiquaires imprégnées, l’assainissement par la destruction des gîtes larvaires péridomiciliaires, des actions de plaidoyer, d’information, d’éducation, de communication, la production et la diffusion de supports audiovisuels et des comprimés.
MOUHAMADOU SAGNE

Lire l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=5788&index__edition=9342

 

Communiqué OMS/35 - 19 juillet 2001 - Diminution de 94 % du prix des médicaments antituberculeux indispensables, grâce au partenariat de l’OMS GENÈVE

Grâce aux efforts internationaux menés par l’Organisation mondiale de la Santé, Médecins sans Frontières et la Harvard Medical School, les personnes souffrant de la tuberculose à bacilles multirésistants (TB-MR), potentiellement mortelle, ont désormais accès à des médicaments de « seconde intention » de qualité à prix fortement réduit et à un système conçu pour qu’ils soient utilisés le plus efficacement possible.
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Communiqué OMS/34 11 juillet 2001 - L’OMS DEMANDE AU SECTEUR PRIVE DE FOURNIR DES APPAREILS ACOUSTIQUES D’UN PRIX ABORDABLE AUX PAYS EN DEVELOPPEMENT

250 millions de personnes dans le monde souffrent de pertes de l’audition Il serait possible de diviser par 25 le prix des appareils acoustiques dans les pays en développement. Les fabricants d’appareils acoustiques, les prestataires de services et les donateurs se réuniront à Genève les 11 et 12 juillet pour étudier la possibilité de forger des partenariats public-privé pour pouvoir fournir aux pays en développement des appareils à des prix abordables.
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Republicoftogo.com - 11-07-2001 - Epidémie de choléra à Dapaong - Togo

Les autorités sanitaires burkinabè ont arrêté mercredi à Ouagadougou, une série de mesures préventives pour contrer une épidémie de choléra qui sévit dans la ville togolaise de Dapaong, frontalière du Burkina et du Ghana.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), l'épidémie de choléra au Togo, dont les premiers cas ont été enregistrés depuis le mois de janvier, a atteint actuellement les 700 cas.
Le même nombre de cas a également été signalé au Ghana par l'OMS.
Le 6 juillet à Dapaong, le choléra avait tué sept personnes sur les 15 cas déclarés, indique la même source.

Le Directeur de la médecine préventive au Burkina (DMP), le médecin-colonel Clément Zidwemba, a annoncé à la presse qu'une tournée d'information composée de quatre équipes techniques parmi lesquelles des militaires, vont parcourir à partir du lundi 16 juillet la "route de l'épidémie".
Cette mission qui devra atteindre les villes burkinabè de Tenkodogo (sud-est), Fada (est), Gaoua (sud-ouest) et à Ouagadougou (centre), va mettre en pratique les notes d'une circulaire du ministère burkinabè de la santé sur le choléra.
Cette circulaire, dont une copie est parvenue à l'AFP, demande aux centres de santé d'élaborer des rapports réguliers sur les maladies diarrhéiques et de mettre en place un stock de médicaments.
Un comité central de lutte contre les épidémies va présenter son premier bilan vendredi. En 1998, une épidémie de choléra partie de cette même région avait tué plus de 120 personnes au Burkina Faso, au Ghana et au Togo.

Lire l'article original : www.republicoftogo.com

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Communication de l'Organisation du : FORUM PHARMACEUTIQUE INTERNATIONAL DE DAKAR qui s'est tenu à l'Hôtel MERIDIEN PRESIDENT, du 18 au 21 Juin 2001 sur le thème : Sécurité et accessibilité du médicament en Afrique .

Le marché illicite du médicament : L'exemple de la ville de Touba.
Extrait des communications du : FORUM PHARMACEUTIQUE INTERNATIONAL DE DAKAR
Contribution de Pharmaciens installés dans la ville de Touba.

Lire l'article :

 

Communiqué OMS/32 9 juillet 2001 - L'OMS et les principaux éditeurs annoncent un progrès décisif dans l’accès des pays en développement aux grandes revues biomédicales Londres

L’organisation mondiale de la Santé et les six principaux éditeurs de revues médicales ont annoncé aujourd’hui une nouvelle initiative qui permettra à près de 100 pays en développement, qui n’en auraient pas eu les moyens autrement, d’avoir accès aux informations scientifiques essentielles.
Cette disposition prise d’un commun accord par les six éditeurs permettra de mettre sur Internet à la disposition des écoles de médecine et des instituts de recherche dans les pays en développement près de 1 000 publications médicales et scientifiques de pointe, gratuitement ou à des prix très réduits.
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allafrica.com - 9 juillet 2001 - source : Le Phare. Tshiaba Kinshasa - Centre Médical à la Recherche des Fonds pour l'Achat d'une Comprimeuse.

