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Internet
Gabon - 26 juillet 2001 - LUTTE CONTRE LE SIDA "Echos Sida" pour
informer et prévenir
Le Programme national de lutte contre le Sida (PNLS) vient de se
doter d'un périodique.
LE Programme national de lutte contre le Sida/MST (PNLS) vient d'ajouter
une munition à son arme de combat.
Pour amplifier ses multiples activités, le Programme s'est doté,
en effet, d'une revue "Echos Sida" dont le premier numéro vient
tout Juste de sortir.
A tout seigneur tout honneur, cette première édition fait une présentation
(sommaire) du PNLS/MST : son historique, depuis le premier cas de
Sida découvert au Gabon en 1986 et la décision gouvernementale de
créer un comité national de lutte contre le Sida et les maladies
sexuellement transmissibles en 1987, son rôle et ses missions.
Ce premier numéro consacre également un "papier" sur le Centre de
traitement ambulatoire (CTA) de Libreville ainsi qu'une analyse
de la situation épidémiologique du VIH/SIDA au Gabon de 1997 à 2000.
Le dépistage a fait l'objet d'un dossier de trois pages. Le lecteur
lira également avec intérêt l'interview que la présidente de l'Association
gabonaise d'action et d'assistance aux séropositifs et sidéens (AGAASS)
a accordée à la revue du PNLS.
Dans
son éditorial, le directeur du PNLS, le docteur Gabriel Malonga
Mouelet, en même temps directeur de la publication, a défini les
missions de la nouvelle revue : "Au fil des numéros, nous essayerons,
d'une part d'être les témoins de tout ce qui est entrepris dans
le cadre de la prétention et la prise en charge du VIH/Sida et,
d'autre part, d'apporter des informations, des témoignages et de
susciter le débat afin qu'ensemble nous nous impliquions dans la
lute, contre la pandémie du Sida".
De
parution trimestrielle, "Echos Sida" compte consacrer régulièrement
une rubrique aux dernières découvertes parues sur le sida.
Ce premier numéro donne des informations et des conseils pratiques
sur l'usage du préservatif...
Le périodique du PNLS vient donc combler un vide. Puisse l'initiative
perdurer, pour l'amélioration de la connaissance de la pandémie
du Sida dans l'opinion nationale.
Source : Journal l'Union du 26/07/2001
Lire
l'article original : www.internetafrica.com/gabon/actu/actu_26072001e.htm
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Le
Soleil - Sénégal - 25 juillet 2001 - Les cas de rage
augmentent - LA MALADIE CONNAIT UNE AMPLEUR A LOUGA.
Depuis
quelques mois, la rage communément appelée “ Say ” connaît une certaine
ampleur dans la région de Louga.
De l'avis du chef du service régional de l'Elevage, le Dr. Mamadou
Moustapha Thiam, la rage est une maladie très grave car elle est
mortelle.
Selon lui, tout cas de rage déclaré connaît une issue fatale.
“ Donc, mieux vaut prévenir que guérir car il n'y a pas de possibilité
de guérir un cas de rage ”, a-t-il laissé entendre.
Pour donner une idée de l'ampleur de la maladie dans la région de
Louga, il a fait savoir que durant les quatre derniers mois, 32
cas de morsures par chiens ont été recensés et ce qui fait en moyenne
8 cas de morsures par mois.
Pour faire face à cette situation, Dr. Thiam a annoncé qu'il est
prévu une campagne de vaccination des chiens et des chats dans les
prochains jours.
Selon lui, la région de Louga a déjà reçu 1000 doses de vaccin contre
la rage et la dose va coûter la symbolique somme de 500 frs.
Ensuite un collier servira à identifier de tout animal vacciné.
Après cela, selon le Dr. Thiam, il sera procédé à une campagne d’éradication
des chiens errants au niveau de toute la région de Louga.
O.N. BA
Lire
l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=5885&index__edition=9345
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Les
dépêches de Brazzaville - Congo - 24 juillet 2001 (DB1603)
- L’amélioration des structures de santé au coeur du programme intérimaire
Congo-FNUAP
Le
gouvernement congolais, représenté par le ministre de la Santé et
de l’action humanitaire, Léon-Alfred Opimbat, et le Fonds des Nations
unies pour la population (FNUAP), représenté par Fidelis Zamachis,
ont signé hier, en présence des représentants des organismes internationaux
basés au Congo, le programme intérimaire d’assistance du FNUAP à
la population congolaise.
Conçu pour deux ans (2001-2002), ce programme a pour but de lutter
contre la pauvreté et s’inscrit dans le cadre d’un plan global mis
au point par la direction générale de la Population.
Il est composé de deux sous-programmes dont l’un concerne la santé
de la reproduction et l’autre la stratégie en population et développement.
- Le premier sous-programme vise à la prise en charge des femmes
victimes de violences sexuelles, le FNUAP s’engageant à aider le
gouvernement à réhabiliter vingt-sept centres de santé intégrés,
à renforcer les services compétents dans les différentes régions
du Congo et à apporter une assistance médicale et psychologique
aux femmes victimes de violences sexuelles. Il est prévu, par ailleurs,
que le fonds des Nations unies mettra à la disposition des jeunes
des informations relatives à la santé de la reproduction et les
fera participer aux activités de prévention contre les maladies
sexuellement transmissibles.
- Le deuxième sous-programme vise à réaliser des études multi-sectorielles
sur la population, mais également à sensibiliser les autorités compétentes
dans le cadre de la politique nationale. Il prévoit, notamment,
l’inventaire et l’analyse des textes juridiques existants afin d’améliorer
le statut de la femme au Congo. Sur le plan financier, le Fnuap
contribuera à la réalisation de ce programme à hauteur de 1 million
de dollars US, soit un peu plus de 700 millions de francs CFA, la
contribution du gouvernement congolais s’élevant à 846, 2 millions
de francs CFA.
Léon-Alfred Opimbat a précisé que ce programme sera lancé le plus
tôt possible, des experts allant sur le terrain pour identifier
ses bénéficiaires : femmes victimes de violences sexuelles, mais
aussi jeunes filles en âge de procréer et désireuses de se prémunir
contre les MST.
Lire
l'article original : www.brazzaville-adiac.com/Default.htm
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SoirInfo
- Côte d'Ivoire - Jeudi le 26 Juillet, 2001 - Alain Bouabré
- Pratique illégale de la médecine à Gagnoa. Sans être chirurgiens,
ils opèrent des patients. Une personne au moins tuée.
Ces
individus sont ressortissants de la Guinée. Ils n'ont jamais mis
les pieds dans une école de médecine.
Ils ne savent rien de la chirurgie et pourtant, la conscience tranquille,
ils la pratiquent dans l'infirmerie privée qu'ils ont ouverte à
Gagnoa, avec la complicité d'un infirmier ivoirien à la retraite.
Beaucoup de patients ont été opérés par eux et une personne au moins
est morte des suites de leurs soins, rapporte l'Agence ivoirienne
de presse qui, elle tient l'information de la police.
En effet, c'est avec une autorisation d'exercer la profession de
médecin à titre privé appartenant à leur complice infirmier à la
retraite que ces ressortissants Guinéens, ont ouvert leur cabinet
à Dioulabougou, un quartier de la ville de Gagnoa.
C'est sur dénonciation du directeur départemental de la Santé, Dr
Konaté Ali Badara que ces faux praticiens ont été arrêtées.
"Au moment de leur interpellation, nous avons découvert une dame
qui venait d'être opérée d'une appendicite, couchée dans leur clinique"
selon les propos du commissaire Flindé Guéu, recueillis par l'AIP.
De fait, le ministère de la Santé que cette situation interpelle
gagnerait à mener des actions énergiques pour assainir le milieu
des cliniques privées infestées de truands.
Lire
l'article original : www.presseci.com/soirinfo/
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AFRIK
INFO.COM - 24 juillet 2001 - UN CHEF
LANCE UNE FÊTE DES VIERGES POUR LUTTER CONTRE LE SIDA
par Rangarirai Shoko Correspondant de la PANA Mutare, Zimbabwe (PANA)
Préoccupé
par le nombre croissant des décès dus au Sida dans son district,
le chef traditionnel de Makoni, dans l'est du Zimbabwe, a organisé
une réception pour les filles vierges de sa localité en vue de promouvoir
l'abstinence sexuelle.
Le chef Norbert Makoni a donné à 2.000 vierges, qui ont été examinées
par des femmes âgées et des médecins du district, des certificats
de virginité et leur a dit qu'il organiserait régulièrement des
fêtes en leur honneur.
En raison de la forte prévalence du Sida dans le district, explique-t-on,
les autorités traditionnelles ont trouvé d'autres moyens, en plus
des campagnes anti-Sida du gouvernement, pour combattre la pandémie.
"On nous dit que le district de Makoni a le plus grand nombre de
cas de VIH/Sida de tout le pays, d'où nos efforts pour sauver nos
enfants", a dit le porte-parole du chef lors de cette soirée insolite.
Quelque 2.007 jeunes filles, âgées de 12 à 30 ans, ont pris part
à ces tests de virginité, auxquels sept seulement ont échoué.
La majorité des filles étaient âgées de 12 à 18 ans. Seules cinq
avaient entre 25 et 30 ans.
"Nous étions en fait surpris de découvrir qu'il y avait des vierges
dans ce groupe d'âge compte tenu du fait que les gens pensent que
à cet âge la plupart des femmes devraient être mariées", a dit le
porte-parole du responsable des jeunes filles vierges plus âgées.
Le Zimbabwe est classé parmi les pays les plus affectés par le VIH/Sida,
avec un nombre estimé à 5.000 personnes succombant toutes les semaines
à la maladie.
Le chef de Makoni a déjà fixé provisoirement la date de la prochaine
réception pour les vierges à la fin du mois d'août.
Lire
l'article original : www.afrikinfo.com/news/mar/1.htm#9
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Le
Solieil - Sénégal - 23 juillet 2001 - Thiès
: Une case de santé et une maternité à Bokh
LES
VILLAGEOIS DE BOKH ET DE SES ENVIRONS ont étrenné ces derniers jours,
une case de santé et une maternité, financées par le Fonds Canadien
d’Initiatives Locales (FCIL) pour une contribution de 21.778.930
de francs CFA et par les bénéficiaires pour un montant de 1.980.1OO
F CFA, soit un coût global de 23.759.030 F CFA.