Le Centre médical congolais Nsanga Lubangu est à la recherche d'une aide financière estimée à 27.000 USD afin de solder la dette de la machine comprimeuse commandée à Hong Kong depuis 4 ans, déclare au Phare le DG de ce centre, M. Bidimu Kabuya.
Les frais connexes pour l'installation et la mise en valeur d'un projet agricole pourraient mobiliser une cagnotte d'à peu près 205.000 USD.
Une demande d'aide a été ainsi adressée au ministère de l'Industrie et Commerce depuis que le gouvernement a initié un programme d'aide aux PME en difficultés à travers ce ministère.
Une autre demande devrait être adressée au ministère de la Santé Publique après l'annonce faite par le gouvernement belge de l'octroi d'une enveloppe de 1,45 million d'Euros pour relancer le secteur de la santé en RDC sur une période de trois ans.
Nsanga Lubangu fonde aussi son espoir sur la promesse faite le 12 mars 2001 par le chef de l'Etat, Joseph Kabila, lorsqu'il avait reçu la délégation de l'Union des inventeurs congolais dirigée par Clément Kabasele Muamba.
Selon Bidimu Kabuya, Nsanga Lubangu fait face à une demande croissante non seulement dans les provinces, mais aussi dans les pays limitrophes tels que l'Angola, la Zambie où le gouvernement a déjà donné son accord de principe pour l'installation du centre et le Congo-Brazzaville.
D'où la nécessité d'acquérir la comprimeuse pour satisfaire cette demande, diminuer le coût des soins et permettre même au monde rural d'accéder à ces soins primaires à un bas prix.
Pour rappel, les soins administrés par Nsanga Lubangu découlent d'un examen effectué à base de la salive des patients.

Lire l'article original : fr.allafrica.com/stories/200107090241.html

 

Le soleil - 9 juillet 2001 - Passy : Le poste de santé réhabilité grâce au Japon.

Le poste de santé de Passy vient d’enregistrer un important coup de pouce avec la réhabilitation et l’extension des locaux qui l’abritent depuis les années 1950.
Ils étaient devenus vétustes et exigus et s’étaient révélés incapables de couvrir tous les besoins en matière de santé publique dans une zone polarisant plusieurs villages .
Mais surtout que la ville de Passy rassemble, le temps du marché hebdomadaire (louma) qui se tient chaque samedi, des milliers de personnes venant de partout.
Ainsi, grâce à la coopération décentralisée, l’aide japonaise non remboursable de 33 millions de francs a contribué à rendre les locaux plus fonctionnels.
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Sentoo.sn - 9 juillet 2001 - Keur Massar : L'apport de la médecine africaine.

La création de l’hôpital traditionnel de Keur Massar remonte à 1980, année où le professeur Yvette Paresse, l’a initié sous forme de centre de médecine traditionnelle.
En 1985, le centre devient le premier hôpital de médecine traditionnelle au Sénégal.
Le professeur Paresse, directrice du Centre de Recherche en Biologie de l’Université de Dakar, a travaillé avec les tradi-praticiens pendant plus de 20 ans et a pu ainsi découvrir toutes les potentialités de la phytothérapie.

Keur Massar s’étend sur 79 hectares attribués par l’Etat et comprend un espace de consultation en médecine générale (diabète, dermatose, hypertension etc.), un jardin de plantes médicinales, un magasin de stockage et de séchage de plantes, un magasin de lavage de bouteille, un petit laboratoire de production de médicaments et une pharmacie de vente de médicaments à base de plantes préparés sur place.
L’hôpital dispose également d’une zone d’hospitalisation réservée uniquement aux lépreux et aux dermato-infectés. Une école a été créée pour les enfants des lépreux. Une annexe de Keur Massar est installée à Dakar, plus précisément à Grand Yoff.
Cette annexe, dotée d’une pharmacie, est gérée par un guérisseur et un infirmier.
L’hôpital de Keur Massar accueille entre 6000 et 7000 patients par an.
Les maladies les plus fréquemment traités sont les dermatoses (en wolof : ndoukhoum siti) où la médecine traditionnelle est très en avance sur la médecine moderne selon certains spécialistes.
Son personnel comprend 70 personnes notamment 5 infirmiers et 5 tradi-praticiens.
L’hôpital fonctionne grâce aux dons de certaines organisations caritatives comme Caritas. Il bénéficie par ailleurs d’exonérations d’impôts de la part des autorités.