L’inauguration de ces infrastructures sanitaires, s’est déroulée
en présence du chef de cabinet du ministre chargé des Relations
avec les Assemblées, Babacar Fall, du représentant de Mme Viviane
Wade, de la coordonnatrice du FCIL, Mme Johanne Journeault et de
la présidente de l’association “ Enfance Pour Tous ”.
C’est en 1993, que le comité de santé de Bokh avec l’appui des villageois
ont entrepris, sur fonds propres, la construction de cette case
de santé, située à 4 km du village de Kaba et sur le tronçon Khombole-Bambey.
Les travaux étaient arrêtés en 1999 par manque de fonds.
Ainsi, une requête fut déposée au Fonds Canadien d’Initiatives Locales,
pour d’une part, compléter la construction de la case de santé et
d’autre part à y ajouter une maternité et par la suite à équiper
les deux bâtiments en mobilier médical et en équipement médical
de base.
L’association “ Enfance Pour Tous ”, une association humanitaire
s’est aussi engagée à compléter le matériel médical de cette structure
sanitaire, afin de permettre à ses agents de travailler dans les
meilleures conditions.
C’est pourquoi, sa présidente fait appel à toutes les bonnes volontés
de participer à cette action en direction des populations.
L’association “ Enfance Pour Tous ” a aussi décidé de venir en aide
très prochainement à la maternité de Grand-Dakar de Ziguinchor.
P.S. MBODJE
Lire
l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=5816&index__edition=9343
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AFRIK
INFO.COM - 23 juillet 2001 - BÉNIN:
SANTÉ / PHÉNOBARBITAL: PRENOXAN, GARDENAL, NATISEDINE, ATRICUM,
ALEPSAL... RECONNUS DANGEREUX. PARAKOU (ABP)
Les
médicaments fabriqués à base du phénobarbital (produit barbiturique,
sédatif et hupnotique) utilisés souvent comme antipasmodique, se
revèlent aujourd'hui très dangereux à l'organisme humain et auraient
même déjà fait de nombreuses victimes, selon une correspondance
de la direction des pharmacies et des explorations diagnostiques
adressée aux officines du Borgou et de l'Alibori.
Tous les produits à base du phénobarbital préconisés dans les indications
autres que celle de l'epilepsie, sont désormais proscrits au Bénin,
de même que l'importation et la commercialisation de la spécialité
sédatonyl, précise la correspondance.
Selon le docteur Delphin Ayidéwou, directeur départemental des pharmacies
du Borgou, ces mesures concernent le Prénoxan 1cg et 2 cg suppositoire,
gar-dénal tédralan, Natisédine, Atricum 100 mg et 300 mg, Alepsal
et Kaneuron.
Ces produits, en l'occurence Prénosan 1 cg et 2 cg et Gardénal injectable
previennent les risques de convulsions et font baisser la température
chez les enfants en cas du paludisme. Et ils sont largement utilisés
sur le continent africain.
La raison d'une telle mesure à l'encontre de ces produits serait
la non maîtrise de leurs effets secondaires avant leur mise sur
le marché.
Ainsi, ils ont fait beaucoup de victimes parmi cette couche vulnérable.
Ils sont plus dangereux dans le traitement du paludisme cérébral.
Un essai randomisé phénobarbital par voie injectable versus placebo,
mené en double aveugle chez 340 enfants de moins de 4 ans souffrant
de paludisme cérébral au Kenya, a permis de constater que ce produit
est très efficace dans la réduction de la fréquence des convulsions
chez les malades traités.
Mais au même moment, 18% des personnes traitées sont décédées par
arrêt respiratoire, indique-t-on.
Selon les spécialistes, une interaction entre le phénobarbital et
le diazépam (valium et autres) administrés en cas de survenue d'un
état de mal convulsif, expliquerait ce résultat.
ABP/AML/SA
Lire
l'article original : www.afrikinfo.com/news/lun/1.htm#1
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AFRIK
INFO.COM - 26 juillet 2001 - EPIDÉMIE DE SHIGEULOSE OU DE CHOLÉRA:
PARAKOU PLONGE DANS LA PSYCHOSE
(Par Mathias Léandre Atignon )
Une
psychose perdure, depuis quatre jours à Parakou à propos d'une éventuelle
épidémie de shigeulose ou de choléra.
Elle continue de décimer la population et ses victimes sont importantes.
Face à l'angoisse des Parakois, les autorités sanitaires du centre
hospitalier départemental (CHD) attendent que les prélèvements des
selles envoyés à Cotonou dévoilent leur secret pour poser un réel
diagnostic.
L'alerte a été donnée lorsque le docteur Delphin Ayidéwou a reçu
samedi dernier en urgence trois patients souffrant de diarrhée chronique
et de vomissement au service de médecine du CHD/Borgou.
Depuis ce jour, le nombre de malades présentant les mêmes symptômes
est passé à 43 soit 8 en pédiatrie et 35 en médecine.
Trois personnes ont déjà rendu l'âme, précise-t-on de source hospitalière.
Certains patients ont des selles fluides couleur jaune ocre ou des
selles glaireuses. D'autres libèrent des matières fécales qui ont
l'aspect de l'eau de riz indicateur manifeste de la présence de
choléra, a expliqué docteur Ayidéwou avant d'ajouter que pour le
moment, il est dificile de poser un diagnostic sans risque de se
tromper.
Mais deux hypothèses pointent à l'horizon : le shigeulose (une maladie
déclarée à potentiel épidémique qui se manifeste par de diarrhée
profuse de sang) provoqué par les shigelles ou le choléra, a- t-il
fait observer.
Pour l'instant, une coproculture est en cours pour situer davantage
sur cette épidémie qui a déjà fait trois morts et la réhydratation
des malades se poursuit. A la question de savoir si la probabilité
de ces deux hypothèses est écartée, docteur Ayidéwou n'exclut pas
le cas d'une intoxication alimentaire étant donné que la plupart
des patients sont venus du quartier Kérou Guéra où a eu lieu une
cérémonie grandiose à laquelle ils ont assisté.
Pour le moment, tous les sujets malades sont soumis à l'isolement.
Le système de mesures d'hygiène est établi.
Le CHD et la direction départementale de la santé du Borgou ont
fourni assez de serum ringer lactate pour faire face à la situation.
Mais les résultats des prélèvements de selles se font attendre et
la psychose persiste.
ABP/AML/SA
Lire
l'article original : www.afrikinfo.com/news/jeu/1.htm#3
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Internet
Gabon - 24 juillet 2001 - CONFÉRENCE SUR LA MÉDECINE TRADITIONNELLE
- Le pouvoir de guérison des plantes en Afrique
Avant
de publier un opuscule, lorsqu'il servait le Gabon en qualité de
diplomate en Corée du Sud, S.E. Joseph Bill Mambounqou a animé une
conférence au pays du Matin calme sûr les vertus médicinales de
la forêt.
FILS de la forêt équatoriale et donc des plantes, Mamboungou a vécu
les dix premières années de sa vie au contact des feuilles, des
fruits et des écorces.
II en a respiré = grâce à son ère éponyme, "Ngang a" guérisseur)
à Koula-Moutou - les parfums et les essences cachées.
De ce temps, il garde de bons souvenirs et surtout les noms des
plantes "utiles" et leurs vertus thérapeutiques.
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Internet
Gabon 24 juillet 2001
- SANTÉ/GREVE DE 48 HEURES DES MÉDECINS DE
L'HPO
La médiation de la direction générale est attendue.
Celle-ci: doit trancher entre "l'intransigeance" du directeur de
l'HPO qui, selon la présidente de la délégation du syndicat Hippocrate,
le Dr Solange Bongo, 'persiste" à ne pas appliquer une de leurs
revendications, et la détermination de ces derniers de voir leur
préoccupation aboutir.
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AMI
- 22 juillet 2001 Mauritanie-Vaccination - Du porte à porte dans
six wilaya pour renforcer la couverture vaccinale contre la polio
Une
campagne de ratissage de porte à porte afin de renforcer la couverture
vaccinale contre la poliomyélite a débuté dimanche 15 juillet pour
finir le mercredi 18 juillet au niveau des wilaya du Guidimakha,
de l'Assaba, du Gorgol, du Trarza, du Brakna et de Nouakchott.
2000 vaccinateurs constitués en 948 équipes sous la supervision
de 135 encadreurs ont été déployés pour cette campagne qui a duré
quatre jours.
Les équipes de vaccination ont fait du porte à porte afin de renforcer
les résultats obtenus lors de la précédente campagne.
Le choix de ces wilaya se justifie par la faiblesse de la couverture
vaccinale.
Le coup d'envoi de l'opération a été donné par le Dr Mohamed Idoumou
Ould Mohamed Vall, directeur de la Protection Sanitaire (DPS).
Le bilan est positif.
Au niveau de Nouakchott, 123.603 enfants ont été vaccinés soit une
couverture vaccinale de 98,4 %.
Lire
l'article original : www.mauritania.mr/ami/
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Le
Soleil - Sénégal - 21 juillet 2001 - Hôpital
Le Dantec : La clinique chirurgicale s’ouvre à la télémédecine
Une
opération chirurgicale en vue de combler l’insuffisance rénale d’un
patient.
L’opération de dialyse (rein artificiel), effectuée par le Pr. Ndiaye,
depuis l’hôpital Aristide Le Dantec, a été commentée, de Bruxelles,
par le Dr Jean de Bruynes qui suivait les soins administrés.
Cette démonstration a été rendue possible grâce à la première unité
de télémédecine installée en Afrique de l’Ouest par le Pr. Cheikh
Tidiane Touré, chef de la clinique chirurgicale de l’hôpital A.
Le Dantec.
Une salle de visioconférence dotée de caméras, de vidéo projecteurs,
de moniteurs TV et d’autres équipements a permis les échanges à
distance.
Reliée au réseau RNIS de la Sonatel, la salle peut être connectée,
en composant un simple numéro de téléphone, à tout autre centre
disposant du même équipement.
La science au service de la médecine !
Ce système facilitera, à en croire le Pr. Touré, “la communication
et l’accès à l’information, deux aspects fondamentaux aux trois
domaines d’activité des universitaires que nous sommes. Je veux
nommer les domaines des soins, de l’enseignement et de la recherche”.
De cette logique devrait découler une révolution dans la pratique
de l’art médical, jusque-là marqué par la “communication de proximité
entre le formateur et l’apprenant (compagnonnage)” par une circulation
de l’information écrite, imagée et audible.