Lire l'article original : www.sentoo.sn/fr/cobranding/sante/suite.php?id=45&art_id=4716&txt_id=4583

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Sentoo.sn - 9 juillet 2001 - Plaidoyer pour des achats groupes de médicaments en Afrique.

Le ministre de la santé et de la prévention, Mme Awa Marie Coll Seck a fait part de son intention de promouvoir en Afrique ''les achats groupes de médicaments à l'échelle régional ou sous-régionale''.
S'exprimant au cours du forum pharmaceutique international sur ''sécurité et accessibilité du médicament en Afrique, ouvert lundi à Dakar, Mme Seck a indiqué que ''les pays d'Afrique de l'ouest et du centre importent 90 pour cent de leurs besoins en médicaments alors que les pays d'Afrique du nord s'en tirent mieux en optant pour la tendance inverse''.
Selon elle ''la sécurité du médicament en Afrique passe par une assurance de qualité répondant aux règles de bonne Conduite''. Le ministre de la santé et de la prévention a aussi pris l'engagement ''d'aller plus loin dans l'approvisionnement des officines privées en médicaments génériques '', estimant qu'il s'agit « d’une réponse a l'accessibilité et à la disponibilité en médicaments aux populations ».
Le président de l'ordre des pharmaciens du Sénégal, le docteur Mamadou Ndiade a pour sa part signalé que ''la Politique de promotion des médicaments génériques est à encourager'', réaffirmant la requête des officines privées d'être approvisionnées en médicaments par la pharmacie nationale d'approvisionnement.

Lire l'article original : www.sentoo.sn/fr/cobranding/sante/suite.php?id=45&art_id=3476&txt_id=3345

 

allafrica.com - 7 juillet 2001 - Vente des médicaments génériques : Les officines privées entrent dans la danse.

Dans six mois, délai de rigueur, les difficultés d'accès aux médicaments génériques, ne seront plus qu'un mauvais souvenir pour les populations sénégalaises.
Les officines privées vont désormais vendre des médicaments génériques, au même titre que le public.
C'est ce qu'a déclaré hier, vendredi 6 juillet, le ministre de la Santé et de la prévention, Mme Awa Marie Coll Seck, au cours d'un point qui a regroupé en outre les ministres des Mines, de l'Energie et de l'Hydraulique (Macky Sall), des Collectivités locales (Mme Thiéwo Cissé Doucouré), des Pme et du Commerce (Mme Aïcha Agne Pouye) et de la Culture, du tourisme et des loisirs( Mamadou Makalou).
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allafrica.com - 6 juillet 2001 - Source : Wal Fadjri - Dakar - Amadou Abdoul Sakho - SANTE PUBLIQUE - Une décentralisation grippée.

La décentralisation des services de santé est loin d'être une réussite.
C'est ce que révèle une étude faite par le Réseau national de recherches sur les politiques sociales qui procèdera, lundi prochain, à la restitution et à la dissémination des résultats de l'enquête.
Le réseau national de recherches sur les politiques sociales (Rrps) organise lundi prochain, à Dakar, un atelier de restitution et de dissémination d'une étude sur la politique de décentralisation des services de la santé publique.
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allafrica.com - 6 juillet 2001 - Source : Sud quotidien - Pape Seck - Dakar. - LINGUERE : Croisade contre les maladies hivernales.

A Linguère, le paludisme et les maladies diarrhéiques constituent les principales causes de mortalité et de morbidité à côté de la fièvre surtout pendant la saison des pluies.
Cette situation est accentuée par l'insuffisance des personnels et des infrastructures d'une part ; d'autre part, la paupérisation des populations représente un obstacle majeur à l'accès aux médicaments et aux soins de base.
Afin de faire face à un éventuel regain de ces maladies le district sanitaire de Linguère a déclaré la guerre aux vecteurs de propagation de ces redoutables agents de la mort par une vaste campagne de sensibilisation de masse dans les quartiers les villages en collaboration avec les groupements de femmes et associations de jeunes.
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Le Soleil - 4 juillet 2001 - Des “SOU” pour mieux combattre la mortalité maternelle.