Ainsi, l’apport des nouvelles technologies de l’information et de
la communication introduira un “recours à la collégialité et à l’expertise,
en permettant la transmission d’exposés théoriques, en rendant possible
l’apprentissage gestuel grâce à un rapprochement virtuel des acteurs,
réalisant ainsi un “compagnonnage à distance”, enfin, en autorisant
un accès à l’information sous toutes ses formes”, selon Cheikh Tidiane
Touré.
Au-delà de la perception à temps réel des différents services obtenus
à partir de la télémédecine, des déplacements coûteux vers les pays
du Nord pour des sessions de formation ne seront plus nécessaires
et un grand nombre d’apprenants et des professionnels de la médecine
devraient retirer le maximum de bénéfices.
Les souhaits du Pr. Touré vont dans le sens d’une multiplication
de la télémédecine dans différents centres médicaux du pays.
Cela est parfaitement réalisable eu égard à l’accès qu’offre, pour
une trentaine de millions de francs, cet équipement qui se passe
d’une antenne satellite au coût prohibitif (une centaine de millions).
Bien que le centre soit le fruit d’une initiative personnelle, appuyée
par les universités de Strasbourg, Toulouse, Marseille et l’université
Libre de Bruxelles, le Pr. Touré n’en reste pas moins disposé à
l’ouvrir à ses collègues universitaires et aux professionnels de
l’hôpital.
I. K. NDIAYE
Lire
l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=5786&index__edition=9342
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Le
Soleil - Sénégal - 21 juillet 2001 - Paludisme : Plus
de 15.000 cas recensés à Fatick au premier trimestre de l’année
L’analyse des statistiques du premier trimestre de l’année 2001
montre que 15 725 cas de paludisme dont 680 jugés graves ont été
enregistrés dans les structures sanitaires de la région de Fatick.
M. Mamadou Ndoye, superviseur régional des soins de santé primaires
(SSP) à la région médicale, souligne que 07 cas de décès ont été
notés.
Ce qui représente 05 décès pour 10.000 cas de paludisme.
Selon lui, il s’avère dès lors nécessaire d’organiser une campagne
de mobilisation sociale pour lutter d’une manière plus efficace
contre la maladie, en mettant surtout l’accent sur les activités
hivernales.
M. Ndoye s’exprimait au cours de la cérémonie de lancement de la
campagne de lutte contre le paludisme dans la région de Fatick.
C’était en présence du gouverneur, El Hadj Diallo, des imams, des
responsables de groupements de femmes et d’associations de jeunes.
Pour Seynabou Diakité, responsable régionale de la santé de la reproduction,
“chez la femme enceinte, le paludisme agit sur la grossesse en créant
des complications chez la mère et le nouveau-né.
L’autre caractéristique est que la femme enceinte a ses défenses
diminuées. Ce qui fait que la maladie évolue vers la sévérité et
peut en entraîner d’autres comme l’anémie, surtout dans les zones
où elle est fréquente”.
Les autorités sanitaires comptent mettre l’accent sur la prévention
dans la lutte contre le paludisme.
Un accent particulier sera mis sur l’utilisation des moustiquaires
imprégnées, l’assainissement par la destruction des gîtes larvaires
péridomiciliaires, des actions de plaidoyer, d’information, d’éducation,
de communication, la production et la diffusion de supports audiovisuels
et des comprimés.
MOUHAMADOU SAGNE
Lire
l'article original : www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=5788&index__edition=9342
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Communiqué
OMS/35 - 19 juillet 2001 - Diminution de 94 % du prix des médicaments
antituberculeux indispensables, grâce au partenariat de l’OMS GENÈVE
Grâce
aux efforts internationaux menés par l’Organisation mondiale de
la Santé, Médecins sans Frontières et la Harvard Medical School,
les personnes souffrant de la tuberculose à bacilles multirésistants
(TB-MR), potentiellement mortelle, ont désormais accès à des médicaments
de « seconde intention » de qualité à prix fortement réduit et à
un système conçu pour qu’ils soient utilisés le plus efficacement
possible.
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Communiqué
OMS/34 11 juillet 2001 - L’OMS DEMANDE AU SECTEUR PRIVE DE FOURNIR
DES APPAREILS ACOUSTIQUES D’UN PRIX ABORDABLE AUX PAYS EN DEVELOPPEMENT
250
millions de personnes dans le monde souffrent de pertes de l’audition
Il serait possible de diviser par 25 le prix des appareils acoustiques
dans les pays en développement. Les fabricants d’appareils acoustiques,
les prestataires de services et les donateurs se réuniront à Genève
les 11 et 12 juillet pour étudier la possibilité de forger des partenariats
public-privé pour pouvoir fournir aux pays en développement des
appareils à des prix abordables.
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Republicoftogo.com
- 11-07-2001 - Epidémie de choléra à Dapaong - Togo
Les
autorités sanitaires burkinabè ont arrêté mercredi à Ouagadougou,
une série de mesures préventives pour contrer une épidémie de choléra
qui sévit dans la ville togolaise de Dapaong, frontalière du Burkina
et du Ghana.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), l'épidémie de choléra
au Togo, dont les premiers cas ont été enregistrés depuis le mois
de janvier, a atteint actuellement les 700 cas.
Le même nombre de cas a également été signalé au Ghana par l'OMS.
Le 6 juillet à Dapaong, le choléra avait tué sept personnes sur
les 15 cas déclarés, indique la même source.