Un atelier de restitution des résultats de l’évaluation de la disponibilité de l’utilisation et de la qualité des Soins Obstétricaux d’Urgence (SOU) au Sénégal se tient aujourd’hui au Méridien Président sous la présidence du ministre de la Santé et de la Prévention.
La mortalité maternelle est estimée au Sénégal à 510 décès sur 100.000 naissances vivantes.
Ce chiffre, note un communiqué parvenu hier à notre rédaction, date d’il y a huit ans et “ cache mal les disparités régionales (à Kolda, on compte plus de 1.000 décès pour 100.000 naissances vivantes).
Il faut ainsi reconnaître, souligne encore le communiqué, que les campagnes de vaccination et les consultations prénatales n’ont pas été suffisantes pour faire reculer le drame de la mortalité maternelle.
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03 juillet 2001 - Communiqué Aupelf-Uref - Des travaux de l’Université de Genève font avancer la recherche sur le SIDA

La Section de pharmacie de l'Université de Genève, sous la direction du professeur Jean Tronchet, a découvert un composé actif contre le virus du sida deux millions de fois plus puissant que l'AZT.
Fruit d'une recherche sur de nouvelles molécules anti-virales et anti-cancéreuses, la substance active découverte par l’équipe du Laboratoire de chimie pharmaceutique et organique propédeutique sera connue sous le nom de code NU 1320.
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Le Soleil - 3 juillet 2001 - Promotion de la santé de la reproduction des adolescents: Le lycée Blaise Diagne vainqueur du concours “génie en herbe”.

Pour la deuxième édition du concours “génie en herbe” en santé de la reproduction, le lycée Blaise Diagne de Dakar a gagné, l’autre samedi, le trophée de la finale aux dépens du lycée John F. Kennedy.
La compétition a eu pour cadre, le lycée Kennedy. Ce concours a été organisé par le Groupe pour l’Etude et l’Enseignement de la Population (GEEP), en partenariat avec Rainbo, le FNUAP et le ministère de l’Education.
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Agence Bénin Presse - 2 juillet 2001 - Les médecins-chefs initiés à la gestion de personnel.

Les médecins-chefs de l'Atlantique et du Littoral ont tenu, jeudi dernier, au Centre d'appui à la formation des maîtres (CAFORM) de Tori-Bossito, leur deuxième session trimestrielle de l'année en cours.
Cette réunion, qui a connu la participation de tous les médecins- chefs des formations sanitaires des deux départements, des responsables d'hôpitaux et le personnel administratif de la direction départementale de la Santé de l'Atlantique et du Littoral, avait pour thème central "la gestion du rendement".
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Mauritanie-Santé-Recherche - 1er juillet 2001 - Nouakchott (AMI) - Vers la formation d'un pôle de chercheurs spécialisés.

Vingt cliniciens chefs de programmes de santé, sociologues et biologistes ont achevé samedi à Nouakchott une formation d'une semaine centrée sur la recherche en système de santé.
La rencontre avait pour objectif de former un pôle de formateurs de compétences nationales et de finaliser des protocoles de recherches qui seront financés éventuellement par l'OMS
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OMS - Note à l'intention des médias N° 9 - 28 juin 2001 - En vue de l’éradication de la poliomyélite, vaccination de 16 millions d’enfants africains dans des pays en proie à des conflits.

La guerre civile continue à freiner la vaccination des enfants contre la poliomyélite en Afrique centrale.
En conséquence, cette région reste l’un des derniers bastions du poliovirus où des enfants continuent d’être paralysés par une maladie évitable.
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Communiqué OMS/29 28 juin 2001 - Les pays en développement vont recevoir US $17 millions pour la recherche sur la lutte antitabac.

La lutte antitabac dans les pays en développement va bientôt recevoir US $17 millions d’un nouveau programme coparrainé par les National Institutes for Health (NIH) des Etats-Unis d'Amérique et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Pendant les cinq prochaines années, le Programme international de recherche sur les liens entre le tabac et la santé et le renforcement des capacités dans ce domaine viendra en aide à la recherche sur la consommation de tabac et les risques associés dans les pays en développement et permettra de résoudre certaines questions sur les répercussions du tabac dans les pays à revenus faibles et moyens en particulier.
Il permettra de mieux comprendre la charge de morbidité imputable au tabagisme mais aussi de renforcer les moyens de faire face à l’épidémie pour les établissements et les personnels dans ces pays.
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