Le Directeur de la médecine préventive au Burkina (DMP), le médecin-colonel
Clément Zidwemba, a annoncé à la presse qu'une tournée d'information
composée de quatre équipes techniques parmi lesquelles des militaires,
vont parcourir à partir du lundi 16 juillet la "route de l'épidémie".
Cette mission qui devra atteindre les villes burkinabè de Tenkodogo
(sud-est), Fada (est), Gaoua (sud-ouest) et à Ouagadougou (centre),
va mettre en pratique les notes d'une circulaire du ministère burkinabè
de la santé sur le choléra.
Cette circulaire, dont une copie est parvenue à l'AFP, demande aux
centres de santé d'élaborer des rapports réguliers sur les maladies
diarrhéiques et de mettre en place un stock de médicaments.
Un comité central de lutte contre les épidémies va présenter son
premier bilan vendredi. En 1998, une épidémie de choléra partie
de cette même région avait tué plus de 120 personnes au Burkina
Faso, au Ghana et au Togo.
Lire
l'article original : www.republicoftogo.com
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Communication
de l'Organisation du : FORUM PHARMACEUTIQUE INTERNATIONAL DE DAKAR
qui s'est tenu à l'Hôtel MERIDIEN PRESIDENT, du 18 au 21
Juin 2001 sur le thème : Sécurité et accessibilité du médicament
en Afrique .
Le
marché illicite du médicament : L'exemple de la ville de Touba.
Extrait des communications du : FORUM PHARMACEUTIQUE INTERNATIONAL
DE DAKAR
Contribution de Pharmaciens installés dans la ville de Touba.
Lire
l'article :
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Communiqué
OMS/32 9 juillet 2001 - L'OMS et les principaux éditeurs annoncent
un progrès décisif dans l’accès des pays en développement aux grandes
revues biomédicales Londres
L’organisation
mondiale de la Santé et les six principaux éditeurs de revues médicales
ont annoncé aujourd’hui une nouvelle initiative qui permettra à
près de 100 pays en développement, qui n’en auraient pas eu les
moyens autrement, d’avoir accès aux informations scientifiques essentielles.
Cette disposition prise d’un commun accord par les six éditeurs
permettra de mettre sur Internet à la disposition des écoles de
médecine et des instituts de recherche dans les pays en développement
près de 1 000 publications médicales et scientifiques de pointe,
gratuitement ou à des prix très réduits.
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allafrica.com
- 9 juillet 2001 - source : Le Phare. Tshiaba Kinshasa - Centre
Médical à la Recherche des Fonds pour l'Achat d'une Comprimeuse.
Le
Centre médical congolais Nsanga Lubangu est à la recherche d'une
aide financière estimée à 27.000 USD afin de solder la dette de
la machine comprimeuse commandée à Hong Kong depuis 4 ans, déclare
au Phare le DG de ce centre, M. Bidimu Kabuya.
Les frais connexes pour l'installation et la mise en valeur d'un
projet agricole pourraient mobiliser une cagnotte d'à peu près 205.000
USD.
Une demande d'aide a été ainsi adressée au ministère de l'Industrie
et Commerce depuis que le gouvernement a initié un programme d'aide
aux PME en difficultés à travers ce ministère.
Une autre demande devrait être adressée au ministère de la Santé
Publique après l'annonce faite par le gouvernement belge de l'octroi
d'une enveloppe de 1,45 million d'Euros pour relancer le secteur
de la santé en RDC sur une période de trois ans.
Nsanga Lubangu fonde aussi son espoir sur la promesse faite le 12
mars 2001 par le chef de l'Etat, Joseph Kabila, lorsqu'il avait
reçu la délégation de l'Union des inventeurs congolais dirigée par
Clément Kabasele Muamba.
Selon Bidimu Kabuya, Nsanga Lubangu fait face à une demande croissante
non seulement dans les provinces, mais aussi dans les pays limitrophes
tels que l'Angola, la Zambie où le gouvernement a déjà donné son
accord de principe pour l'installation du centre et le Congo-Brazzaville.
D'où la nécessité d'acquérir la comprimeuse pour satisfaire cette
demande, diminuer le coût des soins et permettre même au monde rural
d'accéder à ces soins primaires à un bas prix.
Pour rappel, les soins administrés par Nsanga Lubangu découlent
d'un examen effectué à base de la salive des patients.
Lire
l'article original : fr.allafrica.com/stories/200107090241.html
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Le
soleil - 9 juillet 2001 - Passy : Le poste de santé réhabilité grâce
au Japon.
Le poste de santé de Passy vient d’enregistrer un important
coup de pouce avec la réhabilitation et l’extension des locaux qui
l’abritent depuis les années 1950.
Ils étaient devenus vétustes et exigus et s’étaient révélés incapables
de couvrir tous les besoins en matière de santé publique dans une
zone polarisant plusieurs villages .
Mais surtout que la ville de Passy rassemble, le temps du marché
hebdomadaire (louma) qui se tient chaque samedi, des milliers de
personnes venant de partout.
Ainsi, grâce à la coopération décentralisée, l’aide japonaise non
remboursable de 33 millions de francs a contribué à rendre les locaux
plus fonctionnels.
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Sentoo.sn
- 9 juillet 2001 - Keur Massar : L'apport de la médecine africaine.
La création de l’hôpital traditionnel de Keur Massar remonte à 1980,
année où le professeur Yvette Paresse, l’a initié sous forme de
centre de médecine traditionnelle.
En 1985, le centre devient le premier hôpital de médecine traditionnelle
au Sénégal.
Le professeur Paresse, directrice du Centre de Recherche en Biologie
de l’Université de Dakar, a travaillé avec les tradi-praticiens
pendant plus de 20 ans et a pu ainsi découvrir toutes les potentialités
de la phytothérapie.
Keur
Massar s’étend sur 79 hectares attribués par l’Etat et comprend
un espace de consultation en médecine générale (diabète, dermatose,
hypertension etc.), un jardin de plantes médicinales, un magasin
de stockage et de séchage de plantes, un magasin de lavage de bouteille,
un petit laboratoire de production de médicaments et une pharmacie
de vente de médicaments à base de plantes préparés sur place.
L’hôpital dispose également d’une zone d’hospitalisation réservée
uniquement aux lépreux et aux dermato-infectés. Une école a été
créée pour les enfants des lépreux. Une annexe de Keur Massar est
installée à Dakar, plus précisément à Grand Yoff.
Cette annexe, dotée d’une pharmacie, est gérée par un guérisseur
et un infirmier.
L’hôpital de Keur Massar accueille entre 6000 et 7000 patients par
an.
Les maladies les plus fréquemment traités sont les dermatoses (en
wolof : ndoukhoum siti) où la médecine traditionnelle est très en
avance sur la médecine moderne selon certains spécialistes.
Son personnel comprend 70 personnes notamment 5 infirmiers et 5
tradi-praticiens.
L’hôpital fonctionne grâce aux dons de certaines organisations caritatives
comme Caritas. Il bénéficie par ailleurs d’exonérations d’impôts
de la part des autorités.
Lire
l'article original : www.sentoo.sn/fr/cobranding/sante/suite.php?id=45&art_id=4716&txt_id=4583
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Sentoo.sn
- 9 juillet 2001 - Plaidoyer pour des achats groupes de médicaments
en Afrique.
Le ministre de la santé et de la prévention, Mme Awa Marie Coll
Seck a fait part de son intention de promouvoir en Afrique ''les
achats groupes de médicaments à l'échelle régional ou sous-régionale''.
S'exprimant au cours du forum pharmaceutique international sur ''sécurité
et accessibilité du médicament en Afrique, ouvert lundi à Dakar,
Mme Seck a indiqué que ''les pays d'Afrique de l'ouest et du centre
importent 90 pour cent de leurs besoins en médicaments alors que
les pays d'Afrique du nord s'en tirent mieux en optant pour la tendance
inverse''.
Selon elle ''la sécurité du médicament en Afrique passe par une
assurance de qualité répondant aux règles de bonne Conduite''. Le
ministre de la santé et de la prévention a aussi pris l'engagement
''d'aller plus loin dans l'approvisionnement des officines privées
en médicaments génériques '', estimant qu'il s'agit « d’une réponse
a l'accessibilité et à la disponibilité en médicaments aux populations
».
Le président de l'ordre des pharmaciens du Sénégal, le docteur Mamadou
Ndiade a pour sa part signalé que ''la Politique de promotion des
médicaments génériques est à encourager'', réaffirmant la requête
des officines privées d'être approvisionnées en médicaments par
la pharmacie nationale d'approvisionnement.
Lire
l'article original : www.sentoo.sn/fr/cobranding/sante/suite.php?id=45&art_id=3476&txt_id=3345
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allafrica.com
- 7 juillet 2001 - Vente des médicaments génériques
: Les officines privées entrent dans la danse.
Dans
six mois, délai de rigueur, les difficultés d'accès aux médicaments
génériques, ne seront plus qu'un mauvais souvenir pour les populations
sénégalaises.
Les officines privées vont désormais vendre des médicaments génériques,
au même titre que le public.
C'est ce qu'a déclaré hier, vendredi 6 juillet, le ministre de la
Santé et de la prévention, Mme Awa Marie Coll Seck, au cours d'un
point qui a regroupé en outre les ministres des Mines, de l'Energie
et de l'Hydraulique (Macky Sall), des Collectivités locales (Mme
Thiéwo Cissé Doucouré), des Pme et du Commerce (Mme Aïcha Agne Pouye)
et de la Culture, du tourisme et des loisirs( Mamadou Makalou).
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allafrica.com
- 6 juillet 2001 - Source : Wal Fadjri - Dakar - Amadou Abdoul Sakho
- SANTE PUBLIQUE - Une décentralisation grippée.
La
décentralisation des services de santé est loin d'être une réussite.
C'est ce que révèle une étude faite par le Réseau national de recherches
sur les politiques sociales qui procèdera, lundi prochain, à la
restitution et à la dissémination des résultats de l'enquête.
Le réseau national de recherches sur les politiques sociales (Rrps)
organise lundi prochain, à Dakar, un atelier de restitution et de
dissémination d'une étude sur la politique de décentralisation des
services de la santé publique.
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allafrica.com
- 6 juillet 2001 - Source : Sud quotidien - Pape Seck - Dakar. -
LINGUERE : Croisade contre les maladies hivernales.
A
Linguère, le paludisme et les maladies diarrhéiques constituent
les principales causes de mortalité et de morbidité à côté de la
fièvre surtout pendant la saison des pluies.
Cette situation est accentuée par l'insuffisance des personnels
et des infrastructures d'une part ; d'autre part, la paupérisation
des populations représente un obstacle majeur à l'accès aux médicaments
et aux soins de base.
Afin de faire face à un éventuel regain de ces maladies le district
sanitaire de Linguère a déclaré la guerre aux vecteurs de propagation
de ces redoutables agents de la mort par une vaste campagne de sensibilisation
de masse dans les quartiers les villages en collaboration avec les
groupements de femmes et associations de jeunes.
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Le
Soleil - 4 juillet 2001 - Des “SOU” pour mieux combattre la mortalité
maternelle.
Un
atelier de restitution des résultats de l’évaluation de la disponibilité
de l’utilisation et de la qualité des Soins Obstétricaux d’Urgence
(SOU) au Sénégal se tient aujourd’hui au Méridien Président sous
la présidence du ministre de la Santé et de la Prévention.
La mortalité maternelle est estimée au Sénégal à 510 décès sur 100.000
naissances vivantes.
Ce chiffre, note un communiqué parvenu hier à notre rédaction, date
d’il y a huit ans et “ cache mal les disparités régionales (à Kolda,
on compte plus de 1.000 décès pour 100.000 naissances vivantes).
Il faut ainsi reconnaître, souligne encore le communiqué, que les
campagnes de vaccination et les consultations prénatales n’ont pas
été suffisantes pour faire reculer le drame de la mortalité maternelle.
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03
juillet 2001 - Communiqué Aupelf-Uref - Des travaux de l’Université
de Genève font avancer la recherche sur le SIDA
La
Section de pharmacie de l'Université de Genève, sous la direction
du professeur Jean Tronchet, a découvert un composé actif contre
le virus du sida deux millions de fois plus puissant que l'AZT.
Fruit d'une recherche sur de nouvelles molécules anti-virales et
anti-cancéreuses, la substance active découverte par l’équipe du
Laboratoire de chimie pharmaceutique et organique propédeutique
sera connue sous le nom de code NU 1320.
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Le
Soleil - 3 juillet 2001 - Promotion de la santé de la reproduction
des adolescents: Le lycée Blaise Diagne vainqueur du concours “génie
en herbe”.
Pour
la deuxième édition du concours “génie en herbe” en santé de la
reproduction, le lycée Blaise Diagne de Dakar a gagné, l’autre samedi,
le trophée de la finale aux dépens du lycée John F. Kennedy.
La compétition a eu pour cadre, le lycée Kennedy. Ce concours a
été organisé par le Groupe pour l’Etude et l’Enseignement de la
Population (GEEP), en partenariat avec Rainbo, le FNUAP et le ministère
de l’Education.
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Agence
Bénin Presse - 2 juillet 2001 - Les médecins-chefs
initiés à la gestion de personnel.
Les
médecins-chefs de l'Atlantique et du Littoral ont tenu, jeudi dernier,
au Centre d'appui à la formation des maîtres (CAFORM) de Tori-Bossito,
leur deuxième session trimestrielle de l'année en cours.
Cette réunion, qui a connu la participation de tous les médecins-
chefs des formations sanitaires des deux départements, des responsables
d'hôpitaux et le personnel administratif de la direction départementale
de la Santé de l'Atlantique et du Littoral, avait pour thème central
"la gestion du rendement".
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Mauritanie-Santé-Recherche
- 1er juillet 2001 - Nouakchott (AMI) - Vers la formation d'un pôle
de chercheurs spécialisés.
Vingt
cliniciens chefs de programmes de santé, sociologues et biologistes
ont achevé samedi à Nouakchott une formation d'une semaine centrée
sur la recherche en système de santé.
La rencontre avait pour objectif de former un pôle de formateurs
de compétences nationales et de finaliser des protocoles de recherches
qui seront financés éventuellement par l'OMS
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OMS
- Note à l'intention des médias N° 9 - 28 juin 2001 - En vue de
l’éradication de la poliomyélite, vaccination de 16 millions d’enfants
africains dans des pays en proie à des conflits.
La guerre civile continue à freiner la vaccination des enfants contre
la poliomyélite en Afrique centrale.
En conséquence, cette région reste l’un des derniers bastions du
poliovirus où des enfants continuent d’être paralysés par une maladie
évitable.
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Communiqué
OMS/29 28 juin 2001 - Les pays en développement vont recevoir
US $17 millions pour la recherche sur la lutte antitabac.
La lutte antitabac dans les pays en développement va bientôt recevoir
US $17 millions d’un nouveau programme coparrainé par les National
Institutes for Health (NIH) des Etats-Unis d'Amérique et l’Organisation
mondiale de la Santé (OMS).
Pendant les cinq prochaines années, le Programme international de
recherche sur les liens entre le tabac et la santé et le renforcement
des capacités dans ce domaine viendra en aide à la recherche sur
la consommation de tabac et les risques associés dans les pays en
développement et permettra de résoudre certaines questions sur les
répercussions du tabac dans les pays à revenus faibles et moyens
en particulier.
Il permettra de mieux comprendre la charge de morbidité imputable
au tabagisme mais aussi de renforcer les moyens de faire face à
l’épidémie pour les établissements et les personnels dans ces pays.
